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 We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction)

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MessageSujet: We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction)   We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction) EmptyVen 16 Déc - 17:44



hermès and reaver

Luca était arrivé à Los Angeles depuis quelques jours et détestait déjà sa vie ici et son « nouveau lui », Hermès Blackwell. Son père d’adoption lui avait parlé de cette affaire quelques semaines plus tôt, l’incitant à dire oui. Sa mission était de convaincre la petite fille de celui qu’il considérait comme son grand père d’adoption de revenir vers sa famille et la place à laquelle elle appartenait, dans la mafia. S’il avait accepté, c’était avant tout par respect pour ce patriarche de la famille qui lui avait toujours montré une grande tendresse, mais aussi pour quitter sa vie quelques temps et la noirceur qui s’était développée autour de lui depuis qu’il avait assisté à l’exécution de Birdie Salinger. On ne trahit pas la mafia impunément et elle aurait dû le savoir. Un meurtre qui devait être commis, mais qui l’empêchait souvent de dormir. Son sourire espiègle, son rire si particulier, sa manière de le regarder, elle se faisait un plaisir de venir le hanter dans ses rêves, lui rappelant qu’elle était bien plus qu’une petite poupée avec qui il s’amusait à jouer, qu’il veuille bien l’admettre ou non. Cette mission, il n’avait pas le droit à l’erreur. Premièrement parce qu’elle impliquait la précieuse petite fille de l’une des personnes les plus influentes dans la mafia de Los Angeles, mais aussi parce qu’il avait merdé peu avant son arrivée ici en se faisant voler de l’argent appartenant à la mafia par une arnaqueuse. Une splendide blonde qui avait su le manipuler, mettant à mal sa fierté et s’assurant de se faire battre à mort s’il la recroisait. Bien entendu, il ne s’en occuperait pas, mais il regarderait et se délecterait de la voir perdre son air supérieur. La vie de Luca était ainsi faite, remplie de sang et de violence, mais aussi d’un vrai amour familial. C’est pourquoi il détestait d’autant plus de devoir jouer ce rôle, car il lui empêchait tout contact avec la mafia et, de fait, avec sa famille. Il était seul, à devoir jouer un mec gentil, un peu maladroit et cuisinant des pâtes japonaises dans un petit restaurant de misère. Lui qui possédait des boites de nuit et était connu pour être une véritable enflure, devait faire bien plus que simuler le personnage d’Hermès, mais bien vivre comme lui pour espérer être crédible. C’est ce qu’il comptait faire durant le mois à venir, le temps de s’habituer à sa nouvelle peau avant d’aborder Alessia Dragna, sa proie. Cependant, certains soirs comme celui-ci, il redevenait Luca et allait dans une boite de nuit excentrée dans l’idée de vivre une bribe de sa vie d’antan et de faire l’amour à une belle inconnue avant de l’oublier le lendemain. La nuit dernière, l’alcool avait coulé à flots et il s’était laissé séduire par des petits cachets colorés.

Ouvrant les yeux, il resta à observer le plafond pendant un moment. Tournant la tête, il remarqua un store à moitié fermé. Il ne permettait pas de voir clairement ce qui se trouvait autour de lui, mais au moins de remarquer les formes l’entourant. La nuit dernière était floue et il avait un mal de crâne terrible. Le jeune homme avait la sensation d’être dans ce rêve récurrent qu’il faisait souvent où il luttait pour se réveiller, mais ses yeux refusaient de s’ouvrir et, plus il luttait contre le sommeil, plus il se sentait s’enfoncer dans son lit. Inspirant un moment, il retenu un haut le cœur en sentant l’odeur forte de sperme et de sécrétion vaginale. Quoiqu’il ait fait dans cette chambre la nuit-dernière, il avait été très généreux et sa compagne d’une nuit aussi. Il tourna sa tête de l’autre côté et remarqua une forme à ses côtés, sûrement la fille qu’il s’était tapé la veille. Luca tenta de faire marcher sa mémoire, en vain. Qui elle était, à quoi elle ressemblait, où ils se trouvaient, il n’en avait aucune idée. Tendant la main avec prudence, il l’effleura d’abord afin de vérifier qu’elle dormait toujours. Une fois sûr qu’elle était encore plongée dans un sommeil profond, il caressa son bras et remonta vers sa poitrine. Un frisson de dégoût le parcourut quand il remarqua que ses aisselles étaient poilues, il redoubla quand il remarqua qu’elle était aussi plate qu’une planche à pain. C’était quoi cette blague ? Il laissa glisser sa main jusqu’au début de son entre jambe, mais la retira en tombant sur une touffe de poils humides. Cette fois son envie de vomir se fit plus forte. Il avait cette sensation qu’il était mieux pour lui d’arrêter son exploration ici. Soufflant un moment, il sentit son esprit s’embrouiller à nouveau et replongea dans le sommeil, espérant qu’il n’avait fait que rêver et qu’il ne s’était pas réellement tapé chewbacca la nuit dernière. Quelques flashs s’enchainèrent, une chevelure blonde, un rire, une troisième personne. Qui était-il ? Cette question n’eut pas de réponse et son esprit se vida à nouveau, le laissant dans un sommeil profond. Ce matin-là resterait graver à tout jamais dans sa mémoire et il n’était pas sûr que Luca s’en remette véritablement un jour.


Dernière édition par Hermès S. Blackwell le Mer 18 Jan - 23:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction)   We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction) EmptyMar 3 Jan - 1:48

    « Allez Reaver quoi, juste un verre ! » ça commence toujours comme ça. L'embuscade du siècle comme dirais certains. Et puis vous, vous êtes faibles, alors vous acceptez, vous vous dîtes, allez juste un verre ça peut pas me faire du mal. Sauf que -et oui, on remplace le « mais » par un « sauf que » c'est plus classe- il y en a toujours un pour vous remplir ce verre. Alors à la fin, vous vous dîtes « oui j'ai pris qu'un verre... j'l'ai juste rempli plusieurs fois. » et c'est comme ça que vous vous retrouvez accrochez à un fil, tel Tarzan dans sa jungle amazonienne -le pagne en moins- et l'estomac aux bords des lèvres prêt à tout rendre à la moindre petite secousse trop violente à son goût. Il tenta de se remémorer les évènements de la nuit. Uniquement des flashs parvinrent à son esprit. Bouteille d’alcool. Rail de coke. Depuis plusieurs années, une telle amnésie passagère au réveil était devenue courante pour lui. L’alcool et les substances illicites n’avaient pas aidé son cerveau. Tout ce qui lui revenait en tête n'avait rien de cohérent et les quelques visages qui lui apparaissaient ne lui disait rien du tout.

    Vous savez ce qu'on dit à propos de l'alcool ? Que ce n'est jamais bon, qu'il faut boire avec modération. Mais Reaver, ce type-là, Modération, il ne l’avait jamais croisé. Et dans ce cas-là, on pouvait lui dire malheureusement. Parce que la plus grande question qui vous viendra à l'idée alors que vous vous faites réveiller par des attouchements ce n’est pas « Mais à qui appartient cette main ? » mais plutôt « Pourquoi elle n’a pas continué à descendre plus bas ? ». Parce qu’en ce moment-là, alors qu’il sentait quelqu’un bouger à côté de lui et le palper, il s’imaginait déjà au pieu avec une jolie demoiselle, visage angélique, de longs cheveux blonds soyeux, et une peau aussi douce que celle d’un bébé ou pourquoi pas une brune à forte poitrine. Enfin il acceptait tout tant que celle çi était à croquer.

    Ses yeux étaient encore fermés, mais il n’était plus tout à fait endormi. Il se trouvait dans cet état second qui finit la nuit et précède le réveil. Déjà, il sentait sa gorge terriblement sèche et sa bouche horriblement pâteuse. Lentement, il ouvrit un œil, puis l’autre, les plissant fortement tous les deux à cause de la lumière qui lui arrivait brusquement. Le peu de rayons du soleil qui traversaient le store à moitié fermé de la pièce réussi à éblouir Reaver. Le jeune homme ne savait pas très bien encore où il se trouvait, ne reconnaissant pas vraiment les contours de sa propre chambre. Sa tête décrivit un quart de tour vers sa droite où il « sa » conquête du soir. Le regard de Reaver parcouru rapidement sa chambre avant de regarder ce bras négligemment avachit sur le bas du ventre de Reaver. Ce bras était un bras masculin, sans aucun doute. Et ça, ce n’était pas normal, puisque ce n’était ni son bras droit qui tenait le drap sur lui, ni son bras gauche qui longeait le long de son corps. De longs instants, il resta là à contempler ce bras son comprendre, son cerveau n’étant absolument pas en état de réagir. Et pourtant, la question se posait clairement à son esprit, sans trouver de réponse : Pourquoi un bras masculin qui n’était pas le sien reposait-il sur son ventre ? Mais surtout qu’est qu’un autre homme faisait ici et ou était sa conquête du soir ? Il n’était en aucun cas contre une partie à trois tant que la troisième personne était une blonde à forte poitrine. Ou juste une personne n’ayant rien qui dépasse entre les cuisses !

    Les secondes passèrent, et plus la question se posait, plus un mal de crâne très violent s’imposait en lui. Ce ne fût que quand ce mal de crâne fut complètement établit que le cerveau du jeune homme commença paradoxalement à re-fonctionner. Il ne connaissait que trop bien cette impression de tête qui se comprime sans jamais vouloir exploser. Rien de plus simple, il s’était pris une cuite. Et une dure. A peine cette vérité fut établie que l’image de verres d’alcool se dessina très clairement devant lui. Plusieurs verres, accompagnés du son lointain de rires étranglés.

    Mais il devait se trompé. Oui, voilà, il se trompé. La demoiselle devait faire la natation et elle est donc plus musclée que la moyenne. Elle est écolo et donc elle est contre tout moyen de rasage. Et les cheveux courts, c’est glamour. Oui voilà ! C’est une fille. Aucun doute ! Enfin, il préféra tout de même soulever ce drap pour voir si malencontreusement il avait quelque chose de mou sous ce dernier. Sa main s’avança doucement vers le drap avant de le remonter légèrement, priant dieu pour que ce soit une fille –même horrible soit elle-

    REAVER – « AAAAH ! non non non. Pitiez faite que ce … truc disparaisse de mon lit »

    Mais il avait beau cligner des yeux, ce truc était devant lui. Aucun doute, c’était un homme et en prime avec un cabari impressionnant entre les jambes. Il lâcha directement le drap comme si ce dernier venait de le bruler. Les secondes passèrent, et la seule chose qui lui venait à l’esprit à présent c’est « qui dans cette histoire a été le dominé ? » Et plus la question se posait, plus un mal de crâne très violent s’imposait en lui.

    Il chercha doucement son caleçon dans les affaires éparpillées aux quatre coins de la pièce. Vu la disparité des habits sur le sol, la nuit avait dû être assez torride –de toute manière il ne s’en souvenait qu’à peine et ces bien mieux ainsi-. Il ramassa ses affaires puis se cogna l’orteil dans le pied du lit. Un bruit sourd se fit entendre dans la pièce étrangement silencieuse jusque-là. Il serra les dents pour ne pas laisser échapper le moindre cri malgré la douleur mais même malgré ça le jeune homme bougea et s’étendit sur le lit. Il était réveillé.

    REAVER – « C’était le moment idéal pour que mon orteil aille se frotter aux meubles … »

    Vous vous attendez peut-être à : la salle de bain c’est la deuxième porte à gauche et pour le café c’est prêt ; On se voit ce soir sinon tu me laisse ton numéro et je rappellerais parce qu’après cette nuit torride, je peux plus me passer de toi. Oui l'alcool rapproche. Un peu trop peut-être. Mais pas au point d’en arriver là.
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MessageSujet: Re: We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction)   We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction) EmptyJeu 19 Jan - 1:06



hermès and reaver

« AAAAH ! non non non. Pitiez faite que ce … truc disparaisse de mon lit » Luca grogna intérieurement, qui était le connard qui se permettait de lui hurler dans l’oreille alors qu’il dormait à poings fermés ? Certainement un de ses voisins, qu’est-ce qu’il pouvait détester ce quartier pourri et cet immeuble à gerber où il avait dû s’installer. Seul point positif, il pouvait y vivre avec son meilleur pote, mais cela n’empêchait pas que dû à son rôle d’Hermès il devait faire en sorte de s’intégrer et cela passait par beaucoup – trop – d’efforts. Exemples ? Aider la grand-mère du deuxième à ramasser la merde de son chien en résistant pour ne pas la lui tartiner sur son visage et de faire une ou deux blagues sur les leucémiques, histoire qu’elle arrête de parler de son fils malade. Ou encore, accepter d’aider la gamine du premier à faire ses devoirs sans se demander si les charges de l’état dans lequel il vivait étaient durs quand aux cas de détournement de mineur, parce qu’à ses seize ans elle se payait une bonne paire de roberts. Mais aussi, se taper de monter une étagère pour la veuve du troisième en s’infligeant volontairement des blessures pseudo-accidentelles pour montrer à quel point Hermès était maladroit tout en imaginant à quel point il serait relaxant de planter les clous directement sur cette grosse vache. Oui, Luca devait faire de gros sacrifices et il n’avait aucune envie de se faire réveiller par un abruti dès le petit matin. Ouvrant les yeux, il fixa un moment le plafond pensif. Cela lui revenait, il s’était réveillé dans une chambre qui n’était pas la sienne, à côté de Chewbacca et avec une sérieuse gueule de bois. Lui qui avait espéré que ce n’était qu’un rêve, allait devoir affronter le monstre. « C’était le moment idéal pour que mon orteil aille se frotter aux meubles … » et quel monstre ! Suivant la voix, il avait tourné la tête et avait à présent une magnifique vue sur un engin des plus impressionnants et déroutants. Pourquoi un mec à poil lui faisait face ? Un rapide coup d’œil sur le lit l’informa qu’il était la chose poilue qu’il avait tâté quelques temps plus tôt. *Reste calme Luca, il doit y avoir une explication.* Il souffla un moment, histoire de se calmer. *mais quelle putain d’explication peut justifier cette situation !?*. Il se tapa les deux joues du plat de ses mains et se concentra à nouveau, il devait se rappeler. Qu’avait-il fait la veille ? La chambre devint floue et il se laissa porter par un souvenir brumeux.

    Flash Back

    Il était accoudé au bar et buvait son deuxième whiskey, se demandant s’il choisirait la blonde, la brune ou la rousse lui faisant de l’œil, voir même les trois. Un peu de luxure lui permettrait de se détendre et il était certain de ne jamais être amené à les revoir dans le quartier où il vivait ou auprès d’Alessia, après tout elles étaient des putes de luxe et tant qu’il n’avait pas pris ses marques il préférait ne pas se faire des filles qu’il ne payait pas pour leur silence, mais plutôt des professionnelles. Son père d’adoption lui avait offert sa première à ses quatorze ans et il n’y avait rien de honteux à les utiliser, surtout dans son milieu même si la plupart du temps il préférait séduire des inconnues pour une nuit de débauche dans ses boites de nuits à la nouvelle Orléans. Son souvenir s’accéléra, comme s’il était bloqué en marche avant. Luca était captivé par son odeur, son charme et il accepta avec plaisir les petites pilules bleues qu’elle lui proposait. Une nouvelle fois, son souvenir se remis en avance rapide. Il détachait un à un les boutons d’une chemise, lui-même étant déjà en caleçon. Son regard remonta vers la personne qu’il s’amusait à déshabiller et il reconnu un visage masculin.


Luca retint un hoquet de terreur, il s’était définitivement passé quelque chose entre eux et il n’aimait pas ça du tout. Qui était cette femme qui l’avait drogué ? Pourquoi l’avait-elle fait ? Ce mec connaissait-il sa véritable identité ? Avait-il fait des photos ? Prévoyait-il de le faire chanter ? Qu’est-ce que c’était que cette merde ? Tout se passa très vite, repérant un stylo trainant sur une table non loin de lui, Luca s’en saisit et se jeta sur l’autre homme avant qu’il puisse réagir. Le maintenant au sol avec son corps, il tenait le stylo de sa main droite, visant sa carotide. Quand on a été élevé dans la violence, tout devient une arme, même les objets les plus anodins. « Qui es-tu ? » Sa voix avait été ferme, professionnelle, après tout il pouvait faire face à toutes les situations. Vraiment ? Il prit soudainement conscience du membre de son adversaire sur sa jambe et du sien entre celles de celui qu’il recouvrait de son corps nu. Il avait l’impression de tourner dans un film porno gay trash avec comme fond sonore « you touch my tralala » de Gunther. Deep in the night I'm looking for some fun, deep in the night I'm looking for some love. dedededeep in the night I'm looking for some fun (…) Soudain, sans prévenir, il eut une autre réaction des plus surprenantes. Pris d’un fou rire, il lâcha son stylo et bascula sur le côté. Non, mais vraiment… c’était quoi cette situation de merde ?

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MessageSujet: Re: We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction)   We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction) EmptyVen 20 Jan - 22:47

    Parlons vite, parlons bien.
    Bon, je n’ai pas le temps de vous pondre ma vie personnelle, même si les mots : vertu, sagesse et divinité suffiront amplement pour en parler. Mais voilà, la situation devenait vraiment critique. Le truc qui lui faisait face était bel et bien réveiller et il perça leur horrible secret. Reaver avait beau vouloir dissimuler son délit en s’échappant, en vain. Face à ce grand esprit, il ne pouvait rien cacher. Mais pour un suivit plus facile de l’histoire…rappelons-nous un peu la situation. Donc, dans la chambre se différenciaient honorablement trois êtres vivants, un brun, un poilu et un crayon.

    Dressons par ordre croissant d’importance un bref portrait de ces jeunes animaux de deux ou quatre pattes.
    1° : Hermès (le bandit) : Comme le disait si bien Reaver, ce jeune homme était une créature abjecte et terrifiante. Il faisait parti de la liste des espèces nuisibles à la société que la loi reavienne autorise à exterminer.
    2° : Le crayon (l’arme du crime) : Dans la main de quelconque, il ne sera qu’un simple crayon mais dans la main d’une créature aussi folle qu’Hermès ce crayon devient une arme dangereuse pour la survie de Reaver.
    3° : Reaver Miller (la victime) : Un jeune homme qui ne manquerait pas une occasion pour être franc et affirmer clairement ses actes.

    Imaginer la sensation que de ne pas pouvoir se plaindre et de devoir réprimer le son de la douleur après que de s’être cogner l’orteil et qu’en prime cela ne serve à rien puisque celui qui avait partagé sa nuit était réveillé. « Le saumâtre » Grinça-t-il entre ses dents en baissant les yeux.

    Aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours tenté de contrôler ma vie un maximum, de me préserver des mauvaises surprises, en particulier celles concernant des interactions avec d'autres personnes de mon entourage. Je connaissais les cordes sensibles et les sujets qui fâchent, ainsi, j'évitais de les employer pour ne pas avoir à entretenir ou fuir une conversation désagréable. Tout comme je n'ai jamais été quelqu'un qui s'imposait réellement, qui demandait toujours des services ou faveurs de la part de ses relations. J'ai rarement était quelqu'un qui jouait à pile ou face avec la réponse de son interlocuteur. La plupart du temps, je méprisais ce jeu de hasard, car je n'ai jamais été fan de ce sentiment de suspens. Même enfant, je n'aimais pas les surprises, l'attente me rendait presque malade. Peut-être était-ce un mauvais jeu du sort qui savait, un sadisme absolu qui savait qu’en pleine adolescence, j'aurais droit à un nouveau régisseur de mauvaises surprises, d'infâmes attentes, de jeu de pile ou face, de oui ou non. Probablement savait-Il tout cela, et probablement avait-Il une raison d'affliger ces horreurs à moi plutôt qu'une autre personne. Il y avait aussi ces revirements de situation ou ces fuites. Vous savez, lorsque vous prononcez certains mots sans intention particulière – ou du moins, sans intention consciente particulière – mais qu'après quelques petites secondes de réflexion, tout se lie dans votre esprit et vous vous rendez compte de la perche que vous venez de tendre à votre interlocuteur, de la bêtise ou du pas énorme produit. Cette prise de conscience n'est pas réellement ce qu'il y a de plus merveilleux comme sentiment non plus sur Terre, puisque quoi qu'il advienne, elle demeure subjective. Vous n'aurez jamais la certitude complète que votre raisonnement est le bon, sachant qu'il faut être deux à ce jeu-là. Qu'il faut la personne qui voit et retient la perche, ou la laisse tomber, ou feint de l'avoir vu. En tout cas, c’est ainsi que j’interprété le fait que ce monstre se jeta sur lui. " Mais il est fou…" Avait lâché Reaver avant de se prendre le bandit qui voulait sa mort en plein fouet et d’être ratatiné contre le sol, Hermès à califourchon sur lui le menaçant avec un crayon. Drame et panique.

    Quel crime avait commis Reaver pour subir ça ? Quelle sorcière avait-il excité pour être maudit de la sorte ? Quel démon pervers avait-il croisé pour être châtié ainsi ?

    REAVER –« Je ne sais pas si tu as l’intention d’exécuter un châtiment sur moi... ou non, mais un conseil, évites. »

    Je ne peux vous décrire l’état perturbant où se trouver Reaver. Le jeune homme était tiraillé par deux sentiments qui divergeaient énormément. Tantôt Reaver était en rogne contre le bandit, tantôt il était apeuré. Il avait horreur de la poussière. Il était hypocondriaque. Pour plus de compréhension, prenons une comparaison. Sa phobie pour la saleté était équivalente à l’irritation qu’il pouvait éprouver pour Thayer. C’est pour dire… Maudissons les bactéries que rejette son corps. « Si tu savais le millième des bactéries qui nous entourent tu évacuerais. Mais… malheureusement comme d’habitude vous êtes partout et bien trop nombreux. Ha… quand je disais vous… je pouvais très bien dire ils hein ! Ne te sens en aucun cas viser… Ce n’était pas dans mes intentions. » Voulait-il abusé une fois de plus Reaver ? Non, ce dernier lui demander simplement son identité. N’avait-il pas que faire de Reaver ? Qui plus est… il savait déjà qu’il avait eu une nuit torride. Que voulait-il savoir de plus ? Hm, mais il se résigna quand même à lui répondre de manière la plus correcte.

    REAVER – « Moi je suis le fils d'Adam et Eve, l'unique » Mais contre toute attente, la bête bascula sur le côté pire encore il se moqua. Sans le savoir Hermès venait de braver le danger. Il se retrouva rapidement à califourchon sur lui. « Je vais te faire regretter d’avoir mangé ce midi garçon ! Prépares toi à souffrir ! »
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MessageSujet: Re: We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction)   We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction) EmptyJeu 2 Fév - 22:14



hermès and reaver

Luca a été élevé dans l’idée que l’homosexualité était une maladie, une hérésie qui n’avait lieu d’être et qui montrait l’état de démence de ceux qui se prétendaient l’être. On lui inculqua le mépris profond qu’il se devait d’avoir à l’égard de ceux qui reniaient le don si précieux que dieu leur avait offert, à savoir la capacité de semer leurs graines et de procréer. Qui plus est, cette idée de ne pas savoir qui était la femme, qui était l’homme – réflexion typiquement hétéro – les troublaient. Qui était le dominé ? Le dominant ? Ces choses se devaient d’être claires et on ne devait pas remettre en cause la suprématie du mâle, choisissant quand il offrirait sa semence à sa femelle et s’il décidait ou non de lui accorder l’honneur de porter sa progéniture, s’il prenait la peine de porter un préservatif ou non en d’autres mots. Les vieux qui l’entouraient étaient de la vieille école, associant le SIDA et toutes sortes de maladies douteuses à la communauté des homosexuels, bref ils étaient pour la plupart profondément homophobes, et s’ils ne l’étaient pas ils se contentaient de la fermer. Le jeune homme aurait d’ailleurs pensé comme eux s’il n’avait pas surpris l’année de ses seize ans l’un de ses plus proches cousins au lit avec un autre homme. Si son premier réflexe avait été de fuir, il avait par la suite écouté ce qu’il avait à lui dire. Qu’il n’y avait pas d’histoire de dominant et de dominé, que ce n’était pas une maladie, ni quelque chose que l’on pouvait changer juste parce qu’on le désirait, on l’était et c’est tout. Il avait parlé longuement avec lui et avait convenu que l’homosexualité n’avait rien d’une maladie, qu’on n’avait pas à mépriser quelqu’un parce qu’il l’était. Cependant, même s’il l’acceptait, il avait parfois du mal à le comprendre et réagissait assez violemment quand un homme essayait de le séduire. Il n’avait jamais été intéressé par les hommes et ne le serait jamais, alors pourquoi ? Pourquoi un homme trônait sur lui à califourchon ? Pourquoi étaient-ils tous les deux nus ? Comment étaient-ils arrivés là ? Où étaient-ils ? et, quitte à choisir de coucher avec un mec, pourquoi avait-il pris un maniaque de la propreté ? Un rapide coup d’œil à son pénis lui indiqua que, s’il avait véritablement été gay, il les aurait aimés imposantes. Merde, à quoi il pensait là ? Il y avait plus urgent à penser.

« Je vais te faire regretter d’avoir mangé ce midi garçon ! Prépares toi à souffrir ! » Quelle était cette situation ? Il avait l’impression d’être dans un de ces romans écrits par des femmes dans la quarantaine bloquées dans un mariage sans sexe ni plaisir qui ne pouvaient s’évader qu’en écrivant des livres sur des pensionnats perdus au milieu de nulle part où de beaux jeunes hommes découvraient ensemble les plaisirs de la chair. Sauf que cette fois, il n’y avait pas de pétales de roses ou de jeunes hommes purs et imberbes, mais un appart empli d’une odeur forte de sécrétions sexuelles et deux hommes avec une gueule de bois monstre et très loin d’être purs. Si Luca était déterminé à se tirer de cette situation le plus vite possible, c’était sans compter sur l’un de ses points faibles, peu connu, mais bien présent. Le jeune homme avait toujours été chatouilleux. Fait peu gênant en temps normal, vu qu’il ne laissait pas n’importe qui l’approcher, mais qui s’avérait particulièrement embarrassant maintenant qu’il se trouvait dans cette situation. C’est pourquoi, quand Reaver « l’attaqua », il se mit à rire comme un gosse et surtout, à agir comme tel. Poussant des « arrêteuh » et se débattant comme une nana, avant de réaliser. *mais qu’est-ce que je fou ?* Voilà qu’il s’était laissé emporté dans le rêve du pensionnat, manquait plus qu’une bataille de polochon et une teinte rose et ils étaient bons. Il était temps de se reprendre, ce qu’il fit en agrippant les épaules de Reaver de ses deux mains, le retournant pour se retrouver de nouveau au dessus de lui. Le regard hargneux, le souffle court, leurs corps nus l’un sur l’autre. Si lui avait dans l’idée dans découdre, d’extérieur on aurait pu croire qu’il allait le violer là maintenant, surtout lorsque l’on regardait ses lèvres à seulement quelques millimètres de celles de Reaver.
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MessageSujet: Re: We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction)   We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction) EmptyLun 27 Fév - 2:57




    La situation était vraiment perturbante... Tout partait en total cacahouète ! Le calme devait se rétablir au plus vite. Il fallait que la situation soit dirigée par quelqu'un. Et ce quelqu'un se serait Reaver Aïdan Miller ! Ha !! Ou Hermès ... Mais, lui, avait atteint le plus haut niveau du délire paranoïaque. Il avait complètement disjoncté. Rien à faire… sa cervelle n’était même plus à vendre ! Il fallait qu’on le lui ampute pour éviter que ça ne dégénère d’avantage. Reaver approcha donc dangereusement ses mains vers l’avant –près- à étrangler Hermès s’il le fallait. Mais il sut se contrôler à la dernière minute, il ne fallait pas qu’il se fasse emprisonner pour meurtre à cause d’un psychopathe.

    Installé confortablement sur le jeune homme, ce dernier se trémoussa dans tous les sens lançant quelques cris de jeunes fillettes hystériques ; ainsi monsieur était chatouilleux. Bella la vie! Si Reaver avait appris plus tôt qu’Hermès était si douillé… Il se serait jeté sur lui plus souvent ! Il aurait même pris un abonnement vie tiens ! Mais ce plaisir était quand même à consommer avec modération. Moins 10 pour l’odeur ! Plus 5 pour le confort… Et encore moins 10 pour la sueur ! Note finale : Moins 15. Conclusion… Hermès Blakwell craint.

    Reaver aurait bien voulu exploité un peu plus le corps confortable d’Hermès… Mais la réalité fut tout autre puisque le jeune homme inversa la situation. Reaver se retrouva à présent au sol et Hermès à califourchon sur son bassin, sa bouche à quelques centimètres de la sienne. Il y a des jours pas comme celui-ci où… tout ce que vous entreprenez se transforme en réussite. Et d’autre comme ce jour J, où tout ce que vous faîtes se trouve être un acte cruellement ridicule et irréfléchi. Cette dernière maladie était ce que Reaver appellera scrupuleusement : Le S.D.H.B (le Symptôme de Dégénérescence d’Hermès Blackwell.). C’était ainsi, Hermès était une pure catastrophe ambulante et tout cette maudite journée était de sa faute ; entièrement de SA faute ! Il était certain que ce dernier avait dû lui mettre du GHB, la drogue du violeur, dans son verre. Oui, il n’y avait aucune autre explication dans le faite que ce dernier était nu sur Reaver, près à l’embrasser et surement a abusé de son corps, une fois de plus. Ou sinon, Hermès avait un instinct très écolo et se promené nu pour pas nuire à la nature ; par contre question santé mentale d’autrui on repasse.

    REAVER – « Aïeuhhhhh !! Lâche moi… !! » S’écria Reaver en tentant tant bien que mal de retirer ses poignets de l’emprisonnement d’Hermès. Qui l’eut cru qu’il avait tant de force celui-là, hein ? Moi pas. « Où sont donc passées tes bonnes manières ? Ce n’est pas ainsi qu’on demande quelqu’un en mariage ! Allez va ! Tu t’es assez amusé comme ça ! » Néanmoins, ses efforts ne servaient à rien. Hermès était plus qu’ambitieux qu’il ne laissait apparaître. Il voulait Reaver rien que pour lui. Abusé ! Et ce fut à ce moment-là, il eut une très mauvaise idée pour s’échapper de l’emprise du jeune homme. Il propulsa brusquement une brise de salive sur le visage d’Hermès en tentant de le mordillé avec ses canines avant. Ça sonner la mort de Reaver. Paix à son âme. Il avait déjà tenté de lui crever un œil avec un simple crayon alors qu’il était en position de tous ses membres, là il était piéger et il venait de lui cracher à la figure mais à petite problème, grande méthode non ? Mais Reaver était un héros de son époque, il essayait tout simplement à exterminer tous ‘les parasites’ de Los Angeles.

    Hermès était-il un furieux psychopathe ? Reaver réussira-t-il à échappé ? Survivrait-il à cette épreuve ? Tant de questions sans réponses. Suite au prochain numéro.
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We just ran into each other at the intersexual…homosection…intersection! ft Reaver (en construction)

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