C'est vendredi et le grand jour est arrivé. Je vais enfin le revoir après tout ce temps séparés. Je dois dire que notre "reprise de contact" à plutôt était simple.Ba oui quoi j'avais l'impression que l'on s'était quitté la veille.Pourtant je peux vous assure que derrière mon portable je stressais et tremblais comme une feuille.Je crois même que si quelqu'un m'avait vue,il se serait moqué de moi.Enfin bref,je dois préparer mes affaires pour une nouvelle vie.
Je descendis du lit,dont j'étais assise depuis le debut de l'après midi à ne rien faire,à ne rien penser..J'attrapa ma valise et la posa sur le lit. Je l'ouvris et commença à la remplir avec mes quelques vêtements que j'avais attrapé avant de partir de la demeure familiale.Quand tous mes vêtements se retrouvèrent dans la valise,je me dirigea vers la salle de bain. Au moment d'attraper mes lotions et autre,j'attrapa le rebord du lavabo et me regarda dans le miroir. Plus les minutes passaient et plus j'avais l'impression que mes larmes mélangeaient à mon excitation, étaient au bord de mes yeux, prêtent à dégringoler le long de mes joues. Je me passa un peu d'eau sur le visage et me maquilla un petit peu.J'en profita également pour me recoiffer,parce que là,je ressemblais vraiment à un épouvantail. J'attrapa mes affaires qui restaient dans la salle de bain et les rangea dans la valise. D'un mouvement de la main je referma l'objet et le posa par terre. J'enfila mon blouson et quitta la chambre d'hotel que je squattais depuis un moment.En passant le pas de porte de la chambre,je soupira et sans me retourner je me dirigea à l'acceuil. Je paya ma facture,sourit à la standardiste et sorti. Un taxi passa juste à ce moment là,j'avais eu le temps de l’arrêter et de monter dedans. Direction chez Pete'
Pendant tout le trajet je regardais à travers la vitre.Plus je me rapprochais de la résidence et plus je refermais mon blouson. J'avais si peur.Comment allait-il m’accueillir? Peut-être qu'en me voyant il changerait d'avis.. Le taxi s’arrêta au bout d'un moment devant un grand bâtiment,voila le moment des retrouvailles allait sonner.Je paya le chauffeur et sorti du taxi. Il me donna ma valise et parti. Je me retourna et il était là..Oui bel et bien là. Toujours aussi beau que dans mes souvenirs,je posa ma main sur mon ventre et avança doucement.Je ne voulais pas qu'il le découvre tout de suite,après tout ça ne se voyait pas bien encore mais il me connaissait tellement bien. Je me retrouva devant lui et qu'un mot réussit à sortir.
Salut...
Et au moment oû je ne voulais pas que ça arrive,et bien ça arriva? J'éclata en sanglot.
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Sujet: Re: Les retrouvailles Mar 13 Nov - 20:28
Zoé & Peter
Vendredi matin, youpi, on dort. Peter ne travaillait pas aujourd'hui, et il comptait bien rattraper les nuits d’insomnies passées à penser à Zoé. Pas qu'il n'y pense plus, loin de là, mais c'était plus facile la journée que la nuit, sans trop qu'il sache pourquoi. Ce matin, donc, il dormit trois heures de plus. Levé à dix heures, habillé en deux temps trois mouvements, il sortit en enfilant sa veste et alla déjeuner dans un café. Pain au chocolat et café. Aujourd'hui, il ne comptait pas faire grand chose, il sortait juste pour manger un bout, puis rentrerait, surement regarder un film ou faire des recherches sur le net. Et la journée passerait, lentement, avec monotonie, ennuyeuse. Jusqu'à ce message. Il devait être environ cinq heures, le photographe ralluma son téléphone après avoir passé un moment à trier des photographies pour le travail - comme quoi, même lors de ces journée de repos, il n’arrivait pas à ne pas penser travail - et découvrit un message de Zoé. Pas encore prêt à réentendre sa voix, il lui laissa un message sur sa boite vocale. Jusqu'à ce qu'ils décident, après qu'il ait découvert qu'elle avait quitté la maison de son père, qu’elle ferait mieux de venir emménager chez lui. Ils ferait le nécessaire le lendemain pour que la cohabitation soit officialisée...
Dix huit heures. Peter descendit les escaliers en courant, risquant de se rompre le cou à chaque instant mais peu importait. Les escaliers car il courait bien plus vite que l’ascenseur, surtout avec la motivation de voir sa meilleure amie. Il l'attendit une dizaine de minutes, sursautant à chaque bruit de moteur, impatient et tremblant d'excitation. Il craignait qu’elle lui en ait voulu vraiment beaucoup, ou pas assez, la connaissant. Enfin, il n'allait pas se plaindre qu’elle ne lui en veuille pas, mais cela lui faisait mal de savoir qu'il 'lavait fait souffrir, sans aucun doute, et qu'elle n'avait surement pas songé à le haïr.
Un taxi s'arrêta devant l'immeuble. Enfin. Zoé, sa Zoé, la magnifique blonde qu'il avait toujours aimée, sa meilleure amie, descendit du véhicule et, au lieu de se précipiter vers elle comme il se l'était imaginé tandis qu'il l'attendait, il resta debout sur le pas de la porte, pétrifié. Elle s'avança tandis que le taxi démarrait et disparaissait au coin de la rue. Le coeur de Peter battait plus vite que jamais, il avait l'impression qu'à chaque coup sa cage thoracique se brisait sous l'impact. Elle était là.
Tout mais pas... « Zoé, je t'en prie, ne pleure pas... » Trop tard. Il s'avança et la prit dans ses bras, peu importait que cela fasse trois ans, qu'ils aient l'air totalement fous, au milieu du trottoir, la jeune femme enceinte et en larmes dans ses bras. Oui, il avait remarqué. Observant le moindre de ces gestes depuis qu’elle était descendue du taxi, il l'avait vu poser un main sur son ventre et avait été intrigué par ce geste. Cela ne se voyait pas, en tout cas pas assez pour qu'un autre que lui le remarque. Zoé n'avait jamais rien pu lui cacher, tout comme il n'avait pas de secret pour elle. Peter caressa doucement les cheveux de son amie puis s'en détacha lentement. « Viens. »
Il attrapa sa valise, lui prit la main et la mena à l’ascenseur. Il l'observa tout le long du trajet puis, arrivé à son étage, reprit la valise et la tira vers l’appartement. Il en l'avait pas lâchée. Une fois entré, il referma la porte derrière eux, posa la valise sur le sol et reprit Zoé dans ses bras, à la fois pour cacher les larmes qui commençaient à lui monter aux yeux. Mais elle le connaissait. « Je... Je, je sais pas quoi te dire Zoé... »
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Sujet: Re: Les retrouvailles Mer 14 Nov - 20:40
Le taxi venait de partir,et je me retrouvais désormais seule avec lui au beau milieu du trottoir.Nous étions enfin réunis après tout ce temps.J'avais l'impression que d'être dans ses bras était une liberté et un soulagement. Maintenant que j'avais osé le contacter et que je l'avais devant moi.C'était sûr et certain,je ferai tout pour que l'on se soit plus séparés. Je crois que quand on se sépara des bras l'un de l'autre,ce fût à contre coeur. Je ne pouvais pas m'empecher de plonger mon regard dans le sien. Ca faisait tellement longtemps,mais il y avait toujours cette même lueur dans ses yeux.
Il m'attrapa la main pour que nous,nous dirigions vers le hall de l'immeuble.Le fait d'avoir ma main dans la sienne me remonta des souvenirs en mémoires. Nos balades,nos moments de tendresse,nos moments de coup de blues.. On était toujours là l'un pour l'autre;et j'ésperai que ça redeviendrait comme avant. On monta dans l'ascenceur sans une parole.On avait beau être content de se revoir,s'etre retrouvés;aucuns sons ne sortaient de nos bouches. Une fois arrivés à son étage,nous nous dirigions en silence vers son appartement.Les voisins ne pourront pas dire qu'ils avaient des voisins bruyant.
Une fois à l'interieur,je ne pu m'empecher de jeter un coup d'oeil à l'appartement depuis l'entrée.Je souris,un vrai appartement de garçon,et encore,celui de Peter était rangé. Mais maintenant que j'allai vivre avec lui,ce sera encore mieux hihi.Le bruit de la valise au sol me sortis de mes pensées.Je regarda Pete' qui vint me prendre de nouveau dans mes bras. Je l'enveloppa de mes bras et lui embrassa le sommet de sa tête. Il ne savait pas que dire..Hmm Mister Cohen..Je lui caressa la joue et le regarda dans les yeux.
La vérité..J'ai cru que tu ne voulais plus de moi dans ta vie,alors j'ai essayé de tourner la page et d'avancer.Mais c'est impossible,je pense tout le temps à toi,je pense à tous ces moments oû je t'avais près de moi.
Je lui embrassa le front et lui dis en lui caressant les cheveux
Je veux que tu sache que sans toi ma vie a un gout amer et que je ne peux pas vivre sans t'avoir auprès de moi.
Je lui sécha les larmes et enleva mon blouson et le posa sur ma valise
Je ne t'en voudrais jamais Pete'
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Sujet: Re: Les retrouvailles Ven 16 Nov - 18:20
Zoé & Peter
La serrer dans ses bras, sentir à nouveau son parfum, prendre conscience du fait qu'elle lui avait encore plus manqué qu'il ne l'imaginait... Cela le faisait souffrir de savoir ce qu'il avait manqué durant ses trois ans, mais plaisir de se souvenir de tout ce qu'ils avaient fait durant plus de douze ans, toujours ensemble, soudés alors qu'ils s'étaient disputés dès leur première rencontre. Il avait détruit son tas de sable et elle lui avait lancé un coup de pied bien placé, exactement là où ça fait mal, avant de lui tirer les cheveux et de le jeter au sol. En y repensant, il rigolait bien, mais il avait longtemps garder un souvenir douloureux de cette journée, il fallait dire qu'elle savait se défendre.
Il prirent l’ascenseur en silence, mais le photographe ne pu plus se retenir et la reprit dans ses bras. Il pleurait, bah oui, désolé mais il n'était pas insensible et puis les pleurs c'est communicatif. Ils se regardèrent dans les yeux, et Peter secoua doucement la tête, mais sans l'interrompre. Bien sur qu'il voulait d'elle, comment avait-elle pu penser une seule seconde qu'il en avait assez de la voir? Enfin... il n'avait pas vraiment aidé non plus, mais elle ne pouvait pas se dire qu'il avait été hypocrite toutes ses années et décider d'un coup qu'il en avait marre... « Jamais je ne pourrais décider de t'effacer de ma vie, Zoé. Il ne se passe pas plus de deux secondes sans que mes pensées se dirigent vers toi, j'aimerais à chaque instant savoir où tu es, ce que tu fais, ce que tu penses. Mais je ne savais pas comment m'y prendre... Il y a trois ans, je suis parti en pensant que cela irait mieux pour toi... » Apparemment, cela avait été une grosse erreur, mais tout le monde peut se tromper. Peter comptait bien se racheter, par n'importe quel moyen.
Soupirant, le jeune homme reprit la valise de son amie et la jeta sur le lit dans la deuxième chambre de l'appartement. e tournant ensuite vers Zoé, il sourit légèrement. « Exactement pareil pour moi, j'ai essayé et regarde-moi. » Totalement effondré en la revoyant. Il se gratta nerveusement le crâne puis se releva, ne parvenant pas à rester en place plus de deux minutes. Son regard vagabonda dans la pièce. Elle ne manquerait pas de place, il faudrait juste attendre quelques jours avant qu’elle puisse s'y sentir bien. Il dormirait ici le temps que ce soit prêt, et elle aurait sa chambre.
Elle ne lui en voulait pas, tu m'étonnes... Il ne savait pas très bien si cela le soulageai, d'ailleurs, mais il ne réprima pas un petit sourire. « Je ne sais pas si cela me soulage... Si tu t'es cru responsable, si tu as souffert, tu peux m'en vouloir, ce serait logique. » Mais bon, aujourd'hui, si elle venait vivre ici, il serait compliqué qu'elel commence à le détester et à ne plus lui parler.
Quand il posa son regard clair sur le ventre de sa meilleure amie, son coeur rata un battement. Il avait déjà remarqué mais, sur le coup, il était trop heureux et déboussolé pour réagir. Là, il prenait conscience qu’elle attendait un enfant, qu'il viendrait au monde dans moins d'un an, et vivrait ici, avec eux. Il comprenait aussi que le père n'avait certainement pas l'intention de s'en occuper. Sa mâchoire se contracta et il était prêt à s'emporter mais cela n'aiderait en rien, respirant un bon coup, il s'approcha d'un ou deux pas. « Et sinon... C'est qui le père? »
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Sujet: Re: Les retrouvailles Mer 28 Nov - 20:51
Enfin réunis,yes we can!! On l'était enfin et rien ne pourrai nous séparer.Non plus rien ni personnes,j'en faisais la promesse. Et qui pourrait en vouloir à Peter? C'était impossible de lui en vouloir quand on le connais suffisamment et puis regardez sa petite bouille d'amour.
Je posa mon regard sur lui et ne pu m' empêcher de lui refaire un baiser tendre sur la joue.Cela m'avais tant manqué,je crois qu'il sera ensevelit sous mes bisous et câlins pendant très longtemps.Je le décoiffa un petit peu et lui tira la langue. J' improvisa une petite visite dans la chambre avec Peter.Elle était pas mal,je souris en posant ma main sur mon ventre,comme pour me dire que tout allait être nouveau,et c'était le cas,une nouvelle vie allait s'offrir à nous trois dans cet appartement.
Elle est pas mal cette chambre,étonnant que tu n'ai pas déjà un ou une colocataire...A moins que tu attendais quelqu'un de précis?
Je ris doucement,et m'allongea sur le dos. Je pourrais dormir cette nuit dans cette chambre,tout prêt de Peter.Mais une idée,une super méga géniale même^^ Je me positionna assise et le regarda avec un air malicieux
Je pourrai dormir avec toi?J'aimerai dormir dans tes bras..Si tu es d'accord bien-sure. Promis je serai sage,s'il te plait,s'il te plait!!
Je me releva et là,la question..Qui était le père du bébé..Je baissa la tête directement.Je n'aimais parler de ce sujet là.Enfin je devais bien l'avouer,personne n'était au courant sauf Peter maintenant.Comment le lui dire?Comment dire que ce bébé venait d'une agression mais que malgré tout je voulais le garder.J'en avais les larmes aux yeux
Le père de l'enfant..Et bien..C'est..C'est compliqué..
Bon allez fallait que je e lui dise et ensuite je m'enfuie en courant,oui c'était pas mal ça.
J'ai été agressée!!Un..un viol...
Je le regarda et parti en courant dans la salon,je me mis accroupie derrière le canapé,la tête entre les mains.J'étais en pleure,et j'avais peur qu'il ne veuille plus dans son appartement.
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Sujet: Re: Les retrouvailles Jeu 29 Nov - 19:26
Zoé & Peter
Les baisers et tout cela, c'était parti pour ne s'arrêter que dans un bon moment. Ce n'était pas forcément pour déplaire à Peter... Il la suivit dans sa propre chambre et sourit légèrement à sa remarque. Sa chambre était pleine de posters et de photographies. Surtout d'eux deux lorsqu'ils vivaient encore ensemble chez le père de Zoé et faisaient ensemble leurs études à domicile. Cela lui avait longtemps fait mal de les voir, mais cette souffrance lui était nécessaire, d'une certaine manière. Aujourd'hui, il pouvait les regarder sans s'en vouloir, et il pouvait la contempler en chaire et en os, juste devant lui. Elle s'allongea sur son lit et il fit quelques pas dans la pièce avant de répondre. « J'ai toujours pensé que ce serait toi ou personne... Maintenant c'est toi. » Et heureusement, il commençait à se lasser de sa solitude. L'appartement serait beaucoup plus gai maintenant qu'elle était là. Le photographe observa Zoé s'asseoir sur son lit et arqua un sourcil à sa question. What? Dormir, là, tous les deux, dans sa chambre, dans son lit ?! Puisqu’elle paraissait sérieuse, il se retint de rire et réfléchit un instant, ce qui ne l'aida en rien à ne pas bégayer. « Euh... Bah... Pourquoi pas. Enfin, je sais pas... » Elle avait de ces questions parfois. Ils venaient de se retrouver et qu'est-ce qu’elle demandait ? Il haussa légèrement les épaules, un peu mal à l'aise. Puis, prenant un aire détaché: « On verra si tu es sage d'ici ce soir. » Ne pouvant se retenir plus longtemps de demander de qui était l'enfant qu'elle portait, Peter posa la question qui, apparemment fâchait beaucoup. Des larmes apparurent dans les yeux de la jeune femme et il s'en voulu immédiatement, la colère qu'il ressentait en pensant au fait que le père l'avait sans aucun doute abandonné s'envola instantanément et il voulu la prendre dans ses bras mais ses mots le figèrent. Peter resta de marbre, le regard vide un instant, le coeur battant à tout rompre. Il s'en voulait atrocement de lui faire revivre cela, et de ne pas avoir été là lorsque c'était arrivé, de n'être là que maintenant, devant le fait accompli, à se dire qu'il aurait dû être à ses côtés, que cela ne serait pas arrivé si il avait été là pour elle. Un bruit de verre cassé résonna dans l'appartement, il venait de retrouver sa mobilité et se défoulait comme il pouvait. Serrant et desserrant les poings une dizaine de fois, il respirait difficilement, totalement hors de lui. Puis il pensa à Zoé, qui s'était enfuie juste après sa révélation. Il se reprit momentanément. Pénétrant dans le salon, il l'aperçu sans avoir besoin de chercher. « Excuse-moi, mais te cacher derrière le canapé c'est pas la meilleure idée que tu ai eue... » Il sourit légèrement, mais il n'y avait absolument rien de risible, et détendre l'atmosphère était impossible. Surtout maintenant qu'il devait lui avoir fait peur. « Si tu ne veux pas en parler, ce n'est rien. Mais je comprends.. enfin, en tout cas je pense que tu as raison de vouloir le garder. » Il se laissa tomber dans le canapé et passa une main dans ses cheveux, tic nerveux. Il prenait conscience que Zoé avait besoin de lui, et qu'il n'était pas prêt le moins du monde à cela. Un enfant, c'était beaucoup, beaucoup trop pour lui. Ce n'était pas le fait qu'on puisse le prendre pour le père, il se fichait bien de ce que l'on pourrait penser d'eux, mais il ne se voyait pas père, pas même de substitution. Jamais il n'avait imaginé tenir un enfant entre ses bras après la naissance de sa petite soeur, jamais il n'avait songé une seule seconde à en avoir un, jamais. Cela lui tomait dessus subitement, Zoé comptait- elle seulement le lui dire un jour ou attendait-elle qu'il le remarque? Un long silence s'ensuivit, tandis qu'il réfléchissait, la tête entre les mains. Se redressant au bout de plusieurs longues minutes, il alla s'accroupir face à sa meilleure amie et lui prit la tête entre ses mains puis, essuyant ses larmes, il l'embrassa doucement sur le front. « Tu veux manger quelque chose? »