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 This won't resolve your daddy's issues - Jo

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MessageSujet: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyDim 31 Mar - 15:49


Assholes never apologize...

« Est-ce que je peux avoir une autre vodka martini ? » Il y avait des soirs où je n'abordais pas de sourire aux lèvres en buvant la boisson favorite de James Bond, où même en glissant un billet de cent au barman. J'aurais dû sourire, j'aurais même dû draguer la blonde qui me jetait des regard insistants depuis qu'elle était venue s'accouder au bar depuis quelques minutes. Je n'étais même pas en train de regarder les employés qui étaient en train de danser et d'aborder des poses plus que subjectives au bonheur de certains clients. Non, je n'étais pas en train de reluquer une jolie fille, pas de doute, l'heure était grave et il ne faudra pas vous étonner si d'ici quelques secondes on vous annonce la fin du monde et qu'une météorite s'apprête à entrer en collision avec notre planète. Dire que ça avait été une longue journée était un euphémisme.

Pour commencer, je m'étais réveillé dans un lit qui n'était pas le mien, soit, j'aurais pu passer, je n'avais qu'à ramasser mes affaires, et par là j'entends mon pantalon et mon téléphone portable et partir tout simplement. Mais d'abord, déposer un léger baiser sur les lèvres de la sublime créature qui avait passé sa nuit avec moi. J'avais déjà oublié son nom pour être honnête mais je savais que c'était les tâches de rousseurs sur ses joues et son sourire qui m'avaient séduit plus qu'autre chose et oui... Même moi je peux être romantique. Me lever demanda un gros effort car j'avais une légère gueule de bois. Je titubais légèrement vers la sortie de la chambre sans la réveiller, me retrouvant dans une couloir. Des années de conquêtes et de fuites au petit matin m'avait appris à être silencieux et discret voilà pourquoi je n'avais pas pu m'empêcher de sursauter en entendant du bruit. Quelqu'un montait des escaliers à grande vitesse et avant que je n'ai pu faire quoi que ce soit, je me retrouvais en face d'un gamin qui ne devait pas avoir plus de cinq ans. « Papa ? » Non pas papa. Je ne suis pas ton père le mioche. Merde, je me suis tapé une femme mariée ? Elle n'avait pas sa bague hier soir, j'en étais certain et à voir l'air déçu du petit garçon alors qu'il m'évitait pour aller dans sa chambre, ce n'était pas la première fois que ça arrivait. Je m'étais secoué la tête et j'avais moi aussi descendu les escaliers. Dans le salon, j'avais perdu du temps sur les photos de la famille heureuse... Merde, bien sûr qu'elle était mariée... J'étais parti sans demander mon reste, marchant pendant une bonne dizaine de minutes sans but précis avant de me souvenir que je ne savais pas où j'étais. J'avais allumé mon téléphone portable pour appeler mon assistante et elle était venue me chercher, avec dieu merci une tasse de café à la main. « Tu as une mine affreuse. » m'avait lancé Jane en ouvrant la portière. Je m'étais contenté d'un grognement avant de m'effondrer sur la banquette arrière. Je fus ramené chez moi et forcer à être présentable pour aller bosser.

À quoi bon ? Je veux dire je pourrais acheter une île et mêmes quelques états avec toute la fortune que j'ai amassé... Ce n'est tout simplement pas mon jour. À l'heure du déjeuné, je retrouvai une lueur d'espoir en draguant une infirmière mais cela ne dura pas longtemps car mon ex femme, Fiona, la première, m'appela. Comme d'habitude, nous nous distputâmes. On est pas mariés et on continue à se prendre la tête. Pourquoi est-ce que tu ne viens pas voir les enfants ? Mais j'en sais rien moi. Peut être parce que je ne veux pas, que je n'en ai pas envie, que je préfère leur épargner ça, et puis comment on est père en plus ? Il n'y a pas de manuel pour ça alors c'est mon droit de ne pas vouloir leur infliger ça pas vrai ? Et de toute façon, qu'est-ce qu'ils y gagneront ? Absolument rien. Ce dernier coup de fil m'avait laissé un goût amer dans la bouche et j'avais ouvert la fenêtre de mon bureau, au dernier étage de l'hôpital s'il vous plait, avant d'y balancer mon téléphone. Tant pis pour mon sublime score à Fruit Ninja, pensai-je, j'ai besoin d'un verre. Voilà comment j'avais atteri ici et j'en étais déjà à ma cinquième vodka. Non, attendez, maintenant ça fait six. J'aime boire mais je tiens très mal à l'alcool, encore un verre et je serais vraiment bourré, il faudrait que j'arrête, que je rentre chez moi et que j'appelle Jane pour lui dire de m'acheter un nouveau téléphone. Mais non. Je préférai largement attraper mon verre et enfin me retourner pour observer ce qui se passait dans le bar. Puisque j'étais là, autant en profiter pas vrai ?

Je reposai mon verre sur le comptoir avant d'annoncer à l'employé que j'étais plus que prêt à avoir mon propre show et voir une femme danser et seulement pour mon propre plaisir. Je ne suis pas du genre à adopter très souvent cette alternative mais me contenter de me regarder pour une fois pourrait me faire le plus grand bien. Je paye d'avance et laisse un gros pourboire à l'employé avant de rentrer dans la pièce à l'écart de l'agitation de la grande salle. « Oh et dites à celle qui s'occupera de moi qu'Harry Stone est très difficile à satisfaire mais que ça en vaut largement le coup. » Je disais cela en agitant des billets de cent dollars pour faire comprendre le message, l'argent n'ayant pas vraiment de valeur à mes yeux car j'en avais à ne plus savoir quoi en faire alors... Je poussai un soupir en m'installant dans le fauteuil en cuir. C'était une probablement une mauvaise idée d'être ici mais personne de mon entourage ne serait au courant alors... je ne faisais de mal à personne.
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyJeu 4 Avr - 20:48


Kill them of desire


Jo marchait sautillante dans les rues de Santa Monica. Le temps était doux, ensoleillé, le printemps pointait enfin son bout du nez. Jo ne pouvait rêver mieux. Avec le printemps la saison des amours s'annoncerait probablement bien meilleure, elle n'aurait pas à s'en plaindre. L'hivers les hommes semblent frileux, les femmes moins désirables une fois qu'elles ont enfiler leur jean, leur trois couches de pull, et leur collant de laine. Elle que ça soit été comme hivers elle montre ses gambettes, bouge plus s'il le faut pour se réchauffer. Elle sourit, aguiche, ça maintient la température corporelle à chaleur acceptable. En hivers elle était un lutin joyeux qui bosserait probablement pour le père Noël. Elle serait un bourreau des coeurs à la Saint Valentin, un de ceux qui vous collerait son poing dans le ventre si vous ne répondez pas à ses attentes. Et ses attentes étaient hautes, et ses poings particulièrement efficace. Au printemps elle était la fée verte, l'absinthe servie pure dans un verre, celle qui vous renvoie à votre propre solitude, à vos illusions charmantes. L'été elle était le supplice de vos nuits, la fille toujours fraiche que l'on prend quand on est à l'agonie. Celle qui saura pourtant vous traîner doucement vers cette agonie et faire grimper le thermomètre. L'automne s'accordait le mieux avec sa chevelure, elle était flamboyante en automne, toute en camaïeu, elle savait vous faire les beaux yeux.

Jo c'était la fée de l'Eden Strip Club. Celle qui était là pour son plaisir, depuis plus d'année que l'on ne peut réellement le compter. Celle qui prenait tous les clients peu arrangeant, ceux qui risquait de faire chiez, d'être ingérable. Elle était la seule qui savait mettre en confiance, qui donnait à l'homme une sensation de pouvoir immense, celle qui ne demandait aucune sécurité. On lui faisait confiance. On savait qu'avec elle, le premier qui osait rompre les règles, se retrouverait avec une paire de couille au niveau de la gorge. Elle savait aguicher mieux que personne, n'avait pas franchement de limite dans les fantasmes masculins qu'elle pouvait accomplir au gré d'une simple danse.

Jo arriva sautillant dans le club, et claqua la bise à toutes ses compagnes, en embrassant certaine langoureusement. Elle rejoignit en roulant des fesses jusqu'à sa table tout en se déshabillant. Elle n'avait pas franchement de pudeur, et adorait sentir sa chevelure rousse battre contre ses hanches dénudées. Jo les faisait toute rire, cette incroyable joie de vivre et légèreté, ce caractère inimitable, limite étrange. Elle s'habilla rapidement de la tenue qui lui avait été préparé pour la soirée. Elle se fichait honnêtement de se qu'on pouvait lui donner à porter, elle se sentait à l'aise avec n'importe quoi pour peu que ça ne soit pas un instrument de torture. Gesticulant dans tous les sens pour s'échauffer elle fit un certain nombre d'étirement pour être sûr de ne rien se froisser. « Calme toi Jo, tu nous épuises » dirent deux stripteaseuse nettement plus âgée, s'approchant plus de la trentaine mais étant toujours largement sexy, et puis il en faut pour tous les goûts. « Si vous bougiez en même temps que moi, j'aurais l'air d'être immobile. » répondit-elle mutine en continuant à s'agiter dans tous les sens. Le responsable du bar entra dans la salle pour le dire de se dépêcher d'aller peupler la salle, que les autres danseuses voulaient être remplacée. Jo sauta vers son patron et lui claqua un baiser sur la joue avant que ce dernier ne la retienne par le bras. « Salle C, un bourse en or difficile à combler et probablement enfoiré... » La soirée serait peut être bonne. Jo sourit à son employeur. « Tu me donnes deux verres et i'm on it. » prévint-elle rapidement. Elle reçu ses deux shooter de vodka, en vida un cul sec dans sa gorge, et traversa le club langoureusement, s'inspirant déjà de la musique qui passa pour se mouvoir souplement, shoot à la main. Elle entra dans la salle aussi agilement qu'un coup de vent, laissant ses cheveux se balancer sur ses épaules et dévoiler sa nuque. Elle fit glisser le shoot vers l'homme qui avait déjà bien dépassé la quarantaine mais qui semblait encore largement capable d'être dans le coup. Séduisant comme personne. Jo sourit. « Cadeau de la maison » dit-elle en parlant du verre qu'elle venait de lui lancer. Elle suivait à la perfection le rythme de la chanson bougeant lascivement sur des rythmes et des paroles qui prenaient soudainement des accents subjectifs. «On vous dit compliqué. Des envies ou vous êtes un homme compliqué et indécis ? » Autant demander. Puisqu'elle faisait tout. Enfin elle n'était pas une prostituée, même si parfois c'était à s'y m'éprendre, mais en tout cas dans le club elle se contentait de danser. « Vous pouvez m'appeler Jo... Ou peut importe d'ailleurs. » Elle devait faire partie des rares filles du club à donner son vrai prénom. Peut être parce qu'elle assumait complètement, qu'elle s'en fichait, et qu'elle était un peu tête cramée sur les bords.
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyVen 12 Avr - 23:05

J'aurais pu rentrer. J'y songeas sérieusement au fur et à mesure que les minutes s'écoulaient, mon cerveau arrivant encore à fonctionner. Parfois j'aurais voulu naître idiot, oui, les choses auraient été tellement plus faciles. Après tout, la connaissance ce n'est pas un cadeau mais véritablement un fardeau. Il y a des gens qui agissent tout simplement sans réfléchir et puis il y en a qui considèrent toutes les options, connaissent les dangers et se ravisent au dernier moment. C'est typiquement ce qui a faillit m'arriver la première fois que je suis parti faire du saut à l'élastique, calculant mentalement la vitesse à laquelle je m'apprêtais à me jeter dans le vide et juste parce que c'était marrant. Si la nature m'avait donné un peu moins de neurones, je n'y aurais pas réfléchi à deux fois et j'aurais tout simplement plongé sans la moindre hésitation... Oui, la vie doit être tellement plus simple pour les gens normaux. Et même en ayant bu beaucoup d'alcool, enfin beaucoup pour quelqu'un qui boit avec modération et très rarement (bon okay, une fois tous les six mois et encore, je ne pense pas qu'une bouteille de vin soit considéré comme de l'alcoolisme grave), j'arrive encore à penser. C'est rageant dans un sens, ce serait tellement mieux avec un bouton off, pas vrai? Tellement parfait, être un génie, le grand Harry Stone et une simple pression et on devient banal, normal, et on peut se fondre dans la foule et apprécier les joies d'un... d'un club de strip tease. Merde. Qu'est-ce que je fabrique ici?

Je commençai lentement à me lever, ou plutôt à tanguer car toute la vodka que j'avais ingurgité plus tôt dans la soirée, faisait déjà son petit effet et au final, je ne réussis pas à faire un pas. J'abandonnai avec un soupir résigné, me ré-installant plus confortablement dans le fauteuil et dans le même temps, un ange apparu. Enfin pas vraiment un ange, juste la jeune femme que je payais pour... Pour enlever ses vêtements. Je connaissais bien la subtile différence entre ce qui se passait ici et de la prostitution mais entre les deux, il n'y avait qu'un pas vraiment... Quoi qu'il en soit, j'avais en face de mois une sublime créature, cheveux roux, un visage bien dessiné, des formes là où il fallait et un petit sourire mutin, le genre de femme que l'on pourrait croiser dans la rue ou qui pourrait faire la voisine parfaite, peut être même que je l'avais déjà croisée dans la ville et que je lui avais déjà lancé un regard appréciateur. Pas de doute, j'allais en avoir pour mon argent et je n'hésitais même pas lorsqu'elle fit glisser un verre dans ma direction, je le vidai d'un trait avant de laisser échapper un léger rire... Ma réputation de connard m'avait déjà précédée jusqu'ici, décidément, je ne faisais pas les choses à moitié. "Et le cadeau de la maison c'est pour tous les clients ou bien c'est parce que je suis spécial? Que les choses soient claires, ma chérie,pas besoin de flatter mon égo, je ne suis pas là pour ça. C'est ce que tous les pervers doivent te dire tous les soirs? Pas grave, aujourd'hui, je suis un peu trop fatigué."

Comme à mon habitude, je parlais trop, je n'avais pas besoin de lui raconter ma vie, après tout, elle devait bien en avoir assez d'entendre les problèmes de tout le monde, elle n'est pas là pour ça... Je clignai des yeux, ma vision devenant de plus en plus nette et en plus je bouillonai, j'avais beaucoup trop chaud, mon dieu, j'oublie toujours ce que ça fait d'être bourré. J'ouvris les premiers boutons de ma chemise, en espérant ne pas lui faire peur, et puis zut, c'est juste une chemise, de toute façon, si c'était moi qui était venu la draguer, les choses se seraient déroulées différemment et nous serions déjà en train de nous embrasser, peut être même que je l'aurais déjà allongée sur la table, peut être que j'aurais fait courir mes doigts sur sa peau... J'arrêtai le fil de me pensées là parce que, malheureusement, ce n'était pas ainsi que la soirée allait se terminer. Dommage, la perspective d'un lit vide en rentrant ne m'enchantait guère."Je ne suis pas compliqué, je suis juste exigeant et... On ne serait pas déjà vu quelque part?"J'ajoutai la dernière partie de ma phrase en glissant sur le fauteuil, me rapprochant légèrement, mon cerveau avait dû mal à faire les connexions dans cet état-là, noyé sous l'alcool mais impossible d'endormir ce système là. Et je sais alors pourquoi est-ce que dans le fond cette parfaite inconnue n'en était pas une et pourquoi elle me paraissait si familière. C'était évident... Pas vrai? Bien sûr que si ça l'était. Son prénom n'était pas Jo, elle me mentait, en même temps, elle n'avait aucune raison de me faire confiance ou même de me dire la vérité. "Putain de merde... Iseult?" Et le pire dans tout ça, c'est que je ne réalisais même pas que j'étais en train d'appeler un fantôme.
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyMer 1 Mai - 11:51


Kill them of desire


Petite fille bouillonnante et incontrôlable. On te veut on te désir, on t'obtient. Fille facile, feux follet, feu de joie, allumeuse. Ecorcheuse, écorchée. Tu as une sale petite vie, une vie salement facile. Tu en fais ce que tu veux. Elle te domine. Le paradoxe est à son paroxysme. Tu te sens toujours puissance dans la plus humiliante des positions, le plus dénudée, et offert au regard, lorsque la peau luit sous la perversité, lorsque les lumières douces et vicieuses glisses sur ce corps absolument parfait. De toute façon on sait qu'il n'y a plus rien à perdre. Tu es givré depuis bien longtemps. même sobre tu as le cerveau complètement défoncé à un monde merveilleux complètement cocké. Tes parents ne t'ont pas loupé. Ils sont ou tes parents petites ? Tu avales le verre en premier, ton corps grisé par la musique coulant sur les notes, se tordant langoureusement, sans réfléchir sous le rythme, l'alcool descendant dans le gosier, brulant les artères sans rien te faire. Il en faudrait un litre. Litre que tu n'auras pas avant plus tard. Tu reposes ton regard sur le salopard que tu as sous les yeux. Le beau salopard. Peut être un peu vieux. Mais il y a longtemps que tu ne fais plus la différence. Jeune, moins jeune, un peu plus vieux, du moment qu'il te plaise, qu'ils ont se regard lubrique, qu'il t'allume, que tu les allume plus tôt. Il regard le verre perplexe avant de le vider d'un trait. Il s'apprête à ouvrir la bouche. Tu voudrais l'arrêter. Il va t'ennuyer. Tu le sais. "Et le cadeau de la maison c'est pour tous les clients ou bien c'est parce que je suis spécial? Que les choses soient claires, ma chérie,pas besoin de flatter mon égo, je ne suis pas là pour ça. C'est ce que tous les pervers doivent te dire tous les soirs? Pas grave, aujourd'hui, je suis un peu trop fatigué." tu souris, ta tête bascule lascivement en arrière ses cheveux chutant jusqu'à ses reins. Il voulait jouer au plus con ? Qu'on ne lui flatte pas l'égo ? Toutes les règles stipulait qu'on ne maltraitait pas une strip teaseuse. L'inverse en revanche. Alors tu le vois à deux doigts de crever de chaud puisqu'il se sentit obliger d'ouvrir sa chemise- qu'est ce que ça serait dans plusieurs minutes ? penses tu avant se se rapprocher de lui, toujours en rythme. «Oh ça ? C'est pour tous les carrés VIP... Mais vous êtes spécial... Vous m'avez moi. Je ne suis appelée que pour les crétins ambulants pleins aux as.» dis-tu contre lui avant de se retirer en se retournant et en se cambrant. Tu ne mâches pas tes mots. Peut être étais-ce pour ça qu'on t'envoyais toujours voir les clients dit difficile. Parce que tu les mâtes toujours sans peine. Que tu les mène toujours par le bout du nez. Que tu domine leur libido ainsi que leur flot de parole stupide. Mieux si on te le demandais tu pourrais aussi contrôler leurs gestes. Dans une salle close enfumée de musique sexy tu es comme la petite sirène dans l'océan, tu te meus sans aucune difficulté aveuglant quiconque essaye de te regarder de trop près. Tes cheveux se balançant sur ta peaux nette, douce, couleur pèche appelle à une tentation impossible à assouvir et te fait te demander pourquoi tu es venu ici plutôt que dans l'autre endroit, dans celui qui offre les services plus crus, mais plus efficace. «Vous préfériez quand je vous "flattais l'égo?" ?» Chose que tu ne fais clairement jamais penses-tu. Enfin en manière de strip tease. Parce qu'en manière de relation tout est probablement différent. Mais on est toujours différente à l'intérieur et à l'extérieur. Heureusement.

"Je ne suis pas compliqué, je suis juste exigeant et... On ne serait pas déjà vu quelque part?" Tu ne cesses de danser. Parce que c'est ton boulot, tu ne le quittes pas du regard, parce que ça les rend fou. Un regard mutin, un sourire coquin, un corps félin qui sait exactement ce qu'il fait sans sembler le savoir, une chorégraphie parfaite dans toutes son impulsivité, sa fragilité. Il est étrange. Tu le regarde un instant, ralentissant imperceptiblement le rythme. Pour prendre en considération ce qu'il dit. On ne sait jamais, elle en connaissait des mecs... Quoique celui là, si tu l'avais déjà vu elle ne l'aurait pas oublié. Tu reprends ta danses, tu es sûre de toi. «Je ne voudrais pas vous flatter plus que mesure. Mais si je vous avais déjà vu je m'en souviendrais.» Il avait tout de même ce quelque chose physiquement que même l'alcool ne lui enlevait pas. Ce mec était franchement étrange. Tu le sens. Son regard ne te transperce plus comme celui des autres, il t'observe étrangement, il te scannes bizarrement, presque désagréablement. Si l'alcool n'altère pas complètement ses capacités le jugement ne devrait pas tarder à tomber. "Putain de merde... Iseult?" Là tu t'arrêtes brutalement de danser. Parce que ça n'arrive pas souvent qu'on t'appelle par le prénom de ta mère. Et parce qu'il y a peu de chance qu'on t'ai appelé Iseult pour une autre raison. Après tout il te reste une photo d'elle, tu le sais, tu lui ressemble presque comme deux gouttes d'eau. «Je ne sais pas qui vous êtes, ni ce que vous voulez, mais la personnes que vous cherchez est morte depuis vingt ans. Je m'appelle toujours Jo. Joanne.» Tu le regardes étrangement. il a l'air bien imbibé. Tu as beau être là pour travailler l'envie d'en savoir plus sur elle te démange. «Bon le sexy sac à vin. Je danses. Tu me dis ce que je veux savoir sur ma mère tu payes grassement la boite, je ne demande rien pour moi d'autre que ta répartie flamboyante d'alcoolo arriéré. Deal ?» tu dis en souriant avant de reprendre ta danses. Si tu t'arrêtes trop longtemps ça va se remarquer au caméra, on va penser que tu as un problème. Et tu le sais. Tu n'as jamais de problème.
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyDim 5 Mai - 22:13

Crétin ambulant plein aux as. Pas de doute, il fallait que je la note celle-là. Je veux dire... Quand on se fait insulter aussi quotidiennement que moi, on finit par tout simplement ne plus écouter ce que les gens ont a dire sur soi-même. Enfin moi c'est parce que je me fiche totalement de l'opinion des autres à mon sujet et ce depuis que j'ai l'âge de ... on va dire d'aussi loin que je m'en souvienne. La vie est tellement courte, si je m'arrêtais sur ce que les autres ont à dire à mon sujet, je ne vivrai pas tout simplement. Mais de temps à autre, il y a des piques qui sont plus intelligentes que d'autres et je me dis que ça vaut le coup de les noter. Donc comme ça, cette charmante jeune femme est là seulement parce que j'ai l'air d'être un client difficile? C'est décevant, c'est décevant surtout quand on sait à combien s'élève ma fortune personnelle (petite indice, c'est un chiffre avec plus de cinq zéros). Mon truc quand je m'ennuie c'est de racheter des restaurants et des hôtels et parfois même des hôpitaux, bon okay, un seul hôpital pour l'instant mais grâce à ma petite tactique (non je plaisante, je cède juste à mes envies, c'est tout) je commence à avoir un petit empire immobilier et ça plus les droits que je touche grâce au brevet que j'ai déposé pour Bridget... Bref, Harry Stone est peut être un connard mais c'est un connard riche. Depuis quand est-ce que je parle de moi à la troisième personne? On s'en fout. Le plus important c'est elle. Elle dont le visage m'était familier et que je venais d'associer à une figure de mon passé. De ma famille même. Enfin, si seulement j'arrivais à réfléchir correctement je serai capable de jouer à l'apprenti détective et trouver de moi-même qui elle était. C'est officiel, l'alcool ne me réussit pas du tout, je m'en tiendrai à mon habituel vers de champagne et au nouvel an désormais, pas plus. Je clignai plusieurs fois des yeux pour me concentrer sur ce qu'elle était en train de me dire. Iseult, morte. Oui, ça je le savais déjà, la nouvelle ne me surprenait qu'à moitié, pourquoi est-ce que je l'avais appelée ainsi? Mais parce qu'elle lui ressemblait tout simplement. Je n'avais pas encore perdu toute ma tête et je poussai un soupir en m'installant confortablement dans mon siège, prêt à entendre des explications venant de la part de... Joanne. Non, pas de doute, je préfère Jo, Jo qui n'arrête pas de bouger et qui est toujours en train de danser.

Elle est belle, bien sûr qu'elle est belle, il faudrait être un idiot pour ne pas le voir, je suis bourré mais pas encore à ce point-là, mais il y a quelque chose... Quelque chose qui fait que toute cette petite soirée et notre moment n'est pas parfait. Il me manque des informations. Réfléchis Stone, réfléchis. Iseult était sa mère. Évidemment. Je laissai échapper un léger rire, une main sur le visage en l'écoutant. Elle pensait que j'étais en état de lui parler de quoi que ce soit concernant sa mère alors que j'étais incapable de réciter plus de trois des décimales de pi? En temps normal, j'aurais été capable de réciter les 500 premières décimales mais là, adieu les neurones et les prouesses techniques. Je suis tombé bien, bien bas. Je la regardai avec un air faussement intéressé me disant que cela aurait été plus simple si nous étions chez moi. Mais je me doutais qu'elle risquait de très mal prendre cette proposition et en plus il devait avoir une ou deux caméras dans la pièce je suppose. Bon, faisons semblant d'être un client lambda, après tout, j'étais venu ici pour me changer les idées et pour faire ça non? "Si on joue à ce petit-jeu là, je peux déjà te dire que ce n'est pas la peine de flatter mon égo. Non franchement, je ne suis pas à ce point désespéré, j'ai toute l'attention qu'il me faut." répliquai-je assez sèchement en lissant les pans de mon costume, essayant de retrouver un minimum de contenance. Si elle voulait la version la plus détestable d'Harry Stone, elle allait l'avoir et même pas besoin de demander deux fois. Je sortis une autre liasse de billets de mes poches, à croire que je les collectionne. Non, c'est juste que je ne suis pas un grand fan de la carte de crédit, le liquide c'est plus pratique et okay je passe pour un type qui fait parti de la mafia, mais tant pis. Je laissai retomber les billets sur la table à côté de mon verre avant de lever mon regard vers Jo qui dansait toujours. "Je suppose que ça suffira? J'ai encore une liasse de mille dollars cachée quelque part mais quelque chose me dit que si j'essaye de te montrer où je me ferais renvoyer en moins de temps qu'il ne faut pour le dire."

J'exagère un peu, j'ai encore des billets dans ma chaussure gauche, dans le talon pour être précis, pourquoi là? On s'en fout, c'est plutôt pratique et puis je préfère passer pour un pervers que pour un psycopathe qui a des billets cachés là où il ne faut pas. "Bref, qu'est-ce que tu veux savoir? Iseult est morte, désolé au passage, l'alcool et moi ça ne fait jamais bon ménage, je ne sais même pas pourquoi... Pas la peine que je te raconte ma vie, tu n'en as rien à foutre de toute façon." Le tact n'avait jamais été mon fort et maintenant que j'étais plus qu'éméché j'avais une excuse. Je me passai une main dans les cheveux toujours à la recherche de quoi dire. La fille d'Iseult, dans une boite de strip tease... La fille de ma cousine si ma mémoire était exacte. Oui, j'oublie des membres de ma famille mais bon, je ne suis pas le père de l'année et je ne me soucie pas du tout de mes enfants donc je vous laisse imaginer mes rapports avec les autres membres de ma famille. Un jour j'irai à un dîner de thanksgiving, l'ambiance sera bien joyeuse, c'est moi qui vous le dit... "Donc tu es sa fille... Quel âge tu as maintenant? Quelque chose comme 20 ans? Tu ne devrais pas être je sais pas moi... À l'université ou quelque chose dans ce genre?" Moi qui donne des leçons de morale, du jamais vu je sais, mais bon, j'aimerais tout de même savoir comment la fille de ma chère cousine a bien fait pour finir dans un endroit pareil. Juste histoire de satisfaire ma curiosité et parce que je n'ai rien de mieux à faire là tout de suite... Qu'on ne s'y trompe pas, je ne commence pas à me soucier du sort des autres comme une personne normalement constituée. Non, même l'alcool n'a pas cet effet-là sur moi.
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyMer 8 Mai - 13:03


Kill them of desire


Depuis les six qu’elle dansait, Jo commençait à savoir ce qu’elle faisait, et ne voyait en aucun cas le coté négatif ou dégradant de la profession. Elle l’avait choisit. Certes à une période de sa vie c’était plus par nécessité que par véritable envie qu’elle se tortillait en petite tenue devant de gros pervers. Mais elle avait rencontré Cody, et puis maintenant elle avait aussi l’héritage de ses parents. En sommes elle n’avait besoin de plus rien, et la maigre sommes qu’elle se faisait avec ses films devaient pouvoir lui suffire à subvenir à ses besoins et même plus. Et ce n’était pas par envie de luxe qu’elle continuait. Par envie d’avoir toujours plus d’argent qu’elle faisait ça. Parce qu’elle se fichait de l’argent comme elle se fichait de la semelle des chaussons de sa grand mère. Grand mère qu’elle n’avait pas d’ailleurs. Non, Jo dansait, quatre soir par semaine, pour son bon plaisir. Parce que ça l’amusait, parce qu’elle aimait le regard des hommes, et parce qu’elle aimait se trémousser sur de la musique éléctro-grunge enivrante et enivrée. Si en plus elle était douée pour ça, et qu’elle faisait une vraie fleur à son patron en continuant à faire partie de la boite, alors rien ne pouvait lui faire plus plaisir. Et oui la vie à parfois des joies particulièrement simples. Jo vivait le vice comme un bonheur à l’état pure. Elle se sentait ange de pureté lorsqu’elle était sous acide ou dans une boite de strip-tease. Ce qui dénotait peut être d’un problème d’interprétation des choses. Mais Jo vivait sa vie comme elle l’entendait, et personne ne l’arrêtait. Elle n’était ni blaser, ni blasable. En revanche, elle était largement baisée, et très baisable et c’était l’un de ses petits plaisirs. Elle évitait cependant désormais de ramener des clients du strip-club étant trop souvent tombé sur des malades complet que Cody avait démolie en quelques minutes avec son aide.

Se retrouver dans un salon VIP, avec un enfoiré de première était réellement l’un de ses petits plaisirs. Plaisirs tordus et stupides, mais elle adorait voir leur sourire renfrogné et sadique au début, entendre leur réplique cinglante avant de les voir capituler comme tous les autres et de fondre littéralement sous ses coups de hanche qui fendait l’air et ses cheveux qui battaient sa peau laiteuse. "Si on joue à ce petit-jeu là, je peux déjà te dire que ce n'est pas la peine de flatter mon égo. Non franchement, je ne suis pas à ce point désespéré, j'ai toute l'attention qu'il me faut." Un véritable chieur qui lui tapait sur le système. Jo se pinça la tête pour ne pas lui cracher dessus. Et alors que le rythme s’intensifiait elle lança sa jambe droite au dessus de sa tête faisant un grand écart virtuel laissant retomber son pied sur la banquette à quelques centimètres de lui. Elle en profita pour écarter la jambe et la rapprocher violemment de lui, lui donnant au passage un coup de talon dans la cuisse, mais lui offrant une vue plutôt imprenable sur toutes la longueur de sa jambe et plus encore, surtout que sa main à lui traînait à quelque pas de sa cheville à elle. «Tous les mecs ici sont désespérés ! Vous faites justes semblant ! Vous êtes pathétiques!» vint-elle lui murmurer s’étant rapprocher en se cambrant presque comme Shakira était capable de le faire. Il sortit une liasse de billet d’une de ses poches avant de la faire tomber sur la table. Jo la regarda avec des grands yeux, se demandant qui pouvait bien avoir autant de liquide sur lui. "Je suppose que ça suffira? J'ai encore une liasse de mille dollars cachée quelque part mais quelque chose me dit que si j'essaye de te montrer où je me ferais renvoyer en moins de temps qu'il ne faut pour le dire." Hein... Renvoyer en moins de temps qu’il ne faut pour le dire ? Autant effectivement elle se fichait de l’argent qui s’y trouvait. Enfin ce n’était pas nécessaire... Quoique... Elle serait la strip-teauseuse la mieux payer de la planète... Mais surtout ça l’intéressait de savoir dans quel endroit tordu le mec cachait son fric. Bien sûr avec la manière dont il l’avait dit, elle n’avait q’une image qui s’était imposé dans sa tête, et qu’elle essayait de chassé en vain. «Désespéré, pathétique et riche ! Je crois que ça ira ! Dites moi ou... J’aime les excentrique !» Oh... Il ne fallait vraiment pas qu’elle commence sur cette voix là. On connaissait le tempérament de Jo, toujours fichu de draguer la mauvaise personne, et celui là était clairement un enfoiré, donc techniquement pas pour elle. Enfin si justement pour elle. mais non. Et puis ce n’était pas l’important. Il connaissait sa mère. Avait réagit comme un abrutit la confondant avec elle, elle voulait savoir pourquoi. C’était d’ailleurs tout le but de cette danse.

"Bref, qu'est-ce que tu veux savoir? Iseult est morte, désolé au passage, l'alcool et moi ça ne fait jamais bon ménage, je ne sais même pas pourquoi... Pas la peine que je te raconte ma vie, tu n'en as rien à foutre de toute façon." Pfiuuu, ce mec était une éponge ! Une éponge sexy, mais une éponge quand même. «La base comment tu l’as connais ? Tiens et qui tu es aussi ! J’imagine mal ma mère avoir traîné avec un con comme toi.. Tu l’étais peut être moins à l’époque... Tu te l’es tapé ?» Si elle savait. Si elle savait à quel point elle était loin du compte. Enfin si il était con. Et elle avait plus ou moins traîné avec lui. Même plus que ça. «Pourquoi tu t’excuse ? c’est toi qui l'a tuée ?» Elle s’était rapproché violemment de lui, le regardant suspicieusement, son nez frôlant presque le sien. Elle fut néanmoins obligé de se reculer. L’haleine alcoolique n’étant pas franchement ce qu’elle préférait au monde. «Ah oui... L’alcool. Hum...» Elle fit un sourire, se remettant à danser comme si de rien était. "Donc tu es sa fille... Quel âge tu as maintenant? Quelque chose comme 20 ans? Tu ne devrais pas être je sais pas moi... À l'université ou quelque chose dans ce genre?" Jo éclata d’un rire cristallin, n’arrêtant pour rien au monde sa danse frénétique. Elle aimait danser. Même si c’était pour un petit con qui connaissait sa mère et qui avait visiblement décidé de lui faire la moral. «21 ! Quand à l’université, j’te la fou la ou je penses, et j’en ai pas besoin pour ce que je comptes faire ! Je pourrais te dire que je ne fais pas que traîné ans le club de strip-tease, mais je me tape littéralement de ce que tu penses - Non parce que pour me faire la moral correctement il faudrait encore que tu arrêtes de me regarder de la sortes !» Soit comme un mec bourré qui... Qui quoi elle en savait trop rien. Mais c’était pas un regard à moral.
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptySam 25 Mai - 20:05

On ne choisit pas sa famille. Cette expression est vraie, plus que vraie, sauf que moi je dis merde à tous ce genre de proverbes ... Sans que compter que j'adore contre-dire les gens. Bref, ma famille, il y a beaucoup de Stone, je veux dire, j'ai quatre enfants à moi tout seul avec deux femmes différentes et d'aussi loin que je me souvienne, les repas de famille des Stone ont toujours été bien rempli. Enfin, tout ceci remonte à très loin pour moi, dès que j'ai eu la majorité et que j'ai quitté l'université, j'ai tout simplement coupé les ponts avec ma famille. Sauf avec ma tante, je veux dire, c'est elle qui a remplacé ma mère en quelque sorte après la mort de cette dernière donc... Et puis, elle a vraiment essayé de me donner une enfance normale, un semblant de stabilité, une mère, un père, des soirées en famille où le petit Harry était au centre de toutes les attentions et qu'il pouvait raconter tout ce qu'il avait appris à la fac, des cadeaux à Noël et pour mon anniversaire... N'importe quelle personne normalement constitué n'aurait pas fuit ce genre d'environnement, qui refuse une famille aimante vraiment? Donc non, tous ceux qui pensent que je suis un connard parce que mon papa ne m'a pas donné assez de câlins se trompent largement... Je ne sais pas, il doit y avoir quelque chose de profondément tordu chez moi qui fait que si je vois quelque chose de bien ou qui pourrait me rendre un tant soit peu heureux, je pars en courant, tout simplement. Iseult fait partie de ce passé que j'ai laissé tomber et que je contacte de temps à autre en me contentant de les appeler, tous les six mois. Voilà, c'est ça pour moi la famille. Un concept très abstrait qui ne m'intéresse pas du tout et dont je cherche à tout prix à me défaire. Je me dis que ce serait tellement plus simple si tout le monde pouvait m'oublier, ou si je pouvais divorcer de tous les membres de famille comme je l'ai fait avec mes ex. Oui, ce serait le plan parfait, juste leur donner de l'argent de temps à autre et ne reprendre contact avec personne. Ça ne marche pas comme ça, non, dans la vraie vie tout le monde m'emmerde et je me retrouve à prendre de mauvaises décisions comme atterrir dans un trip club.

Plus jamais, plus jamais. Surtout pas quand je me retrouve à reluquer une jeune femme qui aurait l'âge d'être ma fille. Et c'est sûr qu'elle ne m'aide pas en me disant qu'elle aimait les excentriques. Elle était sûrement tombée sur le roi des excentriques et là tout de suite je regrettai de ne pas avoir caché ma liasse de billets à un autre endroit. Il était très facile de l'imaginer sur mes genoux avec ses mains qui... Non. Première règle: ne jamais imaginer quelque chose qui ne peut pas et ne pourra jamais se passer. Ça ne sert à rien, pas la peine d'imaginer Jo allongée sur la table, juste là, à la place des verres et la bouteille qu'elle a apporté avec elle, moi, à genoux devant elle, lui retirant ses chaussures avant de faire la même chose avec sa robe. "Ouais l'alcool, c'était une très mauvaise idée pour moi." murmurai-je, pas certain qu'elle m'entende avec cette musique. Si je lui demande d'aller dans un endroit plus tranquille, ça sera forcément mal vu pas vrai. Au pire je peux toujours lui laisser une de mes cartes... Ça n'engage à rien. Oui, Harry, mais oui, lui laisser ta carte ne veut pas dire que tu veux t'envoyer en l'air avec elle, absolument pas. Je pouvais très bien entendre cette petite voix au fond de ma tête qui était en train de ricaner et décidai de l'ignorer. Se concentrer sur Jo, se concentrer sur Jo, ouais, je pouvais le faire. Elle pensait que je lui donnais des leçons de morales? Non. Je faisais semblant de m'inquiéter, juste par simple politesse, c'est tout. "Crois moi ma chérie je suis très mal placé pour te faire la morale, c'est pas ce que j'essaye de faire là, ta tête me dit quelque chose donc... j'essaye juste de faire ... bref on s'en fout."

Pas besoin de me justifier devant elle, et puis je doute qu'on se revoit en dehors de... en dehors d'ici en fait. "Vis ta vie Jo et évite les connards dans mon genre." Je donne des conseils maintenant? Oui, rien que ça, Harry Philosophe Stone voilà comment on devrait m'appeler. À croire que l'alcool ne fonctionne pas complètement sur moi. "Et le conseil, gratuit en plus, c'est juste pour cette fois, hein? Tu devrais en profiter. Bref Iseult c'est ta mère hmm? Non, je ne me suis pas glissé entre ses jambes, quoi que... Si j'aurais pu je ne l'ai pas fait. Ta mère est ma cousine... enfin était ma cousine. Donc du coup on est quoi toi et moi? Cousins?" Cette histoire est en train de prendre une tournure malsaine et si j'avais un minimum de décence et de... morale justement, je serai parti, lui aurait donné rendez vous dans un café ou même dans un restaurant pour qu'on discute de tout ça à tête reposée. Mais non. Elle est en train de se trémousser et moi je paye pour regarder alors j'en profite et je regarde. Dans le fond, ça ne m'étonne même pas qu'on soit reliés elle et moi, on a visiblement le même genre de problèmes. C'est la fille de ma cousine, je suis quoi moi alors? Son cousin aussi? Son cher tonton Harry? Je sens déjà venir la gueule de bois... "Tu sais quoi? Le hasard fait bien les choses. Donc je suppose que je devrais te prendre dans mes bras ou même te serrer la main du coup... Bienvenue dans la famille Stone."
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyDim 16 Juin - 13:49



Kill them of desire  
   

Jo avait depuis très longtemps des problèmes d’ordre sexuel. Rien de bien grave à priori. On pouvait seulement lui décelé quelques tendances nymphomane, une incapacité chronique à se contrôler et un appétit féroce pour la chose. Il fallait avouer que généralement ça en arrangeait plus d’un. Elle jouait souvent la dessus, et avec ces cheveux roux, elle faisait réellement chaude comme la braise, si bien que beaucoup se laissait perdre dans son regard taquin, sa chevelure ondoyante, ses jambes svelte s’étendant à perte de vu, son déhanché presque malsain, et ses courbes douce, discrète mais trop tentante. Jo était ce genre de fille à rendre fou les hommes. Sexuellement, et puis de toutes les autres manières aussi. Jo était usante. Elle les épuisait et tirait l’énergie des gens jusqu’à la dernière goutte. Après elle se ramassait souvent, parce qu’elle ne se rendait pas compte. Pas compte d’être aussi épuisante, insupportable, et aussi folle. Et quand on la larguait, elle en avait généralement pas encore mal. Parce qu’elle avait un appétit féroce pour la chose, et que les autres craquaient généralement bien avant elle. Bien que souvent ce qui amenait à la rupture n’était pas du tout d’ordre sexuelle. Après elle se vengeait. Parce que la vengeance était jouissive. Et que Jo n’aimait aucun verbe autant que celui là.

Tout ça pour dire que Jo était comme un poisson dans l’eau dans son boulot, et qu’elle ne savait pas résister à l’appel stupide et alcoolisé d’un enfoiré de première, trop vieux pour elle, sexy comme il n’était pas permis, excentrique et étrange. Un charme ravageur qui indiquait clairement - dégage de là tu vas te faire mal - Mais même la douleur avait un instant jouissif. La douleur dégageait une puissance phénoménale, un attrait dramatique et sordide qui la plongeait au coeur de son autre travail. Elle n’était pas masochiste - ou peut être que si - elle prenait simplement le pari que tout se passerait bien - quand bien même elle savait clairement le contraire - et brûlait chaque seconde comme si c’était la dernière. Parce que chaque seconde était importante. Qu’elle aurait aimé, n’avoir ne serait-ce qu’une seconde avec ces parents. Sans vouloir trop faire un pauvre remake du pauvre orphelin version Harry Potter.

Ainsi elle se perdait dans la musique, dans les regards intenses, et dans les sourires malins. Elle cherchait à le contrôler, le séduire, le rendre fou. Ce n’était peut être pas malin, peut être pas sain. Il lui avait dit connaître Iseult. Il devait presque avoir l’âge de sa mère. Ca ne pouvait pas bien finir. Il ne lui avait certes pas encore tout dit qu’elle savait que c’était une connerie. Mais on était fait pour vivre ses erreurs... Et puis ça l’amusait. Elle en avait envie. Le reste elle y réfléchirait après. Elle s’arrangerait pour oublier. Elle trouvait toujours un moyen pour oublier. Au pire elle vivrait avec elle. Elle n’était plus à un détail malsain dans sa vie. Elle sentait son regard sur elle et souriait, elle l’entendit murmurer quelque chose qu’elle ne compris pas et ne chercha pas à en savoir d’avantage. Elle devinait. Elle parvenait surement à ses fins, elle s’amusait. Peut être que sans le vouloir il parvenait au sienne. Qu’elle le trouvait trop charmant, que ce n’était pas naturel. "Crois moi ma chérie je suis très mal placé pour te faire la morale, c'est pas ce que j'essaye de faire là, ta tête me dit quelque chose donc... j'essaye juste de faire ... bref on s'en fout." Ma chérie... Un enfoiré beaucoup trop charmant. Ce genre de surnom à deux francs six-sous donnait des envies de meurtre à la rousse, mais tout était filmé ici et c’était probablement une mauvaise idée d’agir de la sorte. Il était étrange. Un parfait connard probablement. «T’essaye juste de faire genre tu n’es pas l’enfoiré que tu aimes être ? T’embête pas pour ça, t’es mieux au naturel ! T’as l’air con autrement» Au moins Jo était ce qu’on pouvait appeler l’honnêteté incarné. Elle aimait les enfoiré, elle ne s’en cachait pas. Elle avait un vocabulaire de merde généralement des plus vulgaires, elle ne cherchait pas à le dissimuler. Elle était une allumeuse qui se plaisait à voir les regards lubriques plus ou moins dissimuler, plus ou moins assumé. Et lui clairement n’assumait pas, et cherchait à se contrôler. Ce qui rendait la chose encore plus amusante. "Vis ta vie Jo et évite les connards dans mon genre." Hum... Jo s’arrêta une seconde de danser, choquer par la phrase qui venait de sortir de la bouche de son client. Il plaisantait ? Un conseil ? Elle éclata d’un rire cristallin dévoilant toute la capacité érotique de sa gorge et de la naissance de sa poitrine. «C’est ma vie que je vis là... Pas la tienne ou celle de je ne sais pas qui...» rien que la phrase vie ta vie lui paraissait d’un absurde. «Et les connards dans ton genre... J’en fais ce que je veux... Et c’est à eux de m’éviter... Si jamais ils en sont capable...» Oui elle était diablement sûr d’elle. Mais vêtue d’une tenue légère et affriolante, dansant et dévoilant ses formes elle se sentait généralement invincible. Surtout que son adversaire était un pochtron de première et qu’elle n’aurait qu’à lui mettre un coup de point pour le déclarer hors circuit. "Et le conseil, gratuit en plus, c'est juste pour cette fois, hein? Tu devrais en profiter. Bref Iseult c'est ta mère hmm? Non, je ne me suis pas glissé entre ses jambes, quoi que... Si j'aurais pu je ne l'ai pas fait. Ta mère est ma cousine... enfin était ma cousine. Donc du coup on est quoi toi et moi? Cousins?" Oh... Waw ! Weird... Elle savait que ça allait mal finir. Cousin... Autant dire qu’ils avaient du sang en commun... Et qu’elle le chauffait à bloc... Et oh et puis zut... C’était pas son père c’était déjà ça. Fallait pas l’emmerder avec les convenances... Jo n’était pas convenable. "Tu sais quoi? Le hasard fait bien les choses. Donc je suppose que je devrais te prendre dans mes bras ou même te serrer la main du coup... Bienvenue dans la famille Stone." Là elle s’arrêta une seconde de se tremousser. Famille Stone. Elle avait entendu parlé d’un Stone. Enfin elle avait lu se prénom le jour ou elle avait rendu une petite visite à son notaire pour s’occuper du testament de ses parents et récupérer l’héritage... Fouineuse comme elle était elle n’avait pas mis longtemps à découvrir les noms de deux personnes qui aurait du s’occuper d’elle à la mort de ses parents. Deux personnes qui auraient du, et qui ne l’avaient pas fait. Par flemme, ou par je ne sais quoi, et qui avait fait de sa vie un enfer. Abbott... Qu’elle avait vite retrouvé, et dont elle s’était venger avec une certaine classe. Et Harry Stone... Elle ne s’était pas encore penché vraiment sur la question... Elle savait juste qu’il dirigeait le Good Samaritain Hospital et qu’il était plein au as... Et là elle avait un Stone... Plein au as... Qui faisait partit de sa famille. Combien il y avait de chance pour que ce Stone là soit le Harry Stone qui l’avait livré à l’orphelinat sans trop d’état d’âme et qui n’était jamais venu vérifier qu’elle allait bien ?

Si elle continuait de danser bien sagement... Enfin sagement ce n’était pas le mot... Pour les yeux de ce qu’elle pouvait qualifier comme le plus gros enfoiré que la terre n’est jamais porté, elle regardait aussi le plan qu’elle pouvait mettre à exécution pour l’assassiner discrètement. Se rapprochant de lui, elle posa son pied à coté de lui, dévoilant toute la longueur de sa jambe, avant d’entreprendre un geste audacieux qui visait à faire passer sa jambe par dessus la tête de Monsieur je suis un connard riche, Harry Stone. Bien sûr elle savait parfaitement réaliser ce geste sans entrave. Bien sûr elle fit exprès de ne pas lever la jambe suffisamment haut et de lui balancer un coup de pied bien sentit dans la tête. Bien sûr elle était une pétasse qui ferait une tête absolument confuse et désolé. Et lui serait trop saoul et trop assommé pour pouvoir se rendre compte que le coup de pied était bien intentionnel. Et puisqu’elle se laisserait glisser sur ses genoux pour se faire pardonner et qu’elle saisirait sa tête de ses mains délicates et expérimentées pour voir les dégâts, il ne pourrait pas réellement lui en vouloir. «Oh... je suis désolé... Tu vas bien ? Je peux faire quelques choses pour arranger ça ? Un verre, ou n’importe quoi ?» dit-elle les cils battant et l’air affligé par sa fausse maladresse. Après avoir appris qu’ils étaient de la même famille, cette posture était des plus troublantes et dérangeante, mais puisque ça ne semblait pas la déranger outre mesure...
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyJeu 27 Juin - 8:40

Comment réagir en découvrant qu'un membre de sa famille est une strip teaseuse? Excellente question, je pense que la chose la plus décente à faire est de lui dire d'arrêter de danser, lui proposer va veste et l'emmener dans un autre endroit, un endroit avec un peu plus de lumière, un peu moins de musique et surtout de la nourriture. Oui je veux dire, ce serait logique, si je croise Iseult au Paradis, la discussion risque d'être des plus houleuses. Au faut, j'ai vu ta fille, je me suis bien rincé l'oeil. Non mais attendez stop, j'imagine en plus que je vais aller au Paradis? Harry tu te trompes, tu te trompes sur toute la ligne... S'il y a vraiment un dieu, et j'en doute très fortement, pas de doute qu'il va envoyer mon joli derrière en Enfer et s'il ne le fait pas... Je vais me poser de sérieuses questions. Je veux dire, ça doit carrément être écrit sur mon front maintenant que je suis un connard et qu'il ne faut pas s'approcher de moi, je ne vois même pas pourquoi est-ce que je me sens obligé de prévenir Jo. Là encore, question très intéressante, est-ce que tous les hommes qui mettent les pieds dans ce genre d'établissement sont des connards? Hmm, il faudrait que je médite dessus et aussi sur le fait que je ne devrais, devrais jamais toucher à de l'alcool. Ce n'est pas pour toi Harry, laisse tomber, okay, les gens normaux y arrivent et ils encaissent bien le coup mais eux, ils ont besoin d'une calculatrice alors que toi tu n'en as jamais utilisé une. Je ne sais pas pourquoi je m'obstine, ça doit être dans ma nature, inscrit dans mon programme génétique, entre ça et Savannah qui se moque doucement de moi quand je vais au Barking Spider, mais qui a la décence de toujours m'appeler un taxi et faire en sorte que je ne conduise pas dans mon état. Le pire qui pourrait m'arriver ce serait de m'endormir au volant et rentrer dans un panneau de circulation. Oui c'est déjà arrivé, non je n'ai pas perdu mon permis, qu'est-ce que je peux dire... C'est toujours pratique de se balader avec des billets de cent plein la poche. Bon okay, parfois je passe un peu beaucoup pour un gros ponte de la mafia ou même un type à la tête d'un réseau de drogue mais ça, ce n'est pas moi. Je ne pourrais pas faire se genre de métier, parce que ça implique de se taire et d'être discret et moi... Je sais pas faire, je voudrais que tout le monde soit au courant de ce que je fais, je serais même capable de rentrer dans un bureau de police, sac rempli de cocaïne à la main, et en lançant "regardez toute cette cam bande de connard, et vous ne pouvez même pas m'attraper" avant de partir en courant. Donc non, définitivement pas le profil pour le job.

Jo elle, elle s'en sortirait certainement mieux, cette façon qu'elle avait de me répondre et cette étincelle dans ses yeux (oui, une étincelle, oui, je suis bourré à ce point là, pas de commentaire, merci), si elle le voulait elle pouvait m'avaler tout cru et continuer de vivre sa vie. Image plus que perturbante je vous l'accorde mais un fait reste un fait, si Jo et moi on avait eu le même âge là tout de suite, elle se serait fait un malin plaisir à me remettre à ma place. Parce qu'elle est en train de faire quoi là? Excellente question cher petit cerveau, excellente question. Là, elle se rapproche, elle se rapproche encore et... Mon dieu qu'est-ce qu'elle fabrique?! Je la regardai bouger avec les yeux grands ouverts, passant certainement pour un type qui n'avait jamais vu une femme d'aussi près de sa vie. Non, j'étais juste en train de réaliser que premièrement: ... mon dieu ses jambes. Je veux dire wow, je retire ce que j'ai dit il y a cinq secondes, si je l'avais rencontrée il y a quelques années de cela, elle aurait été ma femme numéro 3, pas de doute là dessus. Et oui, je me marrie pour les raisons les plus absurdes de tout l'univers et ... passons. Deuxièmement, en se rapprochant, je crois qu'elle vient d'enfreindre au moins une dizaine de lois sur ce genre de choses entre membre d'une même famille et... Ouch. Est-ce que son pied vient d'entrer en contact avec mon crâne? Apparemment oui. Je me grattai la tête à l'endroit de l'impact et je m'apprêtais à lui demander si c'était ainsi qu'elle traitait tous ses clients lorsque Jo s'installa sur mes genoux.  "Désolé? Fais moi croire en plus que tu ne l'as pas fait exprès... Mon dieu tu as de la chance d'être jolie."

Je lançai avant de soudainement réaliser qu'elle était sur mes genoux. Sur mes genoux. Non, non, non, non, elle était beaucoup trop près. Je me suis toujours vanté d'avoir un certain self control, mais avec tout cet alcool dans mon sang, qui sait comment je pourrais réagir. Jo, non, ne bats pas des cils en jouant les innocentes, on sait tous les deux que tu l'as fait exprès, et que tu ne devrais pas jouer avec le feu comme ça..."Et tu peux faire plein de choses pour véritablement te faire pardonner de la perte de neurones que tu viens d'engendrer. " Stop talking. Parfois je devrai écouter mes propres conseils, mais ce jour n'est pas encore arrivé, ce soir, j'ai ma cousine (est-ce vraiment ma cousine? Il faut vraiment que vérifie cette histoire de lien de parenté) sur mes genoux, elle porte une robe qui ne laisse absolument aucune place pour l'imagination et je pouvais définitivement me pencher pour l'embrasser vu comment nous étions proches. Non. C'est une ligne que je ne dois pas franchir. Mon regard dériva une seconde vers ses jambes et ... Non.  "Mais je crois que si je commence à faire ce que j'ai en tête, je vais me faire virer de ce charmant établissement et en plus je vais devoir te payer des séances chez le psychiatre pour le traumatisme causé..." Pourquoi est-ce que je parle comme si elle était normale? Jo a visiblement un problème et ça c'était bien avant que j'arrive, oui c'était ce genre d'argument que je comptais sortir devant le juge... Quel juge? Bonne question, je préfère couvrir mes arrières c'est tout, on n'est jamais trop prudent croyez moi.  "Maintenant soit gentille et descend des genoux de Papa Harry avant que je ne fasse quelque chose qu'on pourrait regretter, enfin surtout moi..." Je forçai un sourire et comme pour appuyer mon propos, une de mes mains trouva ses fesses et y donna une légère tape.

...
Harry Stone c'est décidé, tu vas aller en Enfer.
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyJeu 11 Juil - 23:17



Kill them of desire  
   

Quand elle s’y mettait Jo était une Bitch de la pire espèce. Une de celle qu’on ne voit pas forcément venir au premier coup d’oeil, qui à ce faux air fragile, cette plastique candide, cachant des muscles renforcés et une agilité à coupé le souffle. Elle était un chat. Celui qui ronronne sur vos genoux le soir devant la télé, celui qui vous griffe avec une hargne féroce si vous ne satisfaisiez pas tout ses désirs, celui qui retombera toujours sur ses pattes. Elle a l’air dépendante, elle affectionne, elle ressent, elle est celle qu’on croit brisé en un claquement de doigt. Enfin tout dépend ou. Croisez là dans un club de strip tease et vous verrez, sans aucune contrefaçon la Bitch qu’elle peut être. Le regard aguicheur, aucune trace d’une quelconque pudeur, un léger coté effarouché qui faisait fureur, une agilité impeccable sur des talons vertigineux qui lui offrait des jambes à perte de vue. Elle était franche, elle était claire, et peut être un peu vicieuse, elle avait les idées de Cody qui lui brûlait les veines, les quelques vapeurs d’alcool qui lui enflammait le cerveau et lui titillait les neurones, à moins que ça soit le joint qu’elle avait pris avec Cody avant de partir travailler. Elle se sentait invincible. Peut être qu’elle l’était d’ailleurs. Elle avait en face d’elle un gros poisson, peut être le plus gros qu’elle avait eu depuis un bout de temps. Un membre de sa famille. Tonton, Cousin, elle ne savait pas... Soit disant tuteur d’ailleurs aussi.. S’il avait accepté tout du moins... S’il n’avait pas été suffisamment enfoiré pour la laisser pourrir dans un orphelinat. Mais bien sûr... Bienvenue dans la vie de Jo, dans tout ce qui avait fait son caractère de merde, son manque de confiance en soit suivit d’une assurance à couper le souffle. Un fucking paradoxe comme Cody disait, parfois, sous l’emprise de l’acide, avec la tête qui tourne, quand Jo passait du chaud au froid, des larmes au rire machiavélique. Elle était difficile à suivre. C’est ce qui plaisait tant, ce qui insupportait aussi. Ou alors elle avait un véritable problème. Sinon qu’est ce qui pourrait expliquer qu’elle était partager entre l’étrangler à main nue et le séduire. Mais on ne séduisait pas celui qui aurait du être son père... Ce n’était pas... Correct... Sur un million de point au moins... Alors pourquoi ça ne l’a dérangeait pas ? Peut être espérait elle que ça le dérange lui... Ce qui n’avait clairement pas l’être d’être le cas vu comment il la regardait... Oui mais non... Elle s’en fichait complètement. Tout ce qu’elle voyait devant elle c’était un homme - séduisant, très séduisant - un enfoiré de première qu’elle connaissait ni d’Adam, ni d’Eve, qu’elle avait envie de rendre fou et d’étrangler par la suite.... Ou même mieux... Peut être d’en faire malgré lui le héros d’un de ses films si... Dérangeant... Hum... Il faudrait qu’elle demande de l’aide à Cody... Peut être que même Jekyll serait intéressé par l’affaire. La destruction des valeurs capitaliste par la jeunesse débrouillarde et provocante. Oui ça pouvait faire un certain carton. Elle en était sûre.

 "Désolé? Fais moi croire en plus que tu ne l'as pas fait exprès... Mon dieu tu as de la chance d'être jolie." La victoire de la séduction sur l’intelligence aussi... Mais ça n’avait rien de nouveau comme sujet, ou de particulièrement original... Mais il fallait avouer qu’il n’était pas trop con. Facilement influençable par quelques formes et gestes déplacés, mais visiblement il gardait une partie de sa tête... Peut être devait elle recogner... «Jolie ?» demanda-t-elle l’air innocente, faisant glisser ses doigts de sa main droite sur me visage, le cou et le torse de son prisonnier... Fallait l’appeler comme ça... De la main gauche dans son dos elle faisait signe au caméra de la laisser tranquille, et de ne pas intervenir peut importe ce qu’elle ferait par la suite. Ca lui arrivait rarement de sortir de ses gonds, mais elle avait quand même prévu le coup auprès de son patron... Qui avait appris à lui faire confiance par ailleurs. "Et tu peux faire plein de choses pour véritablement te faire pardonner de la perte de neurones que tu viens d'engendrer. " Bah voyons... Le contraire aurait été étonnant... Elle sourit, faisait un air énigmatique, mais visiblement ouverte à toute proposition... Elle allait pas non plus venir lui tirer les verres du nez... S’il voulait quelque chose, et certes elle était partante pour faire qu’il le veuille, il avait qu’à venir le chercher lui même... Aussi drôle que ça pourrait être de le violer ça ne torturerait pas sa conscience, si conscience il avait... Alors que s’il se penchait pour prendre ce qui lui tendait les bras, il aurait potentiellement des regrets... Ce qui pourrait être fort amusant... On pouvait aisément penser qu’il ne connaissait pas le mot regret... mais comme Jo non plus elle n’avait pas grand chose à perdre à ce petit jeu. "Mais je crois que si je commence à faire ce que j'ai en tête, je vais me faire virer de ce charmant établissement et en plus je vais devoir te payer des séances chez le psychiatre pour le traumatisme causé..." le traumatisme causé ? «Traumatisme ? Tu es si peu doué que ça ?» dit-elle en plantant son regard dans le sien... Allez il ne fallait pas être con pour se rendre compte que non seulement Jo était loin d’être une sainte nitouche, mais qu’en plus elle était complètement fêlé... Et le seul traumatisme qu’il lui avait causé, était d’avoir signé son arrêt de mort en l’envoyant à l’orphelinat. «Et il y a longtemps que les psychiatres ne peuvent plus rien faire pour moi..» C’était une évidence... mais il fallait dire qu’elle avait presque envoyé en dépression la psychiatre de l’orphelinat. "Maintenant soit gentille et descend des genoux de Papa Harry avant que je ne fasse quelque chose qu'on pourrait regretter, enfin surtout moi..." Papa Harry ? Il voulait se prendre une tarte ? Il aurait du être papa Harry, là il n’était rien, qu’un pauvre client bourré pitoyable qu’elle draguait et qui ne serait plus capable de lui résister... Et oui il allait regretter. Elle sentit sa main venir se claquer sur ses fesses et d’un geste vif elle captura sa main l’obligeant à revenir sur ses fesses. C’était ça qu’il voulait ? «Et si c’était exactement le but ?» demanda-t-elle provocatrice se rapprochant de lui.... Si c’était encore possible. Elle fit un vague geste d’une de ses mains dans son dos et tourna la tête vers les caméra avant de voir une lumière rouge s’allumer près de la caméra. Brave bosse... Heureusement qu’il n’avait pas peur pour elle et qu’il avait déjà testé son coup de pied et de point pour savoir qu’elle pouvait se débrouiller peut importe la situation. Elle montra du doigt la caméra. «Oh... On dirait qu’ils ont éteint la video surveillance...» Oups... Ils étaient seuls. Alors «papa» chéri, est-ce que tu es capable de faire le bon choix ?
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyJeu 25 Juil - 13:42

Entre nous, je m'attendais à ce qu'elle me gifle. Ou non, que quelqu'un de beaucoup plus grand et de plus musclé que moi ouvre la porte et me foute dehors purement et simplement. Enfin je sais que si moi j'avais une boite de strip tease, je ne laisserai aucun client aller aussi loin... Est-ce que je viens de commencer ma phrase par "si moi j'avais une boite de strip tease?" Est-ce que je suis sérieusement en train de l'envisager? C'était tordu comme pensée je sais mais si je rachète ce... charmant établissement je pourrais garder un oeil sur Jo. Ah bon. Parce que je veux garder un oeil sur Jo maintenant? Première nouvelle, c'est sympa, j'apprends des trucs sur moi-même tous les jours. Est-ce que je me sentais coupable maintenant? Je veux dire, je ne la connais pas, elle ne me connaît pas, si je n'ouvrais pas autant ma grande bouche, elle n'aurait jamais su le lien de parenté qu'il y a entre nous deux et moi non plus d'ailleurs. L'alcool devrait fonctionner normalement avec moi, je devrai être en mesure de réfléchir encore plus que d'habitude. Okay, je ne suis pas au mieux de mes capacités mais c'est déjà beaucoup plus que la majorité des hommes bourrés. Bref, cette gifle. Pourquoi est-ce qu'elle ne venait pas cette foutue gifle? Je devrai tenir les comptes histoire de savoir combien j'en ai reçu dans ma vie... beaucoup. Ça n'aide pas du tout quand vous avez une tendance à toujours aller voir ailleurs, ou que la fille avec qui vous venez de vous envoyer en l'air vous surprend le lendemain matin la tête entre les jambes de sa colocataire alors qu'elle était juste partie acheter du café... Pas vrai? Une très bonne soirée soit dit en passant et aussi une très bonne matinée. Qu'est-ce que je peux dire, dès qu'il y a une paire de seins dans les parages ou des jambes dénudées, je perds tout contrôle de moi-même.

Sauf que ça ne doit pas arriver avec Jo.

Sauf que ça risque d'arriver si elle continue de se rapprocher comme ça de moi et... je rêve ou est-ce qu'elle vient de remettre ma main sur ses fesses. Mon regard dériva un instant vers cette partie de son anatomie... Non, je ne rêve pas. Mon dieu Jo, qu'est-ce que tu veux? D'abord le coup sur la tête et maintenant... ça? Et moi qui pensais que j'étais un être humain compliqué, je l'ai clairement sous-estimée. Je suivis son index lorsqu'elle me montra la caméra et je ne pus empêcher le sourire qui franchit mes lèvres en entendant ces mots-là. "C'est juste une simple coïncidence ou c'est pour te faire pardonner du coup sur la tête... Ou alors les deux à la fois?" Je ne comprends pas ce qu'elle veut, c'est très très simple et en plus une de mes mains et sur son postérieur alors pourquoi est-ce que je continue de me prendre la tête? Ça devrait être facile. Mais si Harry, réfléchis, tu peux le faire, tu l'as déjà fait des centaines de fois. Fille sur tes genoux plus caméra de surveillance coupée ça veut dire que... "J'espère que tu ne souhaites pas que je te donne la fessée hein? Ça je ne fais pas... Même un connard comme moi à ses limites." Mon dieu j'arrive à mentir quand je suis bourré génial, non mais plus sérieusement, il y avait des choses que j'étais prêt à faire mais pas ... ça. Je crois que même moi je n'arriverais pas à faire face à ma psychiatre si je mets une fessée à la fille de ma cousine. Ça ne veut pas dire que je vais rien faire, si elle doit me mettre une gifle, autant que ce soit pour une bonne raison pas vrai? Un seul regard lancé sur Jo et je décidai que oui.

"Ce que je peux faire en revanche en revanche, c'est ça." Je bougeai alors, mes mains trouvant les hanches de Jo, il faut dire qu'elle ne pèse absolument rien du tout et je la déposai sur la table basse, juste à côté, faisant tomber la bouteille d'alcool qui s'y trouvait toujours par la même occasion. Tant pis, on s'inquiétera de ce genre de détails beaucoup plus tard. Me laissant tomber à genoux, je trouvai très rapidement ma place, c'est-à-dire entre ses jambes. Oui, c'est là ma place, et c'est à ça que je pense depuis qu'elle est rentrée dans la pièce et comme pour le prouver, à elle ou à moi je ne sais pas, ma bouche se posa sur sa peau blanche, juste là, derrière son genou. Chez beaucoup de femmes, il s'agissait d'une zone érogène chez la plupart des femmes et je perdis plusieurs secondes à embrasser cette partie de l'anatomie de Jo avant de relever mon regard vers son visage. "Si tu veux m'arrêter, c'est maintenant."
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptySam 3 Aoû - 9:47

   

Parfois elle se disait qu’il fallait qu’elle arrête. Vous savez... Ses conneries... La drogue, les hommes, les filles... Le striptease... Enfin tout quoi... Elle le savait... Elle n’était pas saine... Oui... Parfois elle se disait qu’il fallait qu’elle arrête. Bon d’accord ces moments de lucidité duraient quoi... Un quart de seconde, et puis elle refonçait dans le tas. En même temps... Expliquez lui... Quel était exactement l’intérêt d’arrêter ? Vivre une vie longue, sénile, et ennuyeuse ? Il n’y avait personne qui l’attendait nul part. Peut être Cody, mais on ne pouvait pas compter sur elle pour vieillir avec elle. Cody serait bientôt morte. Probablement. Elle s’en fichait d’être la suivante pourvu qu’elle se soit éclaté comme elle en avait envie. Même en arrêtant tout elle pourrait encore mourir demain écrasé par une voiture conduite par une abrutie ivre ou drogué comme elle savait l’être. Alors franchement ... A quoi bon ? Elle était gaie comme un pinçon, plus délurée que Marilyn Monroe. Elle était bien comme ça. Et personne ne se plaignait vraiment. Ou alors s’il y avait des plaintes, et bien... Elle ne les écoutait pas. C’était souvent plus simple comme ça. Faire la sourde oreille, et rire plus fort que tout le monde.

En tout cas une chose était sûr... Cet... Harry... N’avait pas l’air de s’en plaindre. En même temps lui commençait à se faire vieux. Sans offense pour lui, bien sûr, il n’en était pas moins canon et désirable, mais d’un point de vu objectif par rapport à Jo il était vieux... Il avait l’âge d’être son père quoi... D’ailleurs il aurait pu l’être... S’il n’avait pas été un enfoiré de mes deux... Enfin vu la tournure des évènements il valait peut être mieux éviter de penser à ce genre de chose. Bref. Il commençait à se faire vieux, et il avait une jeune bombe... Eh ! Il fallait dire ce qu’il était, Jo était ce que l’on faisait de mieux dans ce club. Certes elle était très loin de la bomba latina, avec une poitrine absolument énorme qu’elle ne serait pas capable de porter, et des hanches à la Mad Men, mais elle avait des cheveux rougeoyant qui rendait fou, des jambes qui... Fiou... Voilà... On ne pouvait pas en dire grand chose tellement elles étaient... Et... Fiou. Bref, elle était jeune, et tout ce qu’il y a de plus sexy, et elle lui offrait probablement tout ce qu’il pouvait rêver à ce moment présent. Après bien sûr il y avait un tout petit détail qui pouvait changer la chose, mais qui n’avait pas l’air de tant le tracasser que ça pour le moment. A savoir qu’elle était la fille de sa cousine, et que bah... Il aurait du être son père quoi... Techniquement ce n’est pas le genre de relation qui impose d’être à moitié, voir presque complètement dénudé sur les genoux du «papa» en question, avec sa main - à lui- sur ses fesses - à elle. Mais il ne fallait pas demander à Jo de faire les choses correctement et de s’arrêter lorsque les choses ne devenait plus décente. Etrangement Jo avait un appétit inépuisable pour l’indécence, l’étrange, le bizarre, le hors de contrôle, et le malsain. Et clairement, là on était en plein dedans. En plus rajoutez y une envie de vengeance , et l’envie de l’étrangler entre ses cuisses et vous pouvez être sûr que sa conscience -si elle en avait déjà eu une- s’était barré bien loin.

Après l’avoir cogné, parce qu’il l’avait mérité tout de même, quel con, enfoiré, trou du... Bref on avait compris. Après ça elle avait eu la bonne idée de... Le chauffer... Parce que c’était la chose qui lui avait paru la plus logique. D’accord ça n’avait rien de logique, mais c’était Jo. Et ça logique était un brin déformé par le faite qu’elle était persuadé qu’Harry Potter existait et que sa lettre s’était perdue dans l’océan atlantique. Pour s’assurer de ne pas être dérangé, et de ne pas faire une vidéo porno... Quoiqu’en soit elle en aurait rien à foutre... Elle avait donc demandé à son Boss d’éteindre la vidéo surveillance, qu’elle se débrouillerait bien toute seule, et qu’elle n’avait pas besoin de ses gros bras. Elle indiqua le changement de statut de la caméra à Harry ses yeux malicieux le cherchant. "C'est juste une simple coïncidence ou c'est pour te faire pardonner du coup sur la tête... Ou alors les deux à la fois?" Jo se faire pardonner ? Enfin s’excuser ? Tellement pas son genre. En même temps il devait le savoir... Les coïncidences n’existait pas. Il avait certes l’air complètement bourré, mais peut être pas au point d’être littéralement stupide, et de penser qu’elle ne contrôlait plus la situation. «Surement une coïncidence... Parce que je ne m’excuse pas du coup...» Enfin en soit elle l’avait fait... Mais c’était parce qu’elle voulait faire croire à un accident. Maintenant qu’elle voyait qu’il savait que s’en était pas un, et bien elle n’allait pas vraiment s’excuser... Il le méritait ce coup... Il en méritait mille autres. "J'espère que tu ne souhaites pas que je te donne la fessée hein? Ça je ne fais pas... Même un connard comme moi à ses limites." Heu... Fessée ? Sérieusement. Et lui des limites ? S’il avait des limites il l’aurait remise à sa place depuis longtemps et il n’aurait pas continué à la dévoré du regard, à garder ses mains sur ses fesses et à avoir toutes ses pensées peu saines lui traversé l’esprit. Clairement il n’avait aucune limite, et devait avoir des partie génital largement plus grosse que son cerveau... Ou alors il oubliait juste de l’utiliser dans ce genre de moment. «C’est pas parce que je n’ai pas eu de père pour m’en donner que je suis dans ce genre de délire...» En vrai elle l’avait été... Comme elle avait du essayé un bon nombre de délire... Mais vu comment ça avait finit avec Louis... Elle n’allait pas recommencer de sitôt les fessées etc... La clairement s’il la frappait il ne savait pas ce qu’il allait se prendre sur la gueule...

"Ce que je peux faire en revanche en revanche, c'est ça." Hum ça quoi ? Elle sentit ses mains bouger de ses fesses pour l’attraper par les hanches et la poser sur la table.. D’accord elle était clairement un poids léger... Plume même. Pauvre garçon... Complètement perdu. Jo ne broncha pas alors qu’il l’allongea sur la table et qu’il se glissa entre ses jambes. Elle aurait peut être du. En toute logique, pour un soucis de bienséance . Mais s’il y avait une chose à savoir sur Jo, c’était que généralement si elle jouait les filles qui maîtrisaient parfaitement le coup, à partir du moment ou le mec trouvait sa place - et là Harry semblait l’avoir trouver- elle se mettait à avoir de plus en plus de mal à réfléchir. Elle sentit ses lèvres contre sa peau et fut parcouru d’un frisson. Non ce n’était pas l’alcool, l’enfoiré savait juste très bien ce qu’il faisait. Elle se pinça la lèvre et secoua la tête, ce n’était peut être pas une si bonne idée que ça... Parce que s’il commençait... Elle serait probablement pas capable d’arrêter, et si elle ne l’arrêtait pas... Et bien... Elle se serait tapé son... Je ne sais pas quoi qui aurait du être son tuteur... Qu’elle aurait donc pu appeler Papa. Et peut être que même pour elle s’était trash. Ou pas finalement. Et puis si lui n’avait pas de remord de s’être tapé sa.. Je ne sais pas quoi de la même famille, et bien elle ne se serait pas venger de lui... Elle lui aurait juste permis de prendre un pied d’enfer... Et le but de l’opération n’était clairement pas de lui faire plaisir... "Si tu veux m'arrêter, c'est maintenant." Hein ? Elle plongea son regard dans le sien un moment, essayant de mettre son cerveau en route... En même temps arrêter les choses maintenant avait assez peu d’intérêt, peut être qu’elle aussi avait un peu envie de prendre son pied... Et puis l’arrêter plus tard quand lui serait fou de désir ça pourrait être vraiment plus intéressant... Fallait pas la sous-estimer... Elle n’avait pas vraiment le coeur entre les cuisses... Ou peut être que si... Mais non... Ah fait chiez elle détestait réfléchir... Vraiment. Qu’est ce que Cody ferait ? Elle foncerait... Oui c’est ça... Elle l’arrêterait au milieu de l’action... Ca serait.. Machiavélique, et la ferait passer pour la saloperie qu’elle pouvait être... Elle referma les jambes sur lui se rapprochant d’autant plus en se rasseyant sur la table pour mettre son visage à la hauteur du sien. Elle l’embrassa dans le coup tout en finissant d’enlever les boutons de la chemise qu’il n’avait pas encore fait sauté sous le coup de la chaleur plus tôt. «Peur de ne pas être à la hauteur ?» murmura-t-elle à son oreille provoquante. «Papa..» ajouta-t-elle vicieusement tout en faisant sauter sa ceinture et en glissant ses mains dans son pantalon Mais merde... Jo... Fais toi soigner... Le chaud, le froid comme ça... Le mec va faire une crise cardiaque avant l’heure.
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptySam 10 Aoû - 17:33

Peut être que j'étais mort... Oui peut être que j'étais mort et que j'avais fini par atteindre les portes de l'Enfer. Une chose totalement injuste vu que Jo avait l'air d'un ange, elle avait la peau blanche comme un ange, elle avait la peau douce comme un ange et même dans sa façon de bouger... On aurait dit un ange. Mais il y avait les cheveux, de ce roux impressionnant, presque de feu et ce regard et ce sourire, elle n'avait rien d'un ange. Si elle était quelque chose ce n'était pas un ange mais bien un de ces êtres démoniaques qui devaient me guider vers le royaumes de Satan ou j'avais gagné ma place depuis longtemps. Et même en décidant de toucher Jo et d'embrasser sa jambe, geste qui aurait pu être anodin, j'avais atteint un nouveau niveau de perversité. Il fallait qu'elle m'arrête parce que ... parce qu'elle était la tentation incarnée, ce dernier test pour voir si Harry allait résister ou pas. Et déjà qu'en temps normal, j'ai beaucoup de mal alors comment voulez vous que je gagne cette bataille en étant bourré. Elle a gagné pas de doute la dessus, peut être que oui, peut être que le karma est une grosse salope qui s'amuse à me faire payer toutes mes erreurs passées et qui a décidé de me donner une dernière chance avec Jo mais... Mais merde Karma, à quoi est-ce que tu pensais? Oui, elle pourrait être ma gamine, ma fille, la chair de ma chair et tout le blabla, mais ça ne va pas m'arrêter, non, ça ne vas pas m'arrêter. Je le sais, elle le sait, elle a même fait couper les caméras de surveillance alors à quoi ça sert tout ça? Ça sert qu'Harry est bourré et qu'il ne sait plus que un et un ça fait deux et... Qu'aurait fait quelqu'un d'autre à ma place? Si j'avais eu son âge, si j'avais été plus jeune, je n'aurais pas hésité une seule seconde, et il y a bien longtemps que je lui aurais retiré sa robe. Enfin, sauf s'il y avait une bague à mon doigt, j'ai beau être un salaud de première classe, tromper une femme est quelque chose que je n'ai jamais fait. Harry qu'est-ce que tu racontes? Fait quelque chose.

Oui, je pourrais mourir entre ses jambes là, mais fort heureusement, Jo décide que c'est le moment d'intervenir. Merci mon dieu, tout cet alcool me fait vraiment perdre le nord.  On était en train de se regarder, pourquoi déjà? Ah oui, je lui avais dit de m'arrêter si elle le voulait. Je la regardai réfléchir à toute vitesse et prendre sa décision. Oui ou non? Ou oui ou oui? Oui, la dernière option m'allait très bien. Elle bougea, et je m'attendais un peu beaucoup à ce qu'elle me mette une gifle, bah oui, je l'ai bien méritée, mais au lieu de cela, elle se rapprocha. Jo qu'est-ce que tu fabriques? Bonne question, très bonne question, elle m'embrasse le cou, elle joue avec les boutons de ma chemise... Did she just call me dad? Mon dieu, je vais brûler en Enfer, je me mordis la lèvre inférieure alors qu'elle s'attaque à ma ceinture et que ses mains dérivent dans mon pantalon. "Au moins... Le message est clair." Je murmure en laissant enfin échapper une inspiration. Les conneries comme ça, ce n'est décidément plus de mon âge et pas de doute qu'aussi près, Jo peut sentir tout l'effet qu'elle me fait, pas besoin de se le cacher, et puis je suis un homme d'un âge certain (et pas d'un certain âge merci), je ne risque pas de tout gâcher comme un adolescent au bout de quelques secondes de frotti-frotta, merci. Je la laisse donc explorer ce qu'elle veut explorer avant que mes mains ne trouvent ses poignets, m'emparant de ses mains. "Si on fait vraiment ça, on devrait sans doute aller dans un endroit plus tranquille, pas que j'ai peur de ne pas être à la hauteur, ce serait juste dommage de casser la table, pas vrai?"

J'essayai de trouver quelques minutes de plus pour pouvoir réfléchir et me rappeler comment on fait. Oui, désolé, mec bourré, en plus... Je viens de me rendre compte que je n'ai pas de préservatif, oui même dans cet état j'ai des éclairs de lucidité. L'humanité n'a certainement pas besoin d'un autre petit Stone, non merde, j'ai déjà quatre gamins (enfin je crois...) pas la peine d'en rajouter un autre par dessus le marché, et puis ce serait vraiment tordu si Jo était enceinte de mon gosse pas vrai? Je fermai les yeux un instant avant d'attraper son visage entre mes mains, je n'étais pas son père, non, je n'étais pas son père, je déposai des baisers partout sur son visage, passant probablement pour le plus grand tordu de toute la planète: son cou, ses joues, ses paupières, son front, son oreille et même sa bouche. "Tu es complètement, complètement folle, j'ai même pas de préservatif et pourtant j'ai quand même envie de te rentrer dedans, tu es barge, oui, tu as bien fait de me prévenir..." Je délirai les yeux ouverts alors que l'alcool commençait enfin à faire son effet, c'est-à-dire, anéantir ma pauvre petite matière grise qui n'a absolument rien demandé. Non, j'ai besoin de mon cerveau, sans lui je ne suis plus rien, reviens, reviens. Et pourtant je continue, comme si j'étais en mode auto-pilote, je continue, je bouge toujours et rapidement mes mains trouvent la poitrine de Jo, évidemment qu'elle est bien foutue, évidemment qu'elle a ce qu'elle faut là où il faut sinon la nature ne serait tout simplement pas juste.

"Tu imagines à quel point ce serait marrant si tu tombais enceinte de moi?" Mon dieu, Harry tais toi et baise là, tu sais comment faire, on enlève son pantalon, un coup dedans, et un coup dehors, voilà, c'est tout ce qu'on te demande, personne ne te demande de philosopher. Mais j'aimerais bien y arriver, être en mesure de juste me taire et juste... "Pas vrai, Iseult?" J'eus même un sourire aux lèvres sans me rendre compte de mon erreur. Ça, se sera le problème d'Harry sobre, Harry bourré n'est juste pas disponible pour le moment, veuillez laisser un message après le bip sonore.
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyMer 14 Aoû - 13:38

Un jour, elle était allée voir un psychologue. Enfin plusieurs jour d’ailleurs. Un rendez vous hebdomadaire qui s’était rapidement transformé en séance de torture pour le pauvre psychologue. En même temps on avait pas idée de forcer quelqu’un à venir parler de soit. Pourtant dans les orphelinats c’étaient la règle. On estimait tout ses petits enfants comme toujours potentiellement dangereux pour eux-même et pour les autres. Il était possible que dans le cas de Jo, ils aient eu raison. Le problème c’est que Jo n’était pas le genre de personne à supporter d’aller chez le psy. Ou a être supportable par un psy pour ce que ça vaut. Pendant les premières années ou elle avait été suffisamment grande pour pouvoir réfléchir par elle même, mais pas encore suffisamment grande pour que le pauvre psychologue la juge machiavélique, elle avait passé toutes ses séances à raconter l’histoire d’Harry Potter, l’ayant retourné dans sa tête pour l’adapter à sa propre vie... Et la bonne femme n’y avait rien vu... Bien sûr elle avait trouvé étrange et souvent incohérent, mais elle avait pris ça pour une adaptation mentale de ses souffrances, et l’avait donc écouté avec beaucoup d’attention.. Puis elle s’était rendu compte de la vérité, et là le vrai jeu avait pu commencer. D’une fois sur l’autre Jo ne racontait jamais la même chose, et s’inventait des vies plus terrifiante les unes que les autres, des rêves à dormir debout. Finalement c’était ces rendez-vous hebdomadaires chez le psy qui avait fait d’elle ce qu’elle était. C’était probablement ce qui l’avait rendu nymphomane, sans limite, malicieuse, vicieuse, revêche, et rebelle. C’est ce qui avait dévoilé son attraction pour le trash, et tout ce qui était de mauvais goût. C’était ce qui lui avait donné l’aisance de choquer. C’était séance ou elle poussait son imagination dans les retranchements de la perversion qui l’avait amené ici. Ca ne faisait aucun doute, et si Harry devait se plaindre à quelqu’un, il pouvait aller se plaindre à tout ses psychologues qui avaient capitulé les uns après les autres face au cas Potter. Ainsi ce n’était en aucun cas de sa faute.

Son cerveau avait beau être éveillé, et elle avait beau avoir très bien enregistrer les données principales à savoir Harry Stone - vieux - cousin de ma mère - et supposé tuteur. Elle ne changeait pas sa manière d’agir. Peut être parce que la dernière chose qu’elle avait eu à sa conscience était celle qui primait désormais sur tout le reste. Supposé tuteur. Donc le mec qui la laissé rôtir dans un orphelinat avec ces psychologues. Il était donc encore plus responsable, par son absence grandiloquente, des troubles mentaux tant chéri de la rousse. Oui parce qu’elle ne s’en plaignait pas, enfin pas toujours, et que souvent son esprit dérangé était son arme ultime. Mettant ainsi naturellement de coté toutes les informations qui ne l’intéressait absolument pas, elle garda la seule et unique qui lui donnait envie de le rendre fou. Et il ne fallait pas une demi-heure pour comprendre qu’est ce qui pouvait rendre fou Harry Stone. A voir comment il la regardait, et le lieu dans lequel il se trouvait, Harry avait clairement un talon d'Achille qui se situait entre les jambes.  A bien y réfléchir c’était probablement à ce problème la qu’on pouvait déduire leur lien de parenté.. De toute évidence. Elle fit donc ce qu’elle savait le mieux faire après insupporter les gens... Réchauffer l’atmosphère. "Au moins... Le message est clair." lâcha-t-il dans un inspiration alors que Jo avait glissé ses mains dans son pantalon, pour vérifier qu’il n’avait pas perdu ses attributs masculins en même temps que son cerveau... Ah non... Tout était bien là... Et... Largement bien là. Elle sourit, de voir qu’Harry réagissait aussi bien. Clairement tout ne serait qu’un jeu d’enfant... Enfin tout dépendait aussi de ce qu’il lui faisait à elle, parce qu’elle ne se connaissait pas pour être un modèle de retenu et de contrôle... Soudainement les mains d’Harry attrapèrent ses poignets et la stoppèrent dans ses caresses. "Si on fait vraiment ça, on devrait sans doute aller dans un endroit plus tranquille, pas que j'ai peur de ne pas être à la hauteur, ce serait juste dommage de casser la table, pas vrai?" Jo retira immédiatement ses mains et écarquilla les yeux avant de basculer la tête en arrière pour regarder la salle. Fermée. Les caméra coupées comme elle l’avait dit tout à l’heure, et outre une table, il y avait des banquettes, et toute sorte de surface incassable si c’était ce qui l’effrayait. Bon dieu est-ce que vieux rimait aussi avec chiant ? Parce que là il était plutôt clairement entrain de la refroidir... «Oh... Monsieur a des goûts de luxe et à besoin d’un lit et de draps de soie pour s’abandonner ?» Elle avait surtout envie de lui dire que c’était maintenant ou jamais, parce qu’elle n’avait pas que ça a faire de se balader avec un type qui avait l’âge d’être son père -qui aurait du être son père - alors que techniquement elle était sensé bosser... Mais malgré le désir qui l’animait elle, et lui très clairement il ne craignait qu’il prenne ses quelques secondes pour dire jamais. Ce qui en soit ne serait pas bien grave, mais qui causerait un grave manque dans tout son plan de vengeance machiavélique. Et comme le bonhomme tout en demandant de bouger, n’avait pas fait un geste pour la faire bouger elle, elle se montra sensuellement plus décente jusqu’à ce qu’il attrape son visage entre ses deux mains, l’embrassant partout. Oui partout. Et si certain endroit était particulièrement sensible et appréciait se genre de manifestation, d’autre n’en avait rien à foutre, et lui donnait l’impression qu’il était un chien entrain de lui lécher le visage. Ce qu’il faisait très bien by the way. "Tu es complètement, complètement folle, j'ai même pas de préservatif et pourtant j'ai quand même envie de te rentrer dedans, tu es barge, oui, tu as bien fait de me prévenir..." Même dans sa façon de parler il avait un truc qui donnait envie à Jo d’huler un gros What the Fuck !! Lui rentrer dedans ? Jésus un peu de classe, elle n’était pas qu’un trou non plus. Ni une voiture ou quoique ce soit dans lequel on «rentrait dedans» Cela dit cette envie de lui foutre un coup de boule, se mêlait à un désir accrue par l’attente stupide qu’il lui faisait subir, et lui donnait envie de rajouter un simple «Do it» et d’autre mot nettement moins classe, pour lui faire comprendre que c’était finit l’hésitation, et que passé un moment il fallait un peu être un homme. De tout évidence elle n’avait pas de préservatif sur elle - ou aurait-elle pu les mettre - mais il y en avait en dehors de la pièce. Mais compte tenu de la flemme qu’elle avait pour aller les chercher, elle avait envie de dire Fuck. S’il était clean, elle devait avouer qu’elle était malheureusement clean. Bah quoi.. Refiler une MST à son paternel de substitution qui l’avait abandonné elle trouvait ça être une vengeance tout à fait adéquate. Mais de la même manière que toute presque nymphomane qui se respecte, prend la pilule pour éviter les bébés surprises, elle se protégeait 100 % du temps, et faisait extrêmement attention à toutes ses conneries là. Ses mains dérivèrent vers sa poitrine, et se pinçant les lèvres elle se dit qu’enfin le con prenait les choses en main... Et c’était le cas de le dire.

Deux secondes plus tard. "Tu imagines à quel point ce serait marrant si tu tombais enceinte de moi?" Oh putain. S’en était trop. Elle le repoussa sans aucune délicatesse et même avec une certaine violence et se releva. Note à elle même, ne jamais essayé de se taper un génie bourré, c’est étrangement plus con que n’importe quel homme. Parce que sérieusement quel homme penserait à tout ça lorsqu’il a une fille comme elle qui est qu’on se le dise légèrement vulgairement, chaude comme la braise ? A l’autre bout de la pièce elle s’énerva. «La pilule tu connais abrutit ? Et si c’est l’autre question qui te tracasse je suis clean aussi... Maintenant ose me redire que tu n’as pas peur d’être à la hauteur... Parce que tu as peut être un engin qui est encore capable de se lever, mais tu as l’air d’être putain d’impuissant.» Jo la délicatesse incarnée. D’une main agile elle fit tomber en deux secondes ce qui lui servait de robe, et de sous-vêtement, se retrouvant nue et daignant se rapprocher à nouveau de lui, proche, puis encore plus proche. «Maintenant si tu as finis de jouer au puceau qui se prend sa première cuite, tu peux peut être faire quelque chose avec ça...» lui dit-elle en lui remontant la tête d’un geste du doigt sous le menton. "Pas vrai, Iseult?" Ouh god... Il était à deux doigts du coma éthylique pour être aussi con que ça, ou comment ça se passait. Comment est-on sensé réagir lorsqu’on est nue - et consentante - devant son oncle- grand cousin ou père de substitution, qui vous appelle par le nom de sa cousine, votre mère, morte... ? Réponse A - Vous n’êtes pas supposer vous retrouver dans ce genre de situation. Réponse B - Vous lui coller une baffle mémorable et l’étrangler entre vos cuisses. Réponse C - Vous faites comme si de rien était, il est bourré et de toute façon... Rien vous ne dévoilez jamais vos plans. Réponse D - La réponse D. Jo restait là plantée nue trop proche de lui, à réfléchir un instant. La réponse A était très judicieuse, mais c’était un peu tard pour revenir à ce point là. La réponse B était alléchante. La réponse D tout autant. Et la réponse C... Encore fallait-il qu’elle est un plan et qu’elle s’y tienne. «Je vois que la nécrophagie incestueuse t’intéresse ! Charmant... Excellent sujet pour un film» Ok peut être que la réponse E était plus adapté à Jo... Elle tira sur sa chemise pour le forcé à se relever et se mettre à sa hauteur et jouant de ses mains sur son torse elle l’embrassa, lui retirant définitivement sa chemise. Elle ne sut pas si c’était lui qui fut à l’origine de leur perte d’équilibre ou elle, mais utile qu’elle se retrouva sur la banquette se cognant la tête contre le haut de la banquette, avec lui au dessus. «Si tu es encore capable de faire quelque chose c’est le moment et tu as intérêt à être bon... Sinon tu m’agaces et je vais cherché plus jeune et actuellement capable de satisfaire une femme.» souffla-t-elle à moitié désespérée... Elle aurait du partir bien plus tôt... mais il avait eu l’air tellement prometteur... Et puis l’envie de le chauffer à bloc avant de le laisser en plan lui avait parue très astucieuse... Mais comme à chaque fois en matière de sexe il lui manquait un neurone bien placé, et elle se retrouvait toujours dans des situations pathétiques...
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyLun 26 Aoû - 16:03

Elle est toute nue.

Je crois que j'ai du manquer un épisode ou deux parce que je ne sais pas quand est-ce que ça s'est produit. Une chose en est certaine, je ne suis pas du tout responsable de ce phénomène. Elle est toute nue et moi je n'ai plus de chemise. Okay... Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer ce qui se passe ou je vais devoir deviner tout seul comme un adulte responsable? La vérité je crois, c'est que je suis tombé sur un trop gros morceau et qu'au final, je ne devrais pas m'inquiéter pour Jo, je devrais m'inquiéter pour moi et de ce qu'elle a l'intention de faire. De me faire. Mais je suis partant, enfin je crois que je suis partant, c'est difficile à déterminer avec la tête qui tourne autant et une femme nue à porter de main. Je ne me rappelle même plus pourquoi est-ce que je suis rentré dans cette boite de strip tease à la base, pour trouver une distraction, pour boire? J'aurais tout aussi bien pu le faire dans mon grand et bel appartement, pourquoi les femmes en tenues légère? Pourquoi Jo? Les détails s'effacent et une certaine partie de mon anatomie ce manque complètement des détails mais même dans les pires moments de ma vie, j'ai toujours réfléchi avant d'agir... Ou alors je fais l'inverse? Merde, je ne me rappelle plus et... merde, pourquoi on tombe?

Je sentis le monde tanguer autour de moi et je revins quelque peu à la réalité en sentant sa peau contre la mienne. Et là tout de suite je me demande qui est-ce qui a le plus envie là tout de suite? Elle ou moi? Je pense sincèrement que c'est elle ce et si c'est bien le cas, ça veut dire qu'elle est encore plus mal en point que ce que je pensais. Je devrais écouter mes propres conseils et partir. Mais non, sa remarque était censé blesser mon égo de mâle et du mec bourré que j'étais et cela réussi à moitié, dès que j'aurais réussi à coordonner ce que je veux faire, ce que je ne dois pas faire et ce que je veux vraiment, tout ira pour le mieux. Bref on se concentre.  Elle était pratiquement en train de se jeter dans mes bras et je ne savais pas ce que j'attendais. "Je..." Ne pas parler, ça ira beaucoup mieux si je me tais, mais comme à mon habitude, j'en ai des choses à dire, beaucoup trop. Merde comment me faire taire. Oh je sais... Pris d'une soudaine pulsion, je lui embrassai la clavicule avant de descendre plus bas, beaucoup plus bas, oh un sein, superbe, en plus il a ramené son copain, c'est génial n'est-ce pas? Je décidai de me concentrer là dessus, enfin plutôt ma bouche, bref, pas la peine de vous faire un dessin, le message est plus que clair je trouve quand même... Mes mains dérivèrent sur ses cuisses et je les écartai, m'immisçant entre elle. Voilà, c'était quand même mieux comme ça, au moins plus personne ne risquait de tomber ainsi, quoi que, vu tous les verres que je me suis enfilé, j'en doute sérieusement. Bref, Jo à une poitrine géniale, si si je vous assure, rien à redire, je lui donne un A+ et un dix sur dix sans avoir besoin de repasser l'examen, mais j'avais mieux à faire, donc je me dirigeai un peu plus bas et pour une raison inconnue de l'humanité, je finis par apercevoir son nombril.

Un truc qui n'aurait pas dû m'arrêter parce que franchement, c'est juste un nombril, j'en ai vu des tas dans mon existence, pas de quoi s'exciter vraiment. Le seul problème dans toute cette histoire, c'est que je suis comme qui dirait bourré. Je veux dire, ça y est, là je le sens, je faisais le malin il y a de ça quelques minutes mais là, non, mon corps va finir par craquer parce que je l'ai poussé à ses limites. L'alcool ce n'est pas fait pour moi, je ne sais franchement pas à quoi je pensais. Pourtant, j'ai commencé plutôt tôt, je veux dire, combien de gamins peuvent dire qu'ils ont réussi à intégrer l'université à seulement 14 ans? Pas beaucoup, et bien entendu, à l'université, et surtout à Yale, peu importe ce que les gens peuvent vous dire, l'alcool coule toujours à flot. Donc on pourrait croire que vu que j'ai été initié très jeune, j'ai de l'expérience et un minimum de résistance? Non, je veux dire ce serait injuste d'ajouter "peut boire comme un trou" à mon CV qui est déjà super bien rempli et un petit peu beaucoup impressionnant. Non, laissons donc Harry galérer le lendemain et de se taper d'affreuse migraine qui pourrait lui faire louper ses examens, je veux dire, c'est tellement plus fun comme ça, pas vrai? Fun? Non pas vraiment, chiant au possible? Oui. Bref je suis là, entre les deux jambes de cette gamine et je me dis qu'il faut que je sois à la hauteur et qu'il faut que je lui donne ce qu'elle veut. Elle ne sera pas la première sur la liste et pas la dernière non plus alors autant en profiter et faire ce pourquoi je suis là. Sauf que là, le visage contre son ventre et tellement près de son nombril (oui les détails sont importants s'il vous plaît), mon cerveau décide de tout lâcher et il me dit merde, débrouille toi tout seul comme un grand.

Je veux dire Harry, je passe 80% du temps à t'aider, mais parfois il faut vraiment que tu arrêtes de faire des conneries. On ne dirait même pas que tu es intelligent, parfois, jte jure. Et merci pour la dose d'alcool, ça aide vraiment pas vraiment à me faire fonctionner correctement. Tu sais quoi? Va te faire foutre. Allez, au dodo, tu en profiteras un autre jour crétin.

C'est donc comme ça, ne pouvant évidemment pas gagner une bataille contre mon cerveau, que je me retrouvai à m'endormir là, sur le ventre de Jo. Pas de doute qu'on en parlera pendant des années mais bon, elle est plutôt confortable.
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MessageSujet: Re: This won't resolve your daddy's issues - Jo    This won't resolve your daddy's issues - Jo  EmptyDim 8 Sep - 14:51

Mais qu’est ce qui lui avait pris ? Sérieusement ? Comment avait-elle pu à ce point perdre le contrôle. S’oublier elle même ? Ne pas se poser cette question. Ne même pas essayer d’y répondre. La réponse, tu l’as connais. Tu l’as toujours connue. Cette réponse, elle te fait horreur. Cette réponse tu l’as déteste. Comme tu déteste avoir besoin de te poser cette question. Parce que jamais une personne normal ne devrait se retrouver dans ce genre de situation. Jamais une personne normal n’aurait besoin de se poser ce genre de question. Mais elle n’était pas normale. Terriblement pas normale. Et elle était toujours dans ce genre de situation. Elle se posait toujours cette question. Et elle connaissait toujours la réponse. Cette réponse qu’elle haïssait. La vérité. La réponse qui lui brûlait les lèvres, lui rongeait le coeur; c’est qu’elle était faible. Qu’elle était une petite amie, qui cherchait bêtement dans un plaisir vulgairement physique à retrouver un je ne sais quoi qui lui échappait toujours. Elle était une petite conne trop romantique, incapable de s’adonner à la romance, et qui s’attachait à faire ce qu’elle savait le mieux, faire ployer les déchets de la société, les idiots, les salauds. Elle avait beau savoir ce qui lui arriverait, l’état dans lequel elle se mettrait. Elle avait beau tout savoir, à chaque fois c’était la même chose. La même rengaine. Mais ses états de rage impuissante et grandissante, ses vides chimiques qui lui causait une dépression expresse était aussi puissant que ses états de grâce. Elle se plaisait écorchée vive, se donnait une allure de poète maudit pendant ses minutes de perdition, et repartait de plus belle sur sa lancée de la fille aux dix milles erreurs. Elle n’aimait pas retenir la leçon, parce qu’elle était la seule qui cherchait encore à s’éduquer. Personne ne l’avait fait, et aujourd’hui elle ne voyait pas l’intérêt de s’acharner sur la cause perdue qu’elle était. Elle n’en voyait tout bonnement pas l’intérêt.

Adossée contre le mur du club, elle rageait contre elle même. Son corps mal couvert par ses frusques ridiculement sexy qu’elle n’avait pas pris la peine de rajuster. Elle se fichait bien du regard que les gens pouvaient posés sur elle, à moitié ancré de désir, à moitié choqué par sa tenue. Elle porta fébrilement sa cigarette à ses lèvres, tirant violemment dessus comme si c’était la dernière chose au monde qui pouvait la calmer. Ce qui était ridicule. Il y avait longtemps que la cigarette n’avait plus qu’un effet de classe chez elle. Elle était passé depuis tellement longtemps à bien plus violent que le tabac simple n’était qu’un amuse gueule. M’enfin, amuse gueule pour amuse gueule elle avait franchement envie de se fendre la poire. Et à bien y repenser il y avait de quoi... Et si à cette seconde précise elle avait plutôt envie de briser toutes ses phalanges en cognant dans le mur, d’ici deux jours, dans les bras de Cody, elle en rigolerait surement. Après tous les déboires «amoureux» qu’elle avait eu, celui-ci était très certainement le rebondissant le plus stupide et le plus ridicule qu’elle n’est jamais connu.

Non parce qu’en principe elle n’aurait jamais du se retrouver nue dans cette foutue pièce. Son rôle était de se trémousser pas de s’effeuiller. Son rôle était d’exciter le client, pas de le draguer ouvertement, et avec une idée bien précise en tête. Son rôle était de savoir poser des limites, pas de toutes les brûler. Au moins elle avait eu la décence de faire éteindre la caméra... Sans quoi elle n’oserait probablement plus regarder ses patrons en face. Non parce qu’en principe ce genre de chose ça n’arrive qu’aux autres. A tout le monde, mais surtout pas à Jo... Parce qu’honnêtement mesdemoiselles, de femme à femme, en toute honnêteté, toute franchise, et en toute confidence, un homme c’est-il déjà endormi sur vous alors que vous vous apprêtiez à lui donner ce qui aurait été probablement la nuit de sa vie... Bon d’accord Jo ne comptait pas réellement lui faire passer la nuit de sa vie... Enfin en quelque sorte elle comptait que ça soit une nuit dont il se rappellerait toute sa nuit, malgré les effluves d’alcool qui lui entachait le cerveau, mais pas tout à fait pour la raison à laquelle vous penser... Mais si vous avez vaguement suivit le parcours de Jo, vous devez vous douter que Jo n’était pas doué pour maintenir ses plans à exécution. Surtout des plans ou ça impliquait d’être nue, à la merci des lèvres experte d’un mec qui aurait pu être son père - non que ça lui arrivait tous les quatre matins de se retrouver dans ce genre de situation, et de faire ce genre de plan... M’enfin, alors qu’elle avait finit par avoir ce qu’elle voulait, c’est à dire le pousser à la vouloir maintenant tout de suite pour pouvoir l’expulser en bonne et du forme, voilà que son l’emprise de ses baisers non seulement son cerveau avait commencer à oublier la partie ou elle devait l’expulser, mais en plus le con s’était endormi... La sur son ventre. Sans même prévenir. Presque les lèvres foutue sur son nombril. Et là vous vous imaginez bien que tout à dérapé.

Un instant, c’est le temps qu’il fallu à Jo pour se rendre compte de la stupidité de son supposé tuteur qui l’avait abandonné à l’orphelinat plutôt que de prendre son rôle de parrain aux sérieux - en même temps qui avait eu la conne d’idée de le foutre en parrain... Elle laissa tomber un instant sur le canapé, désespéré par le cas qui lui ronflait sur le ventre. Une seconde de plus et elle glissa ses deux mains sous les épaules d’Harry et d’un coup sec le dégagea d’elle sans aucune délicatesse. En même temps le mot même de délicatesse s’attachait assez peu à Jo, et là elle n’avait aucune envie de l’être. Etrangement elle ne le réveilla pas. Et ainsi elle jugea qu’elle pouvait donner un coup de plus. Elle se demanda si c’était possible de lui faire un noeud avec son engin, mais jugea que ce n’était pas encore assez ramolli. Il allait se la péter à s’endormir avec la tric... M’enfin ce n’était pas son problème. Mais n’ayant pas grand chose à porter de main pour l’emmerder, elle se contenta de le déshabiller complètement, de le mettre dans une position extrêmement inconfortable, et de l’asperger du reste de la bouteille de vodka. C’était puéril, stupide, et inconsidéré, mais tellement salvateur. Elle se rhabilla à la hate, et sortit de la pièce, avant de trouver un videur et de leur lancer d’un ton sec «Vous pouvez le jeter aux ordures.». La suite on la connait. Jo appuyé contre le mur à l’extérieur du club, fumant paisiblement sa clope, les nerfs en feu, incapable de se remémorer comment elle avait pu en arriver là, ce qui n’allait pas chez elle. Mais tout irait probablement mieux demain.
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