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 Quand une soeur retrouve la sienne.

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MessageSujet: Quand une soeur retrouve la sienne.   Quand une soeur retrouve la sienne. EmptyJeu 24 Avr - 22:51

Billie ∞ Siobhan
Ce n'est pas la peine d'être deux sœurs pour vivre éloignées l'une de l'autre.
Santa Monica, j'arrive... J'expire toute l'air que j'ai dans les poumons en un seul souffle avant de rentrer dans le bus. Je sens mon cœur qui commence à battre la chamade en pensant à ma destination, la maison de ma sœur. Cette qui ne me connaît pas encore et qui n'a certainement jamais entendu parler de moi. J'ai quitté ce matin l'appartement d'Astrae. C'est grâce à elle que j'ai pu retrouver la trace de ma sœur. Ça fait maintenant un mois que je vis avec elle et à mon grand étonnement, ça se passe plutôt bien. Astrae a toujours été la seule à faire son possible pour m'accepter. D'une manière, je savais que je pouvais compter sur elle. Assise, je tire sur mon collier, celui de ma mère. Je ne l'ai pas vue depuis que je suis partie de la maison et c'est tant mieux. Je ressens envers elle une rage qui est encore trop intense pour que je puisse me contrôler ou pire encore, lui pardonner. Oui je sais, je suis le genre d'ado qui est en rage contre sa mère plutôt banal non ? Mais j'ai mes raisons. Le mensonge ou plutôt sur le fait qu'elle est omit de m'avertir l'existence de mes deux vraies sœurs. Oh oui il faut dire qu'il est difficile de s'en souvenir lorsque nous abandons ses propres enfants... Je sens mes dents grincer sous la pression de ma colère. Mon père à cause d'elle est parti loin de moi et n'est jamais revenu après l'avoir chassé de la maison. Chasser la seule personne qui comptait réellement pour moi... Comment l'oublier ?

«ARRET POUT SANTA MONICA ! » Le bus freine d'une telle façon que j'ai faillis embrasser le dossier du fauteuil qui se trouve devant moi. Je décide de descendre après un long moment d'hésitation. Je cours vers la sortie et les portes se referment juste derrière moi. Je sais que je me trouve qu'à quelques rues de l'adresse que m'a écrite Astrae sur un bout de papier tout chiffonné. Je ne connais pas du tout cette et je sens que mon sens de l'orientation va être mis à l'épreuve. Après un temps que n'arrive qu'à compter en nombre de musique écoutée sur le trajet, c'est-à-dire une bonne dizaine, je suis devant la maison, ma destination. Billie. J'ai du mal à prononcer ce prénom qui arrive juste à effleurer mes lèvres. Ça me paraît toujours insensé que dans derrière ces mures ma réelle sœur. Mon cœur fait un bon dans ma poitrine et je sens la panique m'envahir. Et si elle m'aimait pas ? Et si elle s'en fichait complètement de savoir qu'elle a une sœur ? Des tonnes de questions m'envahissent l'esprit. Mais je n'ai pas plus peur, je veux trouver qu'une seule chose, la personne pour qui je compterais réellement. Je marche d'un presque déterminé vers la porte. Je vois son nom marqué sur la sonnette et je ne peux m'empêcher de sourire. J'appuie sur le petit bouton où mon doigt se pose de façon instinctive. Le ding-dong me fait reprendre mes esprits. «Et merde ! » Qu'est-ce que je fou ici ? Je vais lui dire quoi ? Hey salut, c'est moi ta soeur ! Tu ne te souviens pas de moi ? Oh c'est normal tu n'as certainement jamais entendu parlé de moi ! Je sens mon cerveau sonner l'alerte, je dois partir. Risque d'être déçu imminent, veuillez rebroussez votre chemin dès que possible. Mon cerveau est pour moi une sorte de GPS. Il m'aide à contrôle ce cœur qui bat la chamade dans ma poitrine. Lui a plus tendance à faire ce qu'il veut et me mettre dans de sacré pétrin.

Je commence à partir en direction du prochain bus, lorsque j'entends la porte s'ouvrir. Pris à mon propre piège. Si je ne me retourne pas tout de suite, je risque de le regretter toute ma vie. Je n'oserais jamais revenir... Je me retourne d'un seul coup et je me retrouve face à elle, enfin je suppose. Elle est belle. Blonde aux grands yeux marrons, elle ne me ressemble en rien, mais je reconnais des airs à papa. Je ne me suis pas trompée. «Euh... Salut ! » Je fais signe de la main l'air intimidé par ma position qui pourrait paraître louche. Je m'approche d'elle en ne sachant pas quoi lui dire. Sors quelque chose d'intelligent Siob, sors quelque chose d'intelligent ! «Je m'appelle Siobhan... Siobhan Ginsburg ! » J'attends de voir sa réaction. Mon cerveau essaye de décoder la moindre expression de son visage. Pour être sûre qu'elle comprenne bien qui je suis, je rajoute les deux les plus incroyables que je pouvais dire «Ta sœur. »
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MessageSujet: Re: Quand une soeur retrouve la sienne.   Quand une soeur retrouve la sienne. EmptyDim 4 Mai - 16:02

Billie ∞ Siobhan
Ce n'est pas la peine d'être deux sœurs pour vivre éloignées l'une de l'autre.
Début mai 2015,

Nouvel appartement, nouveau départ ? Ca sentait le neuf et les peintures fraiches. On lui avait dit que l’immeuble avait subit quelque dégâts, et quelques travaux, que maintenant il était comme neuf. Les pompiers étaient venus inspecté les appartements. Ils avait donné l’autorisation. Aussitôt sortie de l’hôpital, elle avait emménagée. Annibal avait fait comme chez lui, naturellement, il avait trouvé l’appartement, alors forcément. Ca rendait Billie boudeuse, mais elle faisait avec. Elle essayait de ne pas trop se plaindre. De toute façon elle n’avait pas tellement le choix. Enfin si, elle pourrait le foutre dehors, mais ce n’était pas son genre, et puis la plus part du temps, il ne la dérangeait pas. Elle avait juste décidé de faire dormir River dans sa chambre pour éviter de se payer un père à moitié à poil sur son canapé toute la sainte journée. Mais du coup, elle avait plus peur de réveiller River avec ses cauchemars. Ainsi souvent, après avoir travaillé jusqu’à pas d’heure sur la table de la salle à manger, elle s’endormait souvent elle même sur le canapé, avant de se réveiller quelques heures plus tard en hurlant. L’hôpital n’avait pas changé grand chose au fond. Elle n’avait pas l’air mieux. Elle en dormait pas mieux. Bien sûr elle mangeait un peu plus. Elle se forçait plus. On lui avait dit ce qui arriverait si elle ne faisait pas d’effort de ce côté là. Mais son sommeil ne s’améliorait pas. Et si avant elle avait le sentiment d’aller bien, ce dernier s’altérait considérablement depuis sa sortie de l’hôpital. Pour la première fois depuis des années on lui avait rabâchée qu’elle allait mal et qu’il fallait qu’elle se prendre en main, et si le faite qu’on l’est laissé sortir signifiait qu’elle allait mieux, l’empreinte des médecins commençaient à se faire dans sa tête. Elle ne se sentait pas mieux. Et si elle n’était pas mieux, et qu’avant elle était mal. Alors elle était toujours mal. C’était une logique implacable, une logique qui ne ressemblait pourtant à rien. Elle ne voulait pas être mal. Elle ne voulait même pas être mieux. Elle voulait ne pas avoir besoin d’aller mieux. Juste être bien. Naturellement. C’était aussi simple que ça. Le problème c’était qu’il n’y avait rien de simple à être juste bien. Enfin pas avec la vie qu’elle avait mené et qu’elle menait maintenant.

Mais le nouvel appartement était une bonne chose. Ca sentait le neuf et les peintures fraiches, ça donnait l’impression d’un nouveau départ. C’était encore plein de carton, et il n’y avait pas encore tous les meubles. Les assurances n’avaient pas encore verser l’argent pour rembourser les dégâts, et en dehors du stricte nécessaire, elle n’avait pas encore tout racheté. Même si Annibal avait mis la main à la poche, rien que pour son propre confort personnel bien évidement. Alors ce n’était pas beaucoup, mais c’était pas mal. River avait l’air de se plaire. Annibal avait l’air de se plaire. Ce qui n’était pas forcément une bonne chose. Alors elle suppose qu’elle se plaisait aussi, surement. Peut être.

Elle entendit sonner à l’interphone et fronça les sourcils. Qui pouvait bien sonner chez elle. Elle n’avait rien commander, et elle n’attendait personne. Elle fila à l’interphone et décrocha, et n’entendit rien. Une blague ? Pour vérifier elle regarda par la fenêtre et vu une petite tête hésiter devant la porte. Elle fronça d’autant plus les sourcils. La gamine n’avait pas du tout l’air d’être du genre à faire une farce. Elle prit ses clés et descendit rapidement avant d’ouvrir la porte de l’immeuble. La fille est de dos. Elle est pas si jeune que ça finalement. Mais clairement pas si vieille. Et elle ne se retourne pas. Peut être que c’est une erreur, elle a l’air de partir. Bon, elle ne va pas laisser River mille ans toute seule.

« Salut ! »

Ah, finalement, si. Elle s’arrête dans son mouvement, se retourne dans l’autre sens, et dévisage le minois qui lui fait face. Elle est mignonne, les cheveux plus noirs, qu’elle. Enfin. « Je m’appelle Siobhan… Siobhan Ginsburg. » Billie fronce les sourcils intensément. Ginsburg. Elle a déjà entendu ce nom. Il n’y a pas si longtemps. Qui lui a dit s’appeler Ginsburg. Annibal. Oui Annibal. Sa bouche s’ouvre doucement de surprise. « Ta soeur. » Son coeur a un raté. Elle observe la brunette. Elle est jolie. Elle a l’air timide. Il faudrait qu’elle réagisse, pour la mettre en confiance. Comment on réagit à une soeur sortie de nulle part ? Bon vas-y, premier réflexe, au hasard ! Elle fait un pas brusque et attrape la brunette qu’elle sert dans ses bras, peut être un peu maladroitement, peut être un peu fort. Mais c’était la première chose qui lui est passé par la tête. Elle se détache rapidement. « Salut ! » dit-elle en souriant. Elle ne sait pas si elle devrait se présenter. En même temps la fille à l’air de savoir qui elle est. « On peut monter ? Ca sera plus agréable qu’un hall d’immeuble, et j’ai laissé ma fille toute seule en haut… » dit-elle rapidement lui montrant l’escalier de l’immeuble. Elle finit par ce demander bêtement. « Comment tu m’as trouvé ? Je viens de déménager ! » Enfin il y avait quelques semaines, mais quand même, c’était court. Elle devait être sacrément bien renseignée. « Tu es la fille d’Annibal alors ? » Elle se rendit compte qu’elle ne savait même pas le nom de sa mère, et qu’au fond elle ne savait rien de sa famille si ce n’est qu’Annibal avait eu 6 filles, et que c’était un enfoiré.
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