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 et on crève les yeux rouges, de la coke plein le nez [PV]

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MessageSujet: et on crève les yeux rouges, de la coke plein le nez [PV]   et on crève les yeux rouges, de la coke plein le nez [PV] EmptyMer 11 Jan - 23:56

    C'est la paranoïa qui suinte par tous les pores du mur ; vive, intenable, acide. Les enfants de l’ecstasy ne sont plus en sûreté, finie l’impression de ne faire qu’un. On est des malades mentaux distincts, brûlant de quitter cette atmosphère empoisonnée pour retrouver un lit chaud et un thérapeute sympa. La réalité est en marche... Où suis-je ? Qu’ai-je fais ? Est-ce que ça valait le coup ? Et à propos, que s’est-il passé ici ? Tu n’as plus qu’à espérer sombrer dans l’inconscience, car tu ne pourras pas dormir.... Et là, nous tous, enfants de la génération chimique, on vous dit : allez-vous faire mettre. Vous savez où vous pouvez vous la foutre votre putain de sensation de bienêtre allumée à la coke ? Elle n'existe pas. Oui je suis trash, cru et violent, je n'ai même pas assez de diplomatie et de sens du respect coulant dans mes veines pour vous desservir mes pensées avec un peu plus de retenue et de courtoise ; ce soir, ce qui coule dans mon sang de mec horripilant, c'est les restes de ces substances hallucinogènes qui provoquent en moi un manque et qui m'allument le cerveau à la paranoïa. Tiens, on y revient. Je suis juste un junkie invétéré de ces demoiselles qui hait son monde plus qu'un fêtard à la gueule de bois exècre un verre de vodka au réveil. En face de moi, ce blond gringalet au rire nerveux mais au comportement louche ne cesse de faire tourner sa pilule pastel entre ces doigts ; lui dans le jargon des dealers, constitue ce qu'on appelle la clientèle "strass" : le genre de gars qui vous achète quelques grammes pour se donner une sorte de prestige auprès des amis, mais qui peine à rouler sa feuille pour en respirer la poudre. Autour de moi, d'autres personnes, d'autres visages, dans ce bar miteux. Je ne me cache pas derrière de grands paravents pour respirer la poudre blanche que je viens de tracer à la black card. J'inspire sèchement tandis que la paille de papier suit le sillage de la trainée fine qui va me conduire tout droit au paradis. Je me relève, renifle quelque peu tandis que ma main vient frôler mon nez d'un réflexe bref ; c'est le signe de ralliement de tous les toxicomanes en manque ou repus.

    Je m'avance vers le bar et je sens la brume assaillir mon cerveau qui me fait comprendre que la coke commence à faire son effet. Les couleurs se mélangent, la musique sourde se contorsionne sous le rire trop aiguë de ces pimbêches, mais moi, junkie invétéré, parvient par le biais de mon expérience gargantuesque en matière de substances hallucinogènes à contrôler encore un tant soit peu mon corps et mon esprit. J'aime ce mot, "gargantuesque", on a que peu l'opportunité de le placer dans une conversation. Mais soit, en l'instant c'est le mot martini qui prime dans mon esprit comme enfin, je m'approche du bar. Je tape ma main sur le comptoir, appelle le barman et lui commande un furtini ; ce n'est pas tant que je n'ai plus envie de mon alcool blanc au profit d'un cocktail au champagne, mais c'est tout ce que mon cerveau allumé au shit, à la coke et au veuve-cliquot parvient à me faire déblatérer. Dans mon attente patiente, je me tourne brièvement et aperçois au loin une silhouette, que j’aurais pu distinguer parmi mille autres, rentrer dans les toilettes féminines. Et je ne rêve que de me la taper contre les parois froides des murs carrelés d'un lieu public en échange de quelques pilules.

    Je pose ma coupe à moitié vide sur le comptoir et décide de me diriger vers les toilettes ; pour pouvoir me taper Candice mais aussi car la coke me donne cette impression de chaleur me laissant suffoquant, quand en vérité mes poumons fonctionnent tout à fait normalement et qu'ils sont parfaitement rassasiés en oxygène, mais ça mon esprit de junkie embrumé l'ignore. Je passe donc la porte et mon regard noisette se pose Candice.

    REAVER – « J'ai eu beau chercher partout, je n'ai pas trouvé de meilleur cadeau à t'offrir que celui-ci. »

    Lentement, je sortis une petite pochette remplie de cachets, ceux que je fournissais depuis de trop nombreux fois à Candice, dont elle avait tant besoin. Je déposai le sachet dans la main de Candice sans la quitter des yeux, lui adressant un regard à la fois doux et sombre, impossible à déchiffrer.
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MessageSujet: Re: et on crève les yeux rouges, de la coke plein le nez [PV]   et on crève les yeux rouges, de la coke plein le nez [PV] EmptyLun 13 Fév - 19:48

    Je ne savais plus comment je m’étais retrouvé ici, ni combien de personne différente j’avais salué, mes souvenirs s’était embrouillé après le premier raille, mais je ne planais celons moi pas encore assez et je m’étais donc rapidement enfermé avec quelques drogués rencontrés là dans une pièce, nous avions transformé cette pièce sombre en un immense aquarium ou il se faisait presque impossible de respiré tant l’air été saturée par la fumée d’au moins cinq joint consumés en l’espace de quelques minutes. Je me décidais à les quitter, ne parvenant plus à trouvé mon oxygène je m’étais précipitée vers la porte en toussotant, souhaitant rejoindre le monde qui m’était apparu flou une fois que la porte fus ouverte. J’avais regardé autour de moi en plissant les yeux, avançant avec difficultés car mes pieds s’emmêlaient entre eux, de certes très beau et très cher escarpins louboutins mais encore fallait il être en état de marché avec. J’avais délaissé mon allure de grande dame, me frayant mon passage au milieu des gens ivres, ou drogués, parce qu’ici il était inutile de cherché la sobriété après minuit passé. Je déambulais comme un cadavre, fuyant les regards que je sentais me déshabillé parce que honnêtement j’avais beau être drogué, il n’y avait guère qu’un homme à qui je laissais me faire tout sorte de chose plus folle les unes que les autres. Je croisais quelques amies, elles aussi planaient et c’est en voyant a quel point elles semblaient plus loin que moi que j’attrapais le verre d’une d’entre elle, j’essayais de deviner à l’odeur ce que cela pourrait être mais mon cerveau vrillé bien trop pour que je puisse discerner les diverses senteur, une seule alternative, je le vide, grimaçant légèrement en sentant l’alcool me bruler la gorge avant de venir agressé mon estomac encore vide, vide depuis près de deux jours, parce que c’est ça quand vous vous droguez, vous en oubliez même jusqu’à la nourriture, mon repas du matin, un joint, à midi, un joint, à quatre heures un rail et le soir venue quelques pilules colorés que j’adorais appelé smarties. Je perds quelques secondes l’équilibre, mais mon élégance naturel me permet de passé inaperçu, mon maquillage est encore impeccable au contraire de celles qui m’entoures mais je les suis tout de même jusqu’au toilette, dégageant les quelques imbéciles qui même après toutes les plus belles formules de politesse refuse de se poussée. J’atterris devant le miroir et je fixe mon visage dans la glace, je suis un peu pâle, certainement plus de drogue dans les veines que ce que mon corps ne peu supporté mais ça ne m’empêchera guère de continuer. Je les écoutes sans sourciller se plaindre de leurs kilos en trop, de leurs ongles cassés, des hommes avec qui elles ont couchés mais leurs flots de parole m’ennuie au point que j’en viens à espéré qu’une météorite viennent nous écrasés. Il fait chaud, trop chaud et même mes mains sous l’eau glacé n’y change rien, je me regarde et je vois dans mes prunelles que je sombre peu à peu, encore plus loin, mais je n’ai pas envie de changer quelque chose, ni même que cela s’arrête. Je me fais un peu de vent à l’aide de ma main, je les regarde en m’appuyant contre le lavabo n’écoutant même plus ce qu’elles disent, j’espère vainement que quelqu’un, peu importe qui d’ailleurs, viendra me sortir de là, et que je passerais enfin une bonne soirée, qui valle le coup que je m’en souvienne.

    REAVER – « J'ai eu beau chercher partout, je n'ai pas trouvé de meilleur cadeau à t'offrir que celui-ci. »

    Dieu existe, c’est la seule pensée qui me traverse l’esprit, je me retourne sachant déjà que je ferais face à Reaver, parce-que, qu’on se l’avoue ou non j’ai probablement passé plus de soirée avec lui ces dernières semaines qu’avec ces filles qui se tiennent à côtés de moi. D’ailleurs c’est légitime, avec lui, je m’amuse, a en perdre la raison, a ces côtés je me sens en vie, mes jambes trembles d’adrénaline, mon cœur brule sous ses caresses et la passion qu’il met dans chacun de ses gestes lorsqu’il me touche à pour don de me faire vibré. Vibration que je n’avais plus ressentie depuis qu’Ezio est sorti de ma vie. Mes yeux se dirigent vers son pantalon, j’attends de voir ce dont il me parle et un sourire s’affiche nettement sur mes lèvres lorsque je discerne ce petit sachet, je lâche spontanément

    « -Des Smarties ! » je m’approche de lui, lentement, reportant mon regard dans le sien, et je glisse ma main jusqu’à la sienne me saisissant du sac sans même quitter ses prunelles, je le glisse habillement dans mon soutient gorge « - je crois qu’il va falloir que je trouve un moyen de te remercier » je laisse mes doigts courir sur son torse, un sourire en coin, annonçant déjà la bonne fin de soirée qui se profile dans ma tête « - j’ai bien quelques petites idées là qui me viennent en tête mais… je sais pas.. Peut-être que je me méprends sur tes envies ? »

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MessageSujet: Re: et on crève les yeux rouges, de la coke plein le nez [PV]   et on crève les yeux rouges, de la coke plein le nez [PV] EmptyDim 26 Fév - 23:53

    Je la vois, chancelante et au bord de l'apoplexie, elle m'horripile et me fascine à la fois, et ça m'exaspère. Car de toutes celles que j'ai côtoyées, draguées, sautées, approchées, charmées, il n'y en ait pas une seule qui a cette même attitude vaporeuse, ce même regard et ce même sourire qui se jouent sur des vers d'Apollinaire. Elle est là, noyée dans sa propre débauche, faible et inconsciente à la fois, elle brille par sa faculté à être unique, parce qu'elle a un truc en plus, ce truc qui n'a même pas de mots, et c'est cela aussi, qui m'horripile. Car moi, j'ai toujours été au-dessus des autres, il a toujours fallu que je me fasse remarquer, que l'on braque les yeux sur moi, qu'on me craigne, m'envie, me respecte, j'ai toujours eu ce truc en plus impalpable et si agaçant, et la voir sur mon même piédestal me fout presque la nausée : aurais-je cultivé mon je-m'en-foutisme corrompu et mon côté salaud pervers pour rien ? Et cette fragilité qui émane d'elle, qu'elle tente d'abattre par sa fatalité à ne pouvoir être une autre personne ; je sens que quelque part elle veut s'en sortir, mais le refuse encore car elle sait que sans cette décadence, malgré tout, elle serait malheureuse. Voilà pourquoi chaque fois que je croise sa route je l’entraine toujours plus loin mais la laissant sur rebord avant de tourner les talons : libre à elle de se laisser couler une fois que j'ai le dos tourné, je sais qu'elle se sent paradoxalement libérée avec cette eau emplissant ses poumons. Je n'ai jamais vu personne se complaire avec autant de prestance dans son automutilation : là où beaucoup se retrouvent pathétiques à se vautrer dans leur mélodramatique narcissique, elle a cette faculté de rendre cette attitude glauque diablement belle. Et bien sûr, qu'elle est divine, malgré la maigreur de son corps frêle faisant saillir ses hanches, cette maigreur qui habituellement ne m'excite pas, mais en l'instant, et en tous temps en vérité, elle m'a toujours mis hors de moi. Peut-être est-ce aussi pour cela, qu'elle est diablement fascinante ; on ne peut pas la garder en cage... Elle ne peut être mienne et je n’ai que les smarties comme elle l’ai appelle pour qu’elle soit mienne. Ses doigts glissant sous mon torse je ne la quitte plus de mon regard luisant d'une lueur perverse. Quand bien même je sais que ce qui la pousse à agir comme cela, ce n'est pas moi mais la coke ou la drogue qui nage dans ses veines de petite princesse junkie, qu'en sais-je. Moi ou un autre, elle se serait tout autant jeté dessus, je le sais mais m'en vexe pas pour autant, car sans vraiment la côtoyer, je la connais un tant soit peu puisque je sais quelles sont les conséquences néfastes de la décadence qui vous happe dans son tourbillon sans fin. On agit selon notre bon plaisir, on ne calcule pas ses gestes, prisonniers de notre propre désir enflammé, on se lance corps et âme tout en sachant que l'on va se brûler les ailes, et on se contorsionne dans nos propres flammes. Ça nous purifie autant que ça nous fait mal, mais on continue tout de même... Comme si on avait le choix, de toute façon. Elle sait comment faire pour avoir toujours plus de smarties, tel un loup sur son appât. Je profite d’elle, elle qui est allumée à l'ecsta sous l'euphorie du moment et la baiser, elle, cette fille divine dans les chiottes ce n'est pas cela qui va me filer mauvaise conscience. Et je dépose sur son coup un baiser à mon amante éphémère, celle qui va passer la nuit avec moi. Elle sera mienne ce soir, ici dans ces murs froids de ces chiottes crasseuses. Je me redresse avant de caler une cigarette au coin de mes lèvres, la toisant d’un regard provocateur et lui balance un briquet à la tôle d'argent.

    REAVER – « Tu m’allumes ? »
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