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 Comme si c'était pas aussi compliqué.

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MessageSujet: Comme si c'était pas aussi compliqué.   Comme si c'était pas aussi compliqué. EmptyMer 28 Déc - 20:05

Les courses sérieusement ? J’ai trop pas envie… En fait je regarde ma porte de chambre depuis vingt minutes, j’ai presque envie de feindre des douleurs.. Enfin douleurs plus importante, parce que je ne risque pas de prétendre que je suis coincé dans un fauteuil de merde. Elle va débarquer, elle va me dire debout là dedans et je vais râler. A croire que notre vie se résume à ça. Moi râler, elle me bouger le cul. Pourtant j’apprécie tout ce qu’elle fait pour moi. Je ne suis juste pas très doué pour l’exprimer. Mais je n’ai pas hésité quand j’ai su qu’elle se retrouvait dans la merde. Je m’en fous que ce con l’ait lâché, moi jlacherais pas. Pas Tanyah. Parce qu’elle n’a jamais lâché, et ce même quand j’étais vraiment insupportable. Je regarde le bout du lit et me lève. Enfin, façon de parler, je me tourne et pose mes jambes au sol, toujours assis sr le lit. Je frotte mes jambes, la douleur est là, elle m’attend et ‘ai qu’une envie, atteindre la fenêtre. Honnêtement, je n’ai pas cessé de vouloir en finir, j’ai juste eu moins d’occasion. Bien sur, pas des choses que j’avouerais, Tanyah finirait par ne plus sortir nulle part sans moi. En parlant du loup elle arrive vers moi. Elle est enceinte jusqu’au cou, et je la trouve sublime. Elle devrait me laisser avec une infirmière, c’est éprouvant de s’occuper de moi, bien pus fatiguant que d’habitude. Elle sourit et moi idiot, je continue de faire la tronche. « J’ai aucune envie d’y aller à ton fichu centre commercial.. » J’ai tout du gosse de trois ans tiens. Je m’approche d’elle et finit par m’assoir dans mon fauteuil. Je ne tiens pas debout longtemps de toute façon. Parfois, elle me tient et on arrive à faire un « calin » correct. Sauf que j’ai presque l’impression qu’elle fait tout. Là elle peut plus, ya un sacré espace entre nous avec le bide. Je me suis jamais vu père. Encore moins aujourd’hui. J’ai parfois peut qu’elle espère trop en moi.. Qu’elle s’imagine que je suis près à beaucoup et qu’en réalité j’échoue misérablement. « Te baisse pas, pas grave. » Pas envie qu’elle se fasse mal au dos parce que je suis un putin d’infirme de merde. Je m’approche, je me sens pathétique de croire qu’on peut sortir ensemble. Je ne supporte pas ma vie, ma condition, je ne serais qu’un boulet pour elle, rien de plus. On finit par se préparer et je m’habille seul. Je vous rassure, on m’aide certes, mais c’est plus pour que ca mette moins de deux heures – et encore – mais je suis capable – presque – de m’habiller par mes propres moyens. « T’as pas vu ma chemise blanche ? » Elle arrive avec dans sa main et me le tends. Je la balance, c’était une ruse, je me met sur le lit et la récupère dessus. Bouger le mini baleineau ce n’est pas facile, mais avec de l’entrainement – et des muscles efficaces dans les bras – on y arrive. Je l’entraine contre moi et commence à l’embrasser. Vous pensez que si je suis douée on restera ici ? « Ca marche pas hein ? » Perdu, on va toujours là bas. Je retourne dans mon fauteuil et je laisse la miss m’aider à me mettre correctement. On va dans la voiture et bien vite on se retrouve assis devant. On roule vers le centre co et moi je râle tout le chemin. Pire que les gamins en fait. On me sort de la voiture, une fois dans le fauteuil on s’aventure vers le centre. Direct rayon pizza pour ma part. Elle je ne sais pas, mais tant que j’ai mes pizzas.

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MessageSujet: Re: Comme si c'était pas aussi compliqué.   Comme si c'était pas aussi compliqué. EmptyMar 3 Jan - 12:29

« J’ai aucune envie d’y aller à ton fichu centre commercial ... » Je venais d'entrer dans la chambre. Comme d'habitude, il râlait. J'ai levé les yeux au ciel. Moi, enceinte jusqu'aux yeux, il fallait bien que je le bouge le m'sieur. En fait, ça faisait des années que je le supportait. Ce gosse n'était pas de lui, mais dans mon esprit, c'était tout comme. Je ne sais pas comment je n'avais pas pu voir tout ça avant. En fait, Jeremy, il avait toujours été là pour moi et inversement. Je ne sais pas vraiment ce que je ferai sans lui. Je l'avais prévenu hier qu'il fallait aller faire des courses. J'avais besoin d'acheter deux ou trois trucs et il était hors de question qu'il reste ici tout seul. « Je sais ... Et c'est précisément pour ça que tu vas venir avec moi monsieur le ronchon. » lançais-je avec un petit sourire. Faut bien avouer que plaisanter n'était pas vraiment son fort. Toujours en train de râler celui-là. Mais peut-être était-ce pour ça que j'étais tombée amoureuse de lui en fait. Je n'en sais rien. Je ne sais même pas si tout cela va durer. Je ressemble à un ballon de baudruche et j'ai un caractère de merde ces derniers temps. Les hormones, tu parles. Fallait que j'assure pour deux, enfin trois. Je n'avais pas le droit à l'erreur. Et puis, j'avais besoin de lui alors il viendrait avec moi, quitte à l'entendre râler tout le temps. Je fis quelques pas et il s'assit dans son fauteuil. « Te baisse pas, pas grave. » J'aime pas quand il me dit ça. J'aime pas quand il me parle comme ça. J'aime pas, c'est clair et net. Rien à foutre. Je me penche vers lui et dépose un baiser sur son front, puis j'attrape ses lèvres avant de quitter la pièce. Au moins, je sais qu'il est réveillé, même s'il râlera toute la journée. Il part se préparer, moi, je fais du café. J'ai eu le temps d'en avaler une tasse quand il m’interpelle. « T’as pas vu ma chemise blanche ? » Je lève les yeux au ciel. Sa chemise blanche. Je l'avais repassée ce matin et l'avait déposée sur le dossier de la chaise. Je l'attrape, la lui amène. Je savais déjà ce qu'il allait faire, il est bien trop prévisible. Cependant, je ne rechigne pas et me laisse faire. On reste un petit moment sur le lit, à s'embrasser. C'est si étrange. Qu'est-ce qu'on fait ensemble ? C'est con mais je n'arrive pas à me défaire de son visage, la première fois où on s'est rencontrés. Un petit sourire en coin s'installe sur mon visage alors que je passe ma main dans ses cheveux. « Ça marche pas hein ? » Je secoue la tête. « Et non ... Mais c'était bien tenté. » Je lui vole un baiser, me redresse et file dans la cuisine me boire une nouvelle tasse de café. Ben quoi ? C'est ma drogue et alors ? Ce n'est pas parce que je suis enceinte que je n'ai pas le droit de boire du café.

On se retrouve bientôt au centre commercial. Je n'ai pas grand chose à acheter juste le nécessaire. Lui, c'est direction pizzas. Je souris, toujours pareille. Je vais chercher deux ou trois trucs et le retrouve devant les pizzas. Il n'a même pas bougé. Intéressant. « Rassure-moi, tu ne comptes pas dévaliser le rayon ? » lançais-je, histoire de faire de l'humour, même si j'étais consciente que ça n'aurait probablement pas l'effet escompté. Ressembler à un ballon de baudruche m'a fait perdre tout mon humour, c'est dégueulasse. J'arrive même plus à sortir une vanne correcte. Faut vraiment que je mette ce gamin au monde, sinon je suis foutue. Je passe une main sur mon ventre. J'arrive toujours pas à croire ce qu'il m'arrive. C'est bizarre. Faudrait que j'appelle mes pères, ça fait trois jours que j'ai pas appelé. Ils vont péter un plomb. Faudrait que j'aille les voir aussi, pour qu'ils voient à quel point j'ai changé et que j'ai peur. Quoi ? Je ne vous l'avais pas dit ? Ouai, je flippe à mort. Tout ça à cause de l'autre abruti. Lui, si je le croise, il crève. Bref. Je tourne la tête brusquement. Derrière moi, j'entends des cris. C'est quoi ce bordel encore ? Je me met sur la pointe des pieds. Mais qu'est-ce qu'il se passe ici ? « Jerem', on bouge, je ne le sens pas. » avouais-je. Je n'ai même pas attendu qu'il me dise quoi que ce soit que déjà j'avançais. C'était comme un automatise, une envie de me tirer d'ici au plus vite. Mais je ne sais pas pourquoi, j'avançais vers les hurlements. Et puis là, j'ai compris. Je les ai vu et je suis restée bloquée là, sans pouvoir bouger. Décidément, Jeremy avait eu raison. Jamais on aurait dû venir ici. C'était une connerie monumentale. Faudra que je pense à lui présenter mes excuses si jamais on sort de là en vie. Ouai, je suis désolée, j'aurais pas dû insister. Putain si j'avais su ...

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MessageSujet: Re: Comme si c'était pas aussi compliqué.   Comme si c'était pas aussi compliqué. EmptyMer 11 Jan - 0:25

Ronchon ? Moi ? Même pas vrai d’abord ! Je la regarde avec un air…ronchon. Oui je râle, mais tentez de vivre comme ça et vous verrez ya de quoi râler. J’ai juste envie d’en finir, alors râler est un moindre mal. Toute façon, cette fille me rend dingue. A peine elle me regarde que je n’ai qu’une envie, l’embrasser, la couvrir de baiser et tour ce qui s’ensuit. Là encore, ça reste des ébats limités, elle finira par aller chercher ailleurs, je le sais. Qui voudrait un handicapé sur du long terme ? Elle fait la tronche parce que je ne veux pas qu’elle se baisse. Pourtant c’est normal, elle a de plus en plus de mal à le faire en plus ! Quand je cherche ma chemise c’est elle qui râle et qui lève les yeux au ciel. Les baisers, les tentatives de corruption finissent par un échec. J’aurais essayé ! Elle prend son café et on s’en va. Bien vite on est là bas et bien vite j’atterris devant les pizzas. Elle me regarde bizarrement et me demande si je compte dévaliser le rayon. « J’y songeais mais j’ai déjà du mal à en porter deux des pizzas… T’as pris quoi ? »Tout à coup elle tremble comme une feuille. Elle me dit on bouge, j’obtempère mais bientôt tout part en vrille. Des types tirent, des types nous font nous réunir au centre. Jvais pas aussi vite que les autres le type tire. N’ayant pas toutes mes sensations je me rends compte de rien. On avance et quand ils partent je regarde mo ventre. Marrant la tache de sang n’y était pas.

Je passe ma main dessus et commence à comprendre. Je doute qu’ils aient volontairement tiré dans mon sens mais le résultat est le même. Je me tourne vers Tanyah. « Bébé jcrois que ya un souci là… » Je sens que ça le fait pas. Je descends de mon fauteuil, avec difficulté et me met contre une caisse. Je la regarde, je fais un de ces sourires qui veut tout dire. Genre le regard débile que j’ai souvent. On n’était pas dans la merde, il a fallu que j’en rajoute. Des gens s’affairent de partout et je sens que je commence à le sentir au final. Parce que je ne suis pas non plus insensibilisé. « Hey t’inquiète pas hein. T’appelle juste une ambulance. J’ai vu pire. » Je me rappelle encore ce jour là. Me trainant vers ma soeur pour voir si elle allait bien. Le sang, la douleur, puis plus grand-chose, le trou noir. Toutes ces années d’emmerdes, de perte d’espoir. Si Tany n’avait pas été on soutien, je serais plus là. Et pourtant j’ai plusieurs fois tenté d’en finir. Jamais réussi a priori. « Je t’aime tu le sais hein ? » Ca y’et je parle comme un gars que va crever… je n’ai pas grand-chose. A part une sacré tache qui grossit.. Si je vous dis que j’aimerais bien..Que ce soit plus grave que ça ?


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MessageSujet: Re: Comme si c'était pas aussi compliqué.   Comme si c'était pas aussi compliqué. EmptySam 21 Jan - 23:50

« J’y songeais mais j’ai déjà du mal à en porter deux des pizzas… T’as pris quoi ? » Je n'ai même pas eu le temps de répondre quoi que ce soit. C'était tout simplement dingue. Je ne comprenais même pas ce qu'il se passait. Tout ce que je savais, c'est qu'il fallait qu'on dégage d'ici le plus vite possible. Instinct de survie. Envie de ne pas perdre tout ce que j'avais vécu, envie de rester en vie, envie de garder tout ce que la vie m'offrait : Jeremy et mon enfant, qui grandissait petit à petit en moi. J'ignore totalement tout ce qu'il pouvait se passer et pourtant, j'ai avancé tout droit sans même avoir besoin de réfléchir à la direction à prendre. Le pire dans tout ça, c'est que quand j'ai compris, je n'ai même pas cherché plus loin. Je me suis arrêté là et j'ai regardé. J'ai observé la scène, je n'ai pas bouger, pas bronché, rien. Je ne sais même pas comment j'ai pu rester aussi calme. Passive, absente, je restais là. Je me demande bien ce qui m'a pris de ne pas partir vers le fond du supermarché, d'entraîner Jeremy avec moi pour que nous soyons à l’abri. Sur ce coup là, je dois bien avouer que j'avais été d'une connerie monstrueuse et que je ne me pardonnerais probablement jamais ce que je venais de faire. Les coups de feu fusaient et moi je restais debout à regarder. Je suis pathétique, je le sais. Ma main vient se poser automatiquement sur mon ventre. Autour de moi, c'est la panique générale, je le sens. Quelqu'un me bouscule et m'attire vers le sol. Ce geste avait pour but de me protéger. L'homme responsable de ma chute non douloureuse se relève, me demande si ça va. J’acquiesce et il reprend sa course folle. Je me recroqueville sur moi-même. J'ai peur, j'ai extrêmement peur et je suis totalement impuissante face à la situation.

Dans toute cette panique, je n'avais même pas fait attention à Jeremy. Honte à moi. Je ne savais même pas où il était, dans quel état il se trouvait. Et tout d'un coup, ma peur se fit encore plus intense. Je me relève prudemment, tout d'abord en position assise. Je ne sais pas vraiment où je me trouve en réalité. Je tourna la tête à droite, puis à gauche. Et c'est là que je remarque qu'il est tout près de moi. « Bébé jcrois que ya un souci là… » Quoi ? Que s'est-il passé ? J'avais bien remarqué qu'il y avait un soucis, je ne suis pas aveugle. Des types qui débarquent dans un centre commercial et qui tirent au hasard sur tout ce qui bouge, ça ce n'est vraiment pas normal. Il se lève et je comprend instantanément. La tâche rouge sur son ventre, ça, ce n'est vraiment pas normal. Je me relève d'un bond, enfin surtout comme je peux, et me rapproche de lui. Mon regard se porte sur son ventre. Et merde pourquoi faut-il que cela tombe toujours sur nous ? « Jerem' tu ... Je ... » Ça y est, je panique. Je ne comprends pas. J'ai peur. Mon coeur bat à cent à l'heure et ma respiration se fait haletante. Moi, je n'ai rien. Et ça, pour moi, ce n'est vraiment pas normal. Ce sourire béat qu'il affiche me file la chair de poule. Je n'aime pas quand il affiche cette expression et aujourd'hui, en cet instant présent, j'aime encore moins ça. « Hey t’inquiète pas hein. T’appelle juste une ambulance. J’ai vu pire. » Que je ne m'inquiète pas ?! Mais c'est qu'en plus il se fout de ma gueule celui-là ! Je passe une main tremblante sur mon visage. J'ai le teint pâle, je le sens, et je commence à avoir envie de vomir. Au final, si on en est arrivés là, c'est de ma faute. Si je l'avais laissé faire et qu'on était restés sur le lit à se câliner, rien de tout ça ne serait arrivé. « T'es marrant toi ! » lançais-je. Là, maintenant, tout de suite, j'étais en colère. Oh non, pas contre lui. J'étais en colère contre moi-même et je ne savais pas comment arrêter ce sentiment de culpabilité qui m'envahissait. J'ai attrapé mon téléphone et j'ai appelé les urgences. Le type au bout du fil devait me prendre pour une cinglée. J'avais du mal à être cohérente et les cris des gens apeurés autour de moi me rendaient dingue. J'ai fini par me faire comprendre. J'ai bien entendu évoqué le fait que Jeremy ne serait pas le seul. Ils allaient arrivé. Enfin, ça, c'était ce que le type du téléphone me disait. « Je t’aime tu le sais hein ? » me dit-il lorsque j'ai raccroché et que je me suis retrouvée tout près de lui. Ça, ce n'était vraiment pas un truc à me dire. Alors j'ai pris son visage entre mes mains, le forçant à me regarder. « Arrête tu veux ? Moi aussi je t'aime mais là n'est pas la question. Ça va aller hein ? Tu as vu pire, c'est toi-même qui me l'a dit. Tout ce que je te demande, c'est de ne pas m'abandonner parce que j'ai terriblement besoin de toi et que si jamais tu devais me laisser, je ne survivrais pas tu piges ? » Je refusais catégoriquement de le laisser me dire une chose pareille parce que je savais ce qu'il pensait au fond. Et ça, je ne pouvais pas l'accepter. J'ignore d'où ces paroles sont sorties mais tout ce que je sais c'est qu'elles faisaient un bien fou à balancer à haute voix. Je l'ai embrassé, parce que j'en avais terriblement envie et surtout besoin. Je n'y peux rien si je l'aime. Je n'y peux rien si j'ai besoin de lui. Tout ce que je sais, c'est qu'on sortira d'ici vivant et que je trainerais cette catastrophe sur mes épaules toute ma vie.

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