Sujet: Life is only trouble ✚ Max Lun 18 Mar - 17:54
“ Life is only trouble „
Maxmilian Petrovich & Jackson E. Monroe
Comment réagissez vous lorsqu'on vous dit que vous aller être père ? Enfin que vous avez mis une fille en cloque. Une fille canon certes, mais qui ne ressemble à rien, et avec qui vous n'avez pas franchement d'autre atome crochu que le sexuelle. Une fille canon qui ne ressemble à rien et qui a bien essayé de vous étrangler. Comment réagissez vous lorsqu'on vous dit que d'ici quelques mois, vous n'avez pas suivit vos cours de biologie, neuf mois pour vous ça ne veut rien dire, un bébé naîtrait avec vos traits, en partie, votre caractère, pour le pire ? On suppose que dans ces cas là il n'y a pas de bonne manière de réagir. On ne parle pas d'un couple heureux, qui rêve d'avoir un enfant depuis des années, qui a essayé, essayé, encore. On ne parle pas d'un pauvre mari à deux francs, qui a retourné sa femme dans tous les sens pendant plusieurs mois pour parvenir à semer sa petite graine. On ne parle pas d'étoile dans les yeux, ni même d'encadrement dans l'entrée du test de grossesse. On parle d'un rien du tout, d'un plan cul retrouvé il y a peu. D'un looser, et d'une malade mentale. On parle d'une tragédie, d'un préservatif qui à péter au mauvais moment, d'une abrutie qui avait oublié de prendre la pilule. On parle d'un truc qui va gâcher des vies, et qui n'a aucune chance d'avoir une vie correct. Si Jackson avait pu avoir le dernier mot, il n'y aurait pas de gamin, avorté, disparu vite fait dans les décembre de souvenir houleux et stupide. Il ne faut pas déconné. A ce point ce n'est même pas un crime contre le nouveau né, c'est une fleur qu'on lui fait de ne pas le faire venir dans ce monde de merde. Jackson aurait aimé recevoir la même fleur. Il était sûr qu'il s'amusait bien plus, séparé en deux dans un ovule, et un spermatozoïde, à s'éclater, flottant dans un liquide fiévreux. Si Jackson avait pu avoir le dernier mot, l'histoire se serait finit vite. Mais même si l'homme est un enfoiré de s'enfuir lorsque la femme est enceinte, au fond il n'a rien à dire, c'est lui le con qui a forcément merdé. Quand on parle de Jackson on veut bien le croire. Et puis surtout ce n'est pas lui qui porte l'alien dans le ventre. Alors même s'il n'a pas le droit de se tirer, il n'a rien le droit de dire non plus. Il est présent, dans toute son inutilité, sa méchanceté, à rêver d'être un enfoiré. Parce que même ça il n'en a pas le cran finalement. L'abandonner, la planter là, ne plus jamais en entendre parler. Il n'est pas superstitieux, mais à 30 ans ou presque, il essaye de se dire qu'il faudrait faire les choses bien, et à défaut d'y arriver, essayer. Et puis de toute façon là vie de Callie est fichue. Elle s'est jetée aux oubliettes le jour ou la languette à virer au rose, que Jackson se casse maintenant ou qu'il merde plus tard, tout le temps, ça ne changera probablement rien à la donne. Au pire, ou mieux, elle le sommera de partir. Ca lui fera les pieds.
Ainsi Jackson avait presque bien réagit. Mais là n'était pas la question, s'il n'avait pas pris ses jambes à son coup, il profitait du faite que Callie n'est plus le droit de s'alcooliser pour boire pour trois. Pas pour être sympa, simplement par principe. Pour oublier ou se désaltérer, il ne savait plus franchement bien. Il se détruisait la santé dans l'espoir que peut être, il viendrait à bout de lui même avant la fin de la gestation du bébé, et qu'il n'aurait pas à assister aux massacres... Un enfoiré de sa trempe qui n'a pas le courage de fuir, n'a pas non plus celui d'en finir rapidement. Il espère, à chaque gorgée, que ça sera la dernière. Et puis il recommence. Parce que la fin ne vient pas.
Avec l'alcool il s'entête, comme une musique chancelante, lourde, et éprouvante, comme un rock désaxé, du métal rayé, un douleur cabossée. Le pire, il n'arrive même plus à s'épuiser dans les bras d'autre fille, la phrase de Callie lui raisonne aux oreilles, elle est enceinte. Il pourrait avoir d'autre fille dans le même cas. Il se bloque, il ne peut même pas prendre le risque, risque inexistant lorsqu'on fait bien attention. L'alcool ravive ses peurs, ramolli le reste. Dans l'absolu il oublie. Pour dissimuler sa fatal impuissance il se montre pire qu'avant, rabaisse celle qui soit disant ne peuvent plus l'exciter, les renvoie en pleurs, et il les lâche pour un cou de crayon encore plus violent que ses coup de rein passé. Assis sur le tabouret de bar, verre à shot devant lui, il boit dès que le verre se rempli, crayonne le reste du temps, noircit le minuscule carnet qui tient devant ses mains, discrètement. le noir court sur le papier, s'encre dans son âme. Ces dessins vomissent de cynisme et de sarcasme.
Soudain à l'autre bout du bar il croise un regard qui le glace. Il ne manquait plus que ça. Il avale un énième shot - il ne sait plus combien - et il baisse la tête, se fait invisible. Il ne veut pas le voir. Pas l'homo de service. Pas celui qui croit qu'il va être son jouet, qu'il pourrait lui plaire. Il lui vomira à la tronche s'il s'approche, il se battra de ses poings chancelant s'il le faut. Il continue de dessiner, s'imagine invisible, protégé de toute attaque extérieur. Il espère. Que là tout de suite. Sa vie ne devienne pas pire.
mise en page Parker
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Sujet: Re: Life is only trouble ✚ Max Mer 29 Mai - 18:15
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, Maximilian n'avait jamais vraiment fréquenté les bars. En fait, il n'avait commencer à le faire que lorsqu'il était en cavale et encore, il évitait de s'y aventurer trop longtemps, soucieux de ne pas attirer l'attention sur lui. Avant ça, il ne quittait la maison de son oncle que pour exécuter les tâches qu'on lui confiait, ne voulant pas se mêler d'avantages aux membres du clan. Un sentiment partagé car ils étaient tous terrorisés par l'enfant assassin qu'il était alors, sans pitié ni compassion. Chacun savait qu'il était capable de les tuer tous autant qu'ils étaient sans ciller un seul instant. Aussi il s'échinaient à l'éviter pour le plus grand plaisir de celui qu'on appelait alors Matveï. Ce n'était donc qu'une fois aux États-Unis qu'il avait véritablement commencé à s'aventurer dans les bars, pubs et autres night clubs. Et il s'était aperçu que ce n'était pas vraiment le genre d'endroit fait pour lui. Maximilian aimait le calme, l'intimité et la solitude et le moins que l'on pouvait dire c'était que le monde de la nuit était tout sauf paisible. Cela dit, il aimait bien danser et se déchainer, trouvant une manière bien moins dangereuse et meurtrière de se défouler que de tuer des gens. Il continuait donc d'aller dans les bars ou autre, jamais bien longtemps mais suffisamment pour pouvoir en profiter. Seulement, il avait cesser de le faire pendant les trois années de son mariage parce que même s'il ne s'agissait que d'un mariage blanc, il respectait trop sa femme pour se livrer à ce genre d'activité. Ce n'était donc que tut récemment que Maximilian s'était remis à sortir, parfois en compagnie de collègues, parfois seul. En fait, il sortait plus souvent maintenant que tout au long de sa vie. Son … interlude avec Stefan, bien qu'il en éprouvait toujours une vague forme de honte, l'avait comme qui dirait ''décoincé'' et il n'était à présent pas rare de le voir en train de flirter avec tel ou tel inconnu, n'allant pour le moment jamais plus loin que quelques baisers et caresses dans une allée ou dans les toilettes. Après trois ans de célibat, pour ainsi dire, et une rencontre plus que troublante, Maximilian avait encore besoin d'un peu de temps avant de se lancer dans la chasse à plein temps. Ce qui ne l'empêchait pas de profiter de chacune de ces rencontres, sans attaches et complètement libres, plus qu'il ne l'avait jamais été. Et franchement, pouvoir, ne serait-ce que quelques minutes, arrêter de penser à Scott, Stefan, Zora, Nastasia, l'université, la traduction qui l'attendait chez lui, cela lui fait le plus grand bien. Et c'est exactement pour cette raison précise qu'il avait décidé d'aller dans un bar ce soir même, histoire de boire un verre et pourquoi pas, de se détendre un peu. Il en avait vraiment besoin après avoir tenter de corriger des copies, toutes plus désastreuses les unes que les autres. Il était évident que ses étudiants n'avaient absolument rien retenu de son cours sur la petroiska et il allait devoir s'attarder un peu plu longtemps dessus alors qu'il avait décidé de passer à autre chose. C'était extrêmement frustrant pour Maximilian qui n'aimait pas revenir sur un cours passé et préférait avancer à une vitesse de croisière tout en finissant son programme. Alors le jeune professeur avait décidé de remettre la suite des corrections au lendemain et de profiter de sa soirée.
Après une rapide douche, Maximilian se décida pour un look beaucoup plus décontracté que celui qu'il arborait pour aller à ses cours. Bien sur, il aurait pu officier en simple chemise et pantalon comme certains de ses collègues mais il avait déjà suffisamment l'air d'être un étudiant. La plupart de ses élèves n'étaient que de quelques années plus jeunes que lui, parfois même plus âgé, et s'il voulait être pris au sérieux, il se devait d'imposer le plus de limites possibles entre eux et lui, et ses vêtements l'aidaient grandement en lui donnant un air strict et inaccessible. Bref, il se décida pour une fine chemise bordeaux et un skinny jean noir avec des boots, une tenue simple mais qui mettait en valeur tout ce qu'il fallait. Après tout, qui savait ce que ce soir lui réservait ? Et même sans ça, ça faisait du bien d'être aussi confortable. Il avait l'habitude de son complet veston mais un peu de changement, ça ne pouvait que faire du bien. Un dernier coup d'œil sur le miroir et il était parti, sa vieille voiture toujours aussi fiable. Ne sachant pas trop où aller, Maximilian décida d'y aller au feeling. Il laissa passer quelques bars avant de s'arrêter devant celui qu'il avait choisit pour ce soir. Le Rainbow. Maximilian eut un petit sourire. Approprié ...
Pénétrant dans la salle enfumée, Maximilian sentit quelques regards s'attarder sur lui, la plupart par simple automatisme, se détournant au bout d'une seconde, et d'autres, plus intéressé, l'examinant de la tête aux pieds. Sans faire attention, il pénétra plus avant dans le bar, son regard se portant sur le comptoir. Un sourire définitivement sadique ourla doucement les lèvres en voyant qui exactement était installé à ce comptoir. Jackson Monroe. Oh, il allait s'amuser ce soir, il le savait. Depuis leur première rencontre, qui s'était évidemment passé dans un bar, ils avaient comme qui dirait clashé. Ils ne pouvaient pas être plus différent l'un de l'autre et Maximilian prenait un malin plaisir à flirter avec lui, à lui rebrousser le poil et à le pousser dans ses derniers retranchements. Cela lui plaisait d'exercer un tel pouvoir sur lui et de froisser ses sensibilités d'homophobes. Le fait qu'il savait qu'il n'avait rien à craindre ne faisait que le rendre encore plus confiant. Bien sur, Jackson était plus grand et plus baraqué que lui mais cela n'empêchait pas le fait que Maximilian était capable de le tuer sans effort alors s'il lui prenait l'envie de lever la main sur lui, le brun était parfaitement en mesure de se défendre. Est-ce que c'était auto destructeur ? Oui. Est-ce qu'il en avait quelque chose à faire ? Non.
Ni une ni deux, il se dirigea vers Jackson et s'installa à ses côtés, jetant un rapide coup d'œil sur ce qui semblait être des croquis avant de commander un gin fizz au barman (Maximilian détestait la bière américaine et trouvait la plupart des alcools bien trop doux pour une personne qui buvait de la vodka artisanale depuis ses treize ans). Puis adoptant son plus beau sourire, tout en appuyant un peu plus ses ''manières d'homo'', il se tourna vers Jackson, posant une main sur son bras, sachant que cela l'énerverait surement.
-Et bien Jackson ! Quel sombre expression sur un si beau visage ! Qu'est-ce qui peut bien te réduire à un tel état ? Tu t'es fais draguer par une drag queen c'est ça
Spoiler:
OMG ! Désolé pour mon retard, je me suis concentré sur mes études ces derniers mois. Pardon, pardon, pardon ><
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Sujet: Re: Life is only trouble ✚ Max Lun 24 Juin - 9:08
“ Life is only trouble „
Maxmilian Petrovich & Jackson E. Monroe
Jackson était dans un état pitoyable. On pouvait aisément se douter que c’était toujours le cas avec lui. Qu’il allait d’un état pitoyable à un autre, invoquant différente raison. Toutes plus crédibles les unes que les autres, il ne fallait pas en douter. Mais là tous les dieux de la Grèce Antique, dont il ne connaissait pas les noms semblaient c’être retourné contre lui pour se foutre de sa gueule. Un bébé. Il avait fallu qu’on lui foute un gosse dans les pâtes. En soit ça aurait pu ne pas être grave. Il aurait pu s’en foutre, et se tirer vite fait bien fait. Après tout les dieux avaient été suffisamment clément pour le faire homme plutôt que femme. Donc enfant ou non ce n’était pas lui qui le portait, et il courrait encore suffisamment vite pour pouvoir échapper à sa mère. Mais non. Ces enfoirés, parce que les dieux n’étaient que ça. Des enfoirés. Ces enfoirés avaient aussi décidé de le doter d’une conscience. Conscience le truc qui allait l’anéantir. La conscience qui allait avec son amie la culpabilité. Mais il n’en était pas plus stable, et moins incapable. Il faisait toujours le même nombre de connerie. Il avait juste une nouvelle capacité qui lui permettait de tout regretter. Et finalement ces nouveaux super pouvoir, qui faisait de lui le parfait anti-héros, lui était tombé dessus au même moment ou il avait arrêté de se droguer. Et que subitement la mémoire lui était revenu. Ses actes lui revenaient un part un pour ne plus quitter sa mémoire, et lui rappeler en permanence le monstre qu’il pouvait être, et le mal qu’il jetait sur le monde. Il se détestait. Il ne pouvait en être autrement. Il était un monstre à gueule d’ange. N’était-ce pas une bonne raison d’être dans un état pitoyable ? De toute façon il s’en fichait, il était la seule personne à qui il pouvait faire du mal sans se soucier des conséquence et de la culpabilité inopportune, amie d’infortune. Il buvait, cherchant dans les liquides les plus purs et les plus transparents le même oublie qu’il avait trouvé dans la poudre blanche, les pilules de toutes les couleurs et autres substances ravissantes... Mais ça mettait plus de temps à monter, à lui échauffer les sens et le cerveau, et au final peut être que ça coutait plus cher. Il ne savait plus. Il ne comptait plus. Il n’avait jamais vraiment su compter et au bout de plusieurs verres il ne fallait plus rien lui demander qui ne soit pas d’ordre sexuel. C’était à peu près le seul domaine qui échappait au loi de la gravité Jacksonnienne et la seule capacité qui ne disparaissait pas dans les liqueurs d’alcool. Quoique depuis la grossesse inopiné de Callie, il se restreignait sur les marchandises. Par peur de faire la même connerie plusieurs fois et d’être enchaîné à plusieurs femmes différentes... A choisir il préférait encore être enchaîné à Callie. Elle était chiante, mais diablement irrésistible, et il ne savait pas.... mais elle avait quelque chose d’attachant.
Les verres s’enchaînaient sous son nez et les traits glissaient sur le papier. Il courbait l’échine pour se sentir disparaître au dessus du comptoir et espérer que personne ne puisse le reconnaître. Enfin personne. Le reste du monde il s’en fichait. Mais ce Max... Il avait toujours détesté les Homos. Enfin non. Disons que depuis ses passages en prison il détestait les homos qui pouvaient vouloir s’en prendre à lui. Qu’ils aiment qui leur semblaient juste d’aimer, mais qu’il ne le fasses pas à coté de lui, et surtout qu’ils ne cherchent pas à l’aimer lui. Ou à vouloir l’enculer pour ce que ça changeait. Mais non, certain homo n’avait pas plus de respect pour les autres hommes - à sexualité normal et peu enclin à se faire pénétré par le même engin qu’eux - que pouvait en avoir les violeurs à l’égard de leur victime. Oui Jackson considérait Max comme un violeur, un psychopathe, et un gay. Et ça commençait à faire beaucoup de tare. Surtout que lui n’avait aucunement besoin d’être une victime, et qu’il savait se défendre. Enfin normalement. Seulement la chance n’était jamais de son coté - il devait être habitué depuis le temps... Mais non, il s’en étonnait toujours et déplorait toujours son manque infâme de karma. Max de sa démarche chaloupé qu’il ne pouvait pas réellement salué vu qu’il s’obstinait à ne pas l’observer vint se poser avec ses airs de folle sur le tabouret à coté de lui. Et d’un coup d’oeil regarda ce que Jackson griffonnait, provoquant une vive réaction sur son voisin de table - Jackson donc- qui se redressa vivement, et rangea son carnet dans sa poche arrière. Il avala la fin de son verre cul sec, et serra la mâchoire, espérant encore vainement que ce dernier était juste là pour boire. Après tout il avait effectivement commandé un verre. Et qu’il ne chercherait pas à l’ennuyer avec ces remarques de gay insupportable. Seulement la malchance s’acharnait encore sur lui, et la main trop gay de Max vint se poser sur son avant bras, provoquant un mouvement de dégout de Jackson qui sursauta franchement à se contact, avant d’utiliser sa deuxième main pour attraper violemment la main de Max et la jeter contre le comptoir, à distance de son bras, de son corps ou de n’importe quoi, le fusillant du regard. Son pouls c’était démesurément accéléré et son estomac cherchait à se retourner contre lui. Qu’on le laisse tranquille.
-Et bien Jackson ! Quel sombre expression sur un si beau visage ! Qu'est-ce qui peut bien te réduire à un tel état ? Tu t'es fais draguer par une drag queen c'est ça
Ahahah, il faisait des blagues en plus le gay ? Jackson eut un rire jaune, contemplant son voisin avec un air de dégout à peine dissimuler. Que pouvait-il répondre à un tel homme ? Un homme qui connaissait évidement très bien son aversion pour les gens de son espèce et qui s’en amusait. Il leva les yeux vers le barman et commanda la même chose que toutes les fois précédentes. Car avec les années Jackson avait pris l’habitude de ne plus mélanger l’alcool, et de se mettre une mine avec un unique alcool par soirée.
Va te faire voir Max ! M’approche pas. C’est pas le bon jour.
Comme s’il y avait un bon jour pour se faire approcher par une grande folle sans aucun respect ? Cela dit Jackson doutait que Max est la force de venir lui trouer le cul sans son accord... Mais on ne pouvait pas réellement savoir. Max dégageait quelque chose de fort et de flippant qui mettait Jackson extrêmement mal à l’aise.
Va te trouver un mec comme toi qui voudra bien te prêter ses fesses et laisse moi tranquille !
Il était presque poli quand on y pensait. Il aurait pu faire bien pire.
mise en page Parker
Spoiler:
Et moi c'est vraiment pas terrible Désolé je me rattraperais.