I'll follow you until you love me, papa-paparazzi + ft. Rozen
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Sujet: I'll follow you until you love me, papa-paparazzi + ft. Rozen Dim 26 Jan - 17:35
Astoria & Rozen
I'll follow you until you love me, papa-paparazzi.
Janvier 2015,
Une journée off, c’était tout ce dont Astoria avait besoin. Entre ses études de médecine à Stanford, ses allers et venues à UCLA, son addiction pour les mathématiques et ses articles de mode à rédiger, la blonde n’avait plus le temps de souffler. Quelle idée d’accumuler autant d’occupations en aussi peu de temps aussi, elle allait finir pas faire un tour par la case surmenage… C’était juste qu’avec toutes les capacités à sa disposition – à savoir son QI élevé et sa mémoire infaillible – elle ne pouvait tout simplement pas rester inactive… Du moins, c’était ce qu’elle se disait constamment pour ses propres agissements. Et puis, qu’on ne se la cache pas, multiplier autant d’activités à la journée l’empêchait tout simplement d’avoir du temps à elle pour penser à autre chose. Et c’était tout simplement ce qu’elle voulait, ne penser à rien, ne pas pouvoir penser à tout ce qu’elle avait bien pu faire par le passé. La cleptomanie, la pyromanie et surtout la mort d’Artémis qui la hantait malgré elle, rien de tout cela ne pouvait venir la bousculer si son cerveau était déjà beaucoup trop occupé à mémoriser les noms de tous les os du corps humains ou les dernières tendances à la mode mis en avant par les derniers défilés de la fashion week. Sauf que bien évidemment, même en ayant la meilleure volonté du monde, le rythme était beaucoup trop lourd pour qu’Astoria ne puisse tenir la cadence en permanence. Il aurait fallu être un surhomme pour réussir, ce que peu de gens pouvaient se vanter d’être dans tous les cas. Tel était le topo en cette fin de mois de janvier : une fatigue insoutenable qui était à deux doigts de lui faire péter les plombs, ce qu’elle ne voulait en aucan cas sachant pertinemment de quoi elle était capable. Allongée de tout son long dans son lit, la néerlandaise n’avait envie de rien si ce n’était se laisser mourir toute la journée en tentant de ne plus penser à rien. Dur moment en somme. Il n’y avait rien de pire que ces instants de désespoir ultime, ces moments où on ne ressent plus rien, plus aucune envie. Astoria n’était certainement pas du genre à s’apitoyer sur son sort, au contraire, mais elle ne pouvait pas non plus empêcher ces moments-là venir la frapper de plein fouet. Après tout, elle était peut-être un génie dans plusieurs domaines, ça ne voulait pas non plus dire pour autant qu’elle était capable de l’impossible. Pour autant, dans un élan de courage et de motivation démesuré, elle s’accapara de son téléphone et tapota rapidement un message destiné à la seule capable de pouvoir l’aider : Rozen, sa cousine. « Toi et moi, Venice Main Street à 14h. Tu n’as pas le choix ;) ». Au moins ça avait le mérite d’être parfaitement clair et connaissant sa cousine, Rozen ne mettrait pas bien longtemps à confirmer sa proposition. C’était d’ailleurs ce qui était bien avec Rozen, elle était toujours partante pour tout et avait une tendance à couver Astoria sans qu’elle ne puisse vraiment savoir pourquoi. Enfin si, Astoria se doutait bien que la mort d’Artémis n’y était pas étrangère mais ça s’arrêtait là… C’était bien ironique quand elle y repensait, sa cousine était pompière, le comble pour une pyromane. Comme prévu, la réponse de Rozen ne se fit pas attendre, ce qui donna un semblant d’énergie à Astoria pour sortir de son état de loque amorphe avancé. Un peu de shopping dans le centre-ville de Los Angeles avec sa cousine, que pouvait-il y avoir de mieux pour se changer les idées ? Après une rapide mise en état – à savoir que ce qui était rapide pour Astoria correspondait à une quarante-cinq minutes de préparation – la jeune femme prit le soin de quitter son loft de Santa Monica pour ensuite monter dans sa voiture. La distance jusqu’à Main Street était plutôt faible en voiture mais à pieds c’était une bien autre histoire surtout si elle devait porter un million de paquets différents, non merci elle jouerait les écologistes plus tard – comme si les Américains faisaient attention à ce genre de problème de toute façon. Enfin bref, tout ça pour dire qu’à quatorze heures tapantes, la blondinette avait déjà garé sa voiture et n’attendait maintenant plus que le visage familier de sa cousine se matérialise dans la foule qui lui faisait face. Il fallait aussi espérer que les paparazzis ne soient pas de la partie.
made by pandora.
Matt G. Nicholson
▐ PAROLES : 777 ▐ DATE D'ARRIVEE : 25/11/2013▐ AGE : 28 yo ▐ OCCUPATION : Plombier ▐ LES SENTIMENTS : Ils se trouvent en dessous de ma ceinture▐ POINTS : 259
Sujet: Re: I'll follow you until you love me, papa-paparazzi + ft. Rozen Sam 22 Fév - 22:51
Astozen
La veille j'avais eu chaud au boulot, sans mauvais jeu de mot, à dire vrai j'aurais même pus y passer mais par chance je n'avais été que légèrement blessée. Après tout c'était les risques du boulot alors il n'y avait pas de quoi en faire un plat. J'ai du aller me faire soigner bien entendus cependant je ne m'attendait vraiment pas à ce que le médecin, que je voyais pour la première fois par la même occasion, me sorte que je devais prendre minimum deux jours de repos non seulement pour ma blessure mais aussi pour me remettre du choc émotionnel. J'veux bien être gentille ais la ce type n'a rien compris. Choc émotionnel ? C'est mon job bon sang ! Mais rien à faire j'avais beau lui dire que j'étais pompier, que tout ça était normal il ne voulait rien entendre... Crétin.
Voilà donc la raison du pourquoi je suis encore au lit à 10h12 du matin, à réfléchir puisque j'hésites à aller travailler, malgré ce que m'avait dit le médecin. Après tout on est entraîné à ça. Mon mental va très bien, il n'y a pas eu de mort rien, et ma blessure est loin d'être catastrophique, en aucun cas elle ne m'empêcherait de travailler. Après une bonne demi-heure à observer mon plafond perdue dans mes pensées je finis par sortir du lit pour aller prendre une douche chaude qui finirait de me réveiller. A peine sortis de la douche que je reçoit un sms d'Astoria. Je souris, il s'agit de ma cousine et j'ai énormément d'affection pour elle. Au moins sont message me fixait, je n'irais pas travailler aujourd'hui, elle avait écrit que je n'avais pas le choix après tout non ? Donc rendez-vous à 14h... Attend mais ! J'ouvris de grands yeux en voyant l'heure, il ne pouvais pas déjà être 13h ! Oh non quelle conne bordel ! Sur mon réveil j'avais lut sans me donner la peine de remettre ma tête à l'endroit, en réalité je ne m'étais pas réveillée à 10h12 mais à 12h10, bravo félicitation ! Palme d'or la je crois ! En même temps je ne dors jamais jusqu'à midi d'habitude alors ça ne m'avait pas parus le moindre du monde anormal. Bref, je m'empressais de répondre à ma blondinette préférée "Soit pas en retard ! ;)" ce qui voulais clairement dire que j'y serais bien entendus.
J'étais impatiente de la revoir ! Je m'habillais et me maquillais plutôt rapidement avant d'aller rejoindre ma voiture. Je n'étais pas tout prêt de Venice Main Street, j'en étais même plutôt éloigner alors autant partir maintenant. L'avantage c'est que je connaissais tous les recoins de cette ville ainsi que les raccourcis, sûrement aussi bien qu'un taximan. Faut dire que j'avais pas vraiment le choix, vous voyez vous un pompier prendre le GPS pour se rendre à l'adresse de celui qui a appelé aux secours ? Pas vraiment top hein on est d'accord. Une fois arrivé je sortais de ma voiture pour balayer du regard tout autour de moi et tomber sur Astoria qui, apparemment ne m'avais pas encore vu, ce qui me fit sourire. Je fis volontairement un petit détour pour arriver derrière elle et lui mettre les mains devant les yeux "Devines qui est la ! Un indice je suis grande brune et fine" Je ris, je savais très bien que j'étais grillée avant même que j'ouvre la bouche de toute façon, et puis je ne pense pas que les filles avec qui elle sort habituellement fasse encore ce genre de blagues non ?
Sujet: Re: I'll follow you until you love me, papa-paparazzi + ft. Rozen Ven 21 Mar - 23:17
Astoria & Rozen
I'll follow you until you love me, papa-paparazzi.
Janvier 2015,
Il y a des jours comme ça où rien ne va, où tout est sujet à insatisfaction et où les moindres détails insignifiants d’une journée prennent des proportions inespérées. C’est ce genre de jours où on voudrait tout foutre en l’air, jouer aux rebelles de première et envoyer le reste du monde se faire voir sans se retourner derrière et continuer son chemin… Ce n’était pas toujours simple de maintenir le cap, de garder la tête sur les épaules et de prétendre que tout allait bien dans le meilleur des mondes sans jamais défaillir ne serait-ce qu’une seule seconde. Astoria en avait bien conscience, mais ça ne l’empêchait pas de s’efforcer à toujours soigner les apparences pour paraitre irréprochable en toute circonstance. Sauf que clairement, elle était à deux doigts du burnout et d’une soudaine crise de folie où elle n’hésiterait pas à utiliser le mot ‘fuck’ avec le geste qui allait avec… Pourtant, si elle mourait d’envie de se laisser gambader son esprit de révolte, elle n’en faisait rien, ayant trop de peur des conséquences de ses actes et de ce dont elle était capable. Elle n’avait tout simplement pas le droit de se laisser aller de la sorte, elle devait trouver un moyen de souffler sans créer de problème. Et lorsque l’on connaissait Astoria, il était peu étonnant de voir qu’elle avait décidé de se tourner vers Rozen et une bonne journée de shopping pour se changer les idées.
14h, Venice Main Street. Malgré l’heure creuse de la journée, les rues étaient loin d’être désertes, ce qui eut le don d’arracher une nouvelle moue boudeuse à la néerlandaise qui commençait à devenir quelque peu agoraphobe depuis son installation dans la cité des anges. Ce n’était pas tellement la foule en elle-même qui la dérangeait, mais plus les personnes qui se mêlaient à la foule lorsqu’elle décidait de sortir… Jouer les stars avec ses lunettes de soleil un café à la main c’était bien beau – et surtout très cliché – mais les personnes qui l’arrêtaient toutes les deux secondes ou les clichés pris d’elle à son insu ou tout autre situation tout aussi agréable ne l’aidait pas vraiment à calmer ses pensées rebelles. Soit, tel n’était pas réellement la question de toute façon, elle était là pour Rozen aujourd’hui. D’ailleurs en parlant de sa cousine, elle était légèrement en retard alors qu’elle avait dit à Astoria de ne pas être en retard elle-même. La jeune femme n’eut même pas le temps de râler par SMS que vint lui cacher les yeux. "Devine qui est là ! Un indice je suis grande brune et fine". Un sourire apparut automatiquement aux coins des lèvres de la demoiselle, autant dire que Rozen avait le mérite de la mettre de bonne humeur en toute circonstance. « Oh, laisse-moi donc deviner, j’adore les devinettes. Tu t’es teint les cheveux en brun et t’as changé de prénom pour te lancer dans une carrière d’actrice et prétendre au rôle de Katniss pour aller avec ton nom de famille ? Parce que sinon je ne vois pas d’autre explication au fait que cette description ne te ressemble guère ma petite Rozinette. » Bon d’accord, elle aurait très certainement pu trouver mieux mais sur le moment c’était tout ce qu’elle avait trouvé à lui répondre. Sans attendre sa réaction, elle décolla les mains de sa cousine et se retourna vers elle avant de venir l’enlacer une demi-seconde. « Tu vas bien ? Tu sais que t’es arrivée au bon moment, j’ai failli attendre. », dit-il faussement offusquée d’un ton insupportable. « Et tu sais que je déteste attendre, personne ne me fait attendre, je ne suis pas du genre à attendre mais à faire attendre les autres, c’est un scandale que tu reprennes ma technique pour se faire désirer. Je suis outrée. », continua-t-elle sur sa lancée de fausse diva en plein caprice. « Ce n’est pas le tout mais nous avons une longue journée qui nous attend ma chère cousine, j’ai prévu de faire toute la rue, j’ai un besoin soudain de me noyer dans les vêtements quitte à finir en découvert. » Décidément, elle ne s’arrêtait plus. Le jour où elle serait en découvert serait le jour où… Paris Hilton deviendrait Présidente des Etats-Unis. En d’autres termes, il y avait très peu de chance pour que ça puisse arriver un jour, même avec la meilleure volonté du monde. « En avant mauvaise troupe ! », conclut-elle enjouée en faisait signe à sa cousine de la suivre. Let’s get this party started, yeah.
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Spoiler:
Désolée pour le temps et la qualité de ma réponse
Matt G. Nicholson
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Sujet: Re: I'll follow you until you love me, papa-paparazzi + ft. Rozen Jeu 10 Avr - 13:39
Astozen
J'ai l'impression d'avoir toujours été la même, d'avoir toujours eu le même état d'esprit et pourtant quand j'y réfléchis mon comportement avait bien changé. Ça faisait quelques temps maintenant que je n'étais plus une adolescente qui se cherchait mais une adulte. Avant ça ne me gênait pas de coucher avec un homme sans qu'il n'y ai de lendemain, maintenant je préfère une relation stable. Parce que j'ai vécu ça pendant deux ans et que ces deux ans étaient sûrement plus agréable que ma vie d'avant. Mais en réalité je ne pense pas que ça soit le fait que je couchais avec plusieurs hommes qui me donne l'impression de ne pas avoir été aussi heureuse dans ce passé. Je crois surtout que c'est dû au fait que j'étais amoureuse du grand frère de ma meilleur ami alors que lui non et maintenant que j'avais eu une période d'engueulade avec Lexie voilà qu'il était revenus pour me soutenir. C'était à ne plus rien y comprendre, cependant pour moi c'était clair, je ne m'autoriserai plus à avoir des sentiments pour lui. Si je ne veux pas souffrir autant attendre le bon non ? Et pas un qui change de vagin comme de chemise. Je ne pouvais qu'espérer qu'Astoria ne passerait pas par ce genre d'expérience peu agréable, surtout qu'elle avait déjà assez sur le dos d'après moi. Je veux parler par la de sa célébrité, en tant que cousine je ne peux pas m'empêcher de vouloir son bien et je ne suis pas vraiment sûr que tout ça soit bon pour elle.
En tout cas j'étais contente de pouvoir la voir aujourd'hui ! Ça tombait même pile bien je dirais puisque j'avais été arrêtée le temps d'un jour ou deux, pour dix fois rien d'ailleurs. Astoria était plutôt facile à remarquer même avec toute cette foule, foule qui me permit d'ailleurs de faire un petit détour sans qu'elle ne me voit, jusqu'à ce que je me retrouver derrière elle et que je lui fasse le coup vieux comme le monde du devine qui c'est. Avec une légère touche d'humour bien entendus ! « Oh, laisse-moi donc deviner, j’adore les devinettes. Tu t’es teint les cheveux en brun et t’as changé de prénom pour te lancer dans une carrière d’actrice et prétendre au rôle de Katniss pour aller avec ton nom de famille ? Parce que sinon je ne vois pas d’autre explication au fait que cette description ne te ressemble guère ma petite Rozinette. » Je ris alors qu'elle retirait mes mains et se retournait pour me prendre dans ses bras. Ce fut rapide mais j'eu le temps de la serrer également contre moi. On aurait dit une surexcité qui ne tien pas en place je vous jure. Rien qu'à la voir on était obligé de sourire ! "Tu as raison je n'y avais pas pensé mais je devrais faire ça ! Je serais parfaite dans le rôle tu ne crois pas ?" heu... Non, si je devais moi même me répondre c'est ce que je dirais je pense. J'étais encore loin d'avoir la réelle prétention de pouvoir être à la hauteur d'héroïne de film même si l'idée était amusante ! « Tu vas bien ? Tu sais que t’es arrivée au bon moment, j’ai failli attendre. » Je souris bouche fermée en croisant les bras, la laissant continuer son petit speech « Et tu sais que je déteste attendre, personne ne me fait attendre, je ne suis pas du genre à attendre mais à faire attendre les autres, c’est un scandale que tu reprennes ma technique pour se faire désirer. Je suis outrée. » C'était plutôt amusant et attendrissant en fait "Autre chose votre Altesse Royale ?" Je la taquinais bien sûr, il faut dire que son comportement s'y prêtait parfaitement bien. « Ce n’est pas le tout mais nous avons une longue journée qui nous attend ma chère cousine, j’ai prévu de faire toute la rue, j’ai un besoin soudain de me noyer dans les vêtements quitte à finir en découvert. » Je ne crois pas que de mon vivant je puisse voir Astoria à découvert mais je sentais qu'elle allait dépenser un paquet de fric aujourd'hui. En fait je ne pense pas qu'un jour ni elle ni moi ne puissions être à découvert mais pour des raisons différentes. Elle parce qu'elle débordait d'argent et moi parce que j'étais loin d'acheter à tord et à travers comme elle. D'ailleurs il n'y avait bien qu'elle qui puisse me traîner dans des magasins ! Je la suivis jusqu'au premier magasin redoutant le fait que nous puissions être suivit nous aussi. Enfin redouté était peut-être un peu gros comme mot, disons surtout que je n'apprécie vraiment pas que des paparazzies viennent l'emmerder jusque dans sa vie privé, qu'elle ne puisse bouger un cils sans que la presse ne s'en mêle. Cette après midi était à nous deux et à personne d'autre, oui je me donne le droit d'être égoïste pour ce coup la et je ne me ferais pas prier pour donner mon avis aux concernés si vraiment il y en a qui nous embête jusque dans les magasins. Je me dirigeais vers une des minis tours de la boutique où se trouvais plein de lunettes de soleil et en prenait une paire "Lunette de mouche ! C'est bien un truc de star ça non ?"